D.gray'man HEART - Le Réveil du Coeur
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Fin d'un XIXème siècle futuriste...

Le monde vit des heures sombres. Peuplé d'Akumas, machines meurtrières créées par le Comte Millénaire, l'Humanité touche à sa fin. C'est là qu'entrent en scène les Exorcistes : combattant au service du Vatican, ils se dressent sur la route du Comte et du Clan Noé dans le but de ramener la Paix dans le monde grâce à l'Innocence, une arme céleste. Cette Guerre Sainte est tenue secrète aux yeux du Monde : pour la comprendre, il faut prendre part au combat... Lire le contexte complet
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Exorciste et Maréchal, Yuu Kanda est de retour dans les rangs de la Congrégation. exorciste de seconde génération, son passé est trouble et nul ne peut prédire son avenir.

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AtemCivil
Ancien mercenaire et espion, il fait partie d'une troupe d'artistes. Pour protéger ses amis et sa troupe, Atem a tourné le dos à la Guerre Sainte. Mais elle pourrait le rattraper.

Dolores GarcíaDisciple de Néah
Fervente religieuse qui a grandi dans un foyer très croyant, Dolores rêve d'un monde en paix. Elle rejoint les Disciples de Néah dans l'objectif de travailler pour son idéal.

Nunes MaseAkuma
Ancienne boule de colère et de violence, Mase est désormais une machine de guerre solitaire et réservée. Il a tissé des liens très forts avec l'Apôtre du Savoir.

Jax « Asahi » HarrisPacificateur
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Notre Poulain...

Les Chroniques d'Elysia Après des siècles de guerre et de désolation, un climat de paix s'installe sur le Continent Blanc. Les habitants apprennent à panser leurs blessures et à cohabiter ensemble.
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de la notion de happy ending et sur son inexactitude — Ft. Wilma  Empty de la notion de happy ending et sur son inexactitude — Ft. Wilma

Mar 20 Aoû - 19:07
Autonoé Samaras
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phrase : what is stronger than the human heart
which shatters over and over
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de la notion de happy ending et sur son inexactitude — Ft. Wilma  Tnek
pjdialog : Autonoé soigne (?) en #EFC90C.
icon2 : trop insignifiante comme machine
aliaspj : triste bacchante
pjpersonality : i used to float
now i just fall down
looked so alive, turns out i'm not real
think i forgot how to be happy
what i was made for ?
pjage : évohé évohé évohé
usralias : cutie
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Rang E dans 190 pts et 0 conditions (1 condition déjà possédée)
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Akuma

Autonoé Samaras

ft. B. WIlma Hartmann

La révolte des Boxers (chinois simplifié : 义和团起义 ; chinois traditionnel : 義和團起義 ; pinyin : Yìhétuán Qiyi ; litt. « mouvement de l'union de la justice et de la concorde »), ou révolte des Boxeurs, ou guerre des Boxers, fomentée par les Poings de la justice et de la concorde, société secrète dont le symbole était un poing fermé, d'où le surnom de Boxers donné à ses membres en Occident, se déroula en Chine, entre 1899 et 1901.

War everywhere war everytime war war war

je marche sur le sol embourbé de sang et je vois
je vois le fils aux yeux brûlés par les cendres et la fumée
je vois le père agonisant
je vois la mort
je vois la guerre
je marche sur le sol embourbé par les larmes et je vois
je vois la fille muette et les fantômes dans ses yeux
je vois la mère scindé en deux par l’horreur
je vois la mort
je vois la fin
je marche sur le sol embourbé par l’horreur et je vois
je vois les corps de ceux qui ont passé le chemin
je vois les corps de ceux qui sont restés sur la ligne
je vois les corps de ceux qui sont encore accrochés de ce côté là

je marche sur le sol embourbé par mon âme et je pleure
et si je pleure mes larmes sont noirs comme la boue
et si je pleure mes larmes ont un goût de fer
et si je pleure pardonnez moi car c’est que
je ne puis pas vous sauver tous.

Mouvement de l'union de la justice et de la concorde c’est comme ça qu’ils se sont appelés renverser et porter un coup à l’oppression colonial c’est le but qu’ils se sont donnés rien de plus qu’une guerre civile c’est ce que sifflait la Bacchante en marchant pieds nus sur le sol constellé par la boue et le sang. Elle s’était enrôlée comme infirmière du côté de la France, mais cela n’avait pas eu beaucoup d’importances. Une attaque surprise avait pris les états Alliés de court, et les chinois les avait rapidement pris par le nombre et par la connaissance du terrain. Au loin, les tirs des mortiers et les hurlements des soldats qui tombent comme des mouches. Ici, le silence. Elle s’arrête pour contempler la figure d’un soldat, très jeune, probablement moins de dix huit années, visiblement russe de par son uniforme, qui a l’air encore en vie. Un simple coup d’oeil lui est suffisant pour savoir qu’il est condamné : ses deux jambes ont été arrachées par un coup de mortier, et si la perte de sang ne le tuera pas, les infections multiples de la boue rendue glissante par la pluie s’en occuperont.

« Друг ? » Elle sourit doucement, et hochant la tête alors qu’elle se plie pour être à sa hauteur, berce doucement sa tête dans ses mains. « Да. » Et d’une troisième main caressante son visage, elle diffuse son virus. Rapidement les étoiles. Rapidement, la mort. Autonoé Samas se relève, et la pluie tombe sur son visage fatigué comme autant de larmes et diffusent les canaux.

Dans le ciel, des corbeaux. Les hommes se battent pour des territoires ou pour la gloire, mais à la fin, il ne demeure qu’une vérité : les os. Dans le ciel, un éclair : l’orage gronde. La Samas n’en a cure. La Faim appelle. Et si la Faim n’est pas satisfaite, alors un mal plus terrible encore pourrait s’abattre sur ceux qu’elle aime (sur ceux que tu aimes mais Autonoé ceux que tu aimes ils sont tous (mort non ?)). Moissonnons ce qui peut être moissonné alors (sauvons ce qui peut être sauvé). Et la Bacchante de continuer à parcourir le champ de bataille (le chant des agonisants) et d’achever les mourants (et d’apaiser sa main pour la mort).

your mind is just a program
and i'm the virus
i'm changing the station
i'm gonna make you
i'm gonna break you
i'm gonna make you

a fucking psycho

Parfois, elle croise des vivants. Des soldats traumatisés que les fantômes poursuivront jusqu’à leur fin. Ils fuient, la plupart du temps. Certains lui tirent dessus en hurlant, et en hurlant plus encore en constatant l’inefficacité de ce traitement. Certains font les morts, mais les machines comme elle savent très bien repérer les vivants. Certains pleurent, simplement. Celle-là, elle les laisse. Ils vivront, et n’ont pas de plaies qu’elle puisse guérir. Ils vivront, hélas.

Parfois, elle croise des machines. De simples niveaux un, naturellement. Ses congénères... En général, on ne les trouve pas sur les champs de bataille dévastés. Pas assez de sang et de souffrances. Elle les tue, tous, sans exceptions, quand elle les remarque, ces tristes machines. Ils nourrissent aussi sa faim, et répandent la souffrance. Deux oiseaux avec une pierre. La Bacchante n’a pas le temps à perdre avec le menu fretin.

Jamais elle ne croise de Noé. Elle les évite. (alors pourquoi tu ?)

de la notion de happy ending et sur son inexactitude — Ft. Wilma  Empty Re: de la notion de happy ending et sur son inexactitude — Ft. Wilma

Ven 23 Aoû - 22:03
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Invité
No more dreaming of the dead as if death itself was undone
autonoé & wilma
Visage peint d’une détermination grime alors que la violence fait rage, regard calme posé sur les vestiges de ce qui avait autrefois un peuple digne et discipliné. Sourire est de bien mauvais goût alors que les corps s’effondrent à tes pieds, alors que les cris agonisant des combattants s’élèvent vers les cieux, mais tu n’en as que faire ; un ronronnement satisfait de ton Noé te fait frissonner et le coin de tes lèvres se soulèvent discrètement. Tu vois sans trop réellement les voir les corps sans vie qui s’amassent, tu vois sans trop voir les blessés chancelant et appelant à l’aide. Une main se tend vers toi et tu goûtes le désespoir sur le bout de ta langue. Cette main est rattachée à un bras ensanglanté, un corps mutilé qui n’a plus grand-chose d’humain. Tu lances un regard en coin à l’inconnu, tu ne lui accordes pas plus qu’une poignée de secondes. Puis tu l’évites. Un pas de côté, le regard qui se dirige ailleurs, vers un point un peu plus en hauteur et le malheureux se retrouve hors de ton esprit, déjà oublié avant même que la Mort n’ait pu se l’approprier. Tu continues ta marche lente et mesurée. Tu n’as jamais été une humaine très compatissante, songes-tu sombrement, préférant t’armer d’un aplomb cynique et de réponses piquantes pour protéger le peu de sensibilité que tu pouvais posséder. Mais depuis le retour de Chaos, la chose ne va nullement en s’améliorant ; la violence ne provoque plus en toi ce dégoût qu’elle évoquait autrefois, tu as ouvert les yeux et tu as arrêté de te mentir. L’être humain est foncièrement violent, est une bete sauvage qui se pare de politesse, de respect et de moralité pour endormir les soupçons de ses semblables. Tu ne te sens que plus légère de t’être défaite de ces notions sans importances, tu es prête à effleurer les étoiles du bout des doigts ; toi l’affranchie, lui le libéré.

Et alors que tu marches toujours, sans trop réellement savoir pourquoi … Enfin si, tu sais pourquoi. Tout ceci n’est qu’un test. Un petit test, de rien du tout, un petit cailloux sur ton long périple, un léger détour au coeur de ton interminable voyage. Es-tu prête, Wilma ? Réellement ? C’est ce que t’avait demandée Adam, quelques jours plus tôt. Prête à retourner sur le terrain, prête à reprendre les armes. Les regards de tes frères et sœurs rivés sur ta petite personne, Chaos murmurant Dieu seul savait quoi en ton être, tu n’as pu qu’offrir un sourire carnassier à votre guide, les yeux pétillants de malice. Bien sûr, avais-tu répondu en sussurant entre tes dents, Je suis toujours prête. Mais voilà, le Comte s’inquiète, le Comte s’interroge, le Comte cherche une certitude absolue qu’il n’obtiendra probablement jamais. Alors, pour se rassurer plus qu’autre chose, il t’a envoyé ici bas pour que tu supervises le travail de ses biens nombreuses machines. C’est une bien basse besogne que tu t’es résolue à mener sans rechigner, étrangement touchée par l’intérêt qui t’est soudainement porté, par la prudence avec laquelle tu es considérée. Ces bons sentiments ne durent pas, cependant. Tu es bien vite sortie de tes tergiversations mélancoliques alors que, au-loin, tu aperçois une machine qui s’effondre. Ah. Ton nez se plisse, tes sourcils se froncent alors que la méfiance s’éveille. Ta démarche se fait plus décidée ; tu as une mission à présent. Plutôt que de n’être que l’affreuse spectatrice, tu te fais la monstrueuse actrice d’une pièce dont tu n’as pas encore lu le script. Tu ne te précipites pas, le regard scrutateur et l’air curieux, mais tu ne traines pas non plus ; si des Exorcistes ont soudainement fait leur apparition, il serait bien plus prudent d’en avertir rapidement les autres.

Chaos s’agite sous ta peau, réclame que le sang coule et que les corps se brisent plus encore. Tu fais claquer ta langue contre tes dents, réprobation muette de son comportement puéril. Vous vous devez d’agir intelligemment ; tu te souviens encore très nettement de ce qui s’est passé la dernière fois que vous avez voulu faire les malins. Tu poses une main sous ta poitrine, là où une cicatrice qui ne disparaîtra jamais vraiment se situe. Une fois, mais pas deux, uh. Tu continues de marcher jusqu’à ce que tu l’aperçoives. Elle, la machine. Elle, la désobéissante. D’abord intriguée, tu penches la tête d’un côté alors que tu observes l’anomalie, que tu la regardes avec un air étrangement paisible abattre ses congénères. Tes sourcils s’en vont disparaître sous tes longues mèches sombres, voilà la surprise. Puis, après un temps que tu es bien incapable de mesurer, tu t’approches. Tu te donnes l’air noble, même si tes bottines sont toutes boueuses. Sourire carnassier bien en place, lueur désinvolte au fond de ton regard tempêtueux, tu l’interpelles sans ménagement. « Hé, toi ! » Tu songes distraitement à ton pauvre père qui doit très certainement se retourner dans sa tombe à t’entendre parler ainsi. Et tu poursuis, prenant un ton aussi railleur que moqueur. « Tu m’expliques ce que tu fais là ? Pas que je sois contre ou quoique ce soit, mais je suis curieuse … Et c’est une bien étrange mission qui semble être la tienne. » Tu ponctues la fin de ta phrase en élargissant ton sourire et croisant les bras sous ta poitrine. Tu te donnes un air désinvolte, tu te donnes l’air de ce que tu n’es pas réellement. Et tu attends.

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Jeu 12 Sep - 21:54
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La révolte des Boxers (chinois simplifié : 义和团起义 ; chinois traditionnel : 義和團起義 ; pinyin : Yìhétuán Qiyi ; litt. « mouvement de l'union de la justice et de la concorde »), ou révolte des Boxeurs, ou guerre des Boxers, fomentée par les Poings de la justice et de la concorde, société secrète dont le symbole était un poing fermé, d'où le surnom de Boxers donné à ses membres en Occident, se déroula en Chine, entre 1899 et 1901.

Je peux réparer les vivants
certes (mais pour toi)
je ne peux plus rien, hélas.

vois je marche avec les vivants et
et je fais un rêve
vois je marche avec les endormis et je
je fais un cauchemar
une fois j’ai vu ton corps et ton coeur meurtri
une fois j’ai fait un cauchemar terrible
j’ai rêve que
tu m’avais oublié et laissé sur le quais de la gare
et le train parti
le train parti j’étais seul
et le train parti
et le train j’avais (froid) vois
je
vois je marche parmi les corps endormis et je
une présence apparaît

« Hé, toi ! »

Tu la toises avec un air vaguement las alors que ton esprit fait le tri dans les visages et les ordres. Le rejeton du chaos, voilà, c’est elle — une femme un peu perdue dans la peau d’une puissance qu’elle ne comprend pas, une fois partie et une fois (visiblement) revenue. Tu pensais qu’elle était morte, ou quelque chose dans ce goût là. Peu importe : dans la majorité des cas, tu évites de t’occuper des affaires des descendants de Noé. Évidemment, quand c’est eux qui viennent s’occuper des tiennes, c’est différent.

Tu la toises avec un air vaguement triste que ton esprit cherche quoi répondre et que tu achèves un énième mourant. Tu marches toujours — Autonoé — et tu tournes autour de Wilma (tu crois te souvenir que c’est là son prénom, ou bien quelque chose comme ça — tu ne l’appeleras pas maîtresse et le corps de ta fille n’appartient à personne) comme une souris autour du lion ; tu marches Autonoé comme un zombie comme une machine tu
tu t’arrêtes tu la toises avec un air
vaguement mauvais
Autonoé ?

« Dame Wilma. » Le ton est froid et annonce une vérité évidente et indéniable. « Je ne fais hélas seulement que ce que me commande ma faim.  » Tu hausses les épaules — toujours en le regardant. Are we done here ?

Malgré ton visage neutre
l’oeil droit
l’oeil de la mort ce qui annonce la faim et la guerre
il tremble
la paupière
ce sont les tocs de la guerre Autonoé
ils vibrent autour de toi comme autant de vautours
(affamés).

de la notion de happy ending et sur son inexactitude — Ft. Wilma  Empty Re: de la notion de happy ending et sur son inexactitude — Ft. Wilma

Sam 21 Sep - 23:05
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Invité
Invité
No more dreaming of the dead as if death itself was undone
autonoé & wilma
Tu es dans ton élément, Chaos se complaint dans la violence de la scène qui t’entoure ; les cris d’agonie et de douleur, le sang qui gicle alors que la révolte se soulève un peu plusà chaque seconde qui s’écoule. Tu sens sa satisfaction sombre, sa joie malsaine alors qu’il aperçoit les corps sans vie des révoltés, alors que la guerre se déchaine. Ça aurait été mentir que de dire que ce sombre spectacle t’attriste, toi qui a promis de ne plus que dire la vérité, pour le meilleur et pour le pire. Surtout pour le pire, mais passons. Tu te réjouies de voir ainsi la violence de l’Humanité ainsi s’étaler, de voir les fils de la cruauté se délier et que la nature de l’Être Humain soit ainsi mise au jour. Tu as envie de fêter cela, que le monde entier voit la chose comme tu la vois ; l’Être Humain est pervers et violent, se complait dans sa souffrance sans penser à autrui. Tu peux le voir, là. Sur le champs de bataille. Ils sont nombreux à piétiner ceux qui sont déjà tombés, sans se soucier de savoir s’ils sont encore parmis les vivants. Cela importe peu, dans le fond … puisqu’une fois qu’on aura fini de les écraser, ils ne seront définitivement plus de ce monde. C’est cette Humanité sans filtres, sans masques qui te fait vibrer, qui fait battre ton coeur. Alors que tout le monde ferme les yeux sur la vérité, alors que tous préfèrent ignorer la nature violente de ce qu’ils sont … Tu n’éprouves que la joie de savoir, d’avoir vu et d’avoir raison. Tu te sens victorieuse face à cette simple constation, face à cette triste réalisation.

(La Discorde n’a point de scrupules pour la souffrance de ceux qui lui sont étrangers. La Discorde se fait moqueur et distant, quoiqu’il arrive.)
(Tu n’as pas de regrets quand tu poses ton regard gris sur cette vague d’inconnus ; il n’y a que cette froide indifférence. Tu ne pourrais pas les aider, même si tu le désirais.)
(Un regard vers la main tendue, la main tendue que tu évites. Tu te fais l’aveugle volontaire, car trop lasse que les autres refusent d’accepter cette vérité flagrante ; un poids trop lourd à porter pour tes toutes frêles épaules, tu te débarrasses de ce qui t’allourdit sans le moindre remord.)

L’anomalie te fixe d’un regard morne ; un peu vide, un peu triste. Tu ne t’attardes pas trop sur ce que tu peux déceler au fond de ses yeux sombres, tu n’es pas intéressée. La proie se pense prédateur, tente d’inverser l’ordre des choses. Tu la laisses faire sans dire un mot. Elle te tourne autour, la machine. Tu ne sais pas trop ce qui lui passe par la tête, quelle est la chose qui anime sa mécanique. Tu ne la quittes pas des yeux ; la tempête au fond de ton regard se concentrant exclusivement sur la silhouette pâle de l’Akuma. « Dame Wilma. » La salutation – si on peut appeler la chose ainsi – te semble plus que glaciale. Tu ne t’en formalises pas plus que cela ; tu préfères de loin cette distance imposée immédiatement que la familiarité que certains – tes pensées se tournent vers un autre Akuma, rencontré plus tôt, Édith – pensent pouvoir se permettre. « Je ne fais hélas que ce me commande la fin. » Il y a cet air de fatalité dans sa voix, ce mouvement un peu mou quand elle hausse des épaules. Tu la regardes avec cette mine sévère qui ne va pas avec l’allure encore un peu juvénile de ton visage ; lèvres pincées et sourcils froncés, tu observes la marionnette d’un mauvais œil. « Vraiment … ? » demandes-tu sans trop y croire, sans trop savoir non plus où tu veux toi-même en venir. Tu te pares d’un manteau de confiance que tu ne ressens pas vraiment, tu fais semblant ; tu es un peu perdue, c’est la première fois que tu pars si loin depuis le retour de Chaos. Tu ne te laisses pas abattre pour autant ; ton armure est en place, ta forteresse est infaillible. « Tu as si faim que tu descends les autres Akumas … c’est ça ? » Tu hausses un sourcil inquisiteur, lui adressant un sourire faussement rassurant. « Comme c’est étrange … » marmonnes-tu suffisamment fort pour qu’elle puisse t’entendre sans mal. Il y a quelque chose qui cloche, c’est indéniable. C’est la machine qui est défectueuse. Tu le sais. Elle le sait. Il faut juste qu’elle l’avoue. « Quel est ton nom ? » l’interroges-tu distraitement. Tu en as assez de te référer à elle uniquement à la machine, ça devient vite lassant. Il te faut un nom, un prénom.

(Tu te donnes des airs de grande, des airs d’adulte. Mais tu n’es qu’une gamine. Une sale gosse, ta mère l’a toujours dit.)
(Elle a un air étrange, la machine. Tu ne sais pas trop si tu dois t’en inquiéter ou non. Instinctivement, tu penses que non. Elle n’est qu’une machine, après tout.)
(Mais tu as appris qu’à être trop confiante, tu ne peux que te casser les dents. Alors, tu décides de faire preuve d’un tout petit peu de prudence malgré tout.)

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Mer 25 Déc - 15:05
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La révolte des Boxers (chinois simplifié : 义和团起义 ; chinois traditionnel : 義和團起義 ; pinyin : Yìhétuán Qiyi ; litt. « mouvement de l'union de la justice et de la concorde »), ou révolte des Boxeurs, ou guerre des Boxers, fomentée par les Poings de la justice et de la concorde, société secrète dont le symbole était un poing fermé, d'où le surnom de Boxers donné à ses membres en Occident, se déroula en Chine, entre 1899 et 1901.

soyons
amies
(les meilleurs du monde)

un humain
sans trucage
d’abord
elle ferme les yeux et inspire une grande bouffé d’air
un air vicié
une fausse respiration
des poumons synthétiques
elle s’allume une cigarette, posément et finalement
Autonoé Samaras daigne poser ses yeux sur la moitié de supérieur hiérarchique qui lui adresse la parole avec ce ton vaguement malicieux
mais qui est surtout triste, au yeux de la grecque
enfin (elle soupire, et exhale la fumée grise mortelle pour les vivants).

Sourire cynique et mauvais et terrible — l’instant d’un moment (tu ne devrais pas provoquer les enfants ainsi, Autonoé, cela pourrait être dangereux puisqu’il faut encore vivre). « Si il se font descendre si facilement, méritaient-ils de vivre en premier lieux ? » Tu hausses esquisser un sourire. Ce n’est pas par véritable altruisme que tu « trucides » les autres Akumas, Autonoé, c’est bien par dépit. Puisque tu ne peux t’auriser de tuer les véritables humains, encore faut-il bien que tu puisses épancher tes pulsions assassines. Alors oui, trucider tes semblables, de plus bas niveaux… C’est un moyen comme un autre. Tu hausses les épaules — encore. « Du reste, vous remarquerez que je ne fais pas de distinctions entre les vivants et les morts. » Tous, ici, tu les tues — tu les libères de souffrances inutiles et longues. Tu fais un sourire (encore et pour la dernière fois) et tu t’arrêtes.


Tu fais un geste de tête, comme une fausse révérence.

«  Autonoé.  »


sourire perçant
regarde perçant
d’un geste tu attrapes le crâne d’un soldat agonisant
un humain
d’un geste tu lui broies le crâne
comme ça
avec une main (tu laisses transparaître ta force de machine pendant une moment comme si un troisième oeil te regardait Wilma)
le mouvement est trop rapide et atteindra le cerveau bien trop vite pour que le pauvre souffre
ça évidemment toi, tu le sais
voilà
démonstration de violences et de méchancetés pour de faux
maintenant tu espères que la Noé est rassurée
tu es bien du même bord
vous êtes bien des méchants
grrrrr
bon
c’est bien
tu espères que ce sera tout
tu baisses la tête, en résignation

« J’imagine que vous aviez besoin d’un niveau deux ? Ou serait-ce le pur hasard qui nous a mis ensemble sur la même route ? » Tu fais un sourire. Toujours aussi faux, toujours aussi dissonant, toujours aussi hypocrite. « Je ne voudrais pas prendre de vos précieux temps, Dame Discorde. »


ta cigarette est presque terminée, maintenant
du stress compulsif et de l’inquiétude et de la colère et de la lassitude
tu as tiré bien vite sur le précieux tabac.

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Mer 1 Jan - 19:21
Anonymous
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No more dreaming of the dead as if death itself was undone
autonoé & wilma
Tu n’es que la gamine capricieuse de la famille, celle qu’on aime voir punie dans un coin. Tu es punie, sans toutefois savoir pourquoi. Peut-être qu’on te reproche ton imprudence passée, comme si la douleur de l’Innocence transperçant ton être, votre être n’était pas suffisante. Comme si ces semaines passées à suffoquer et à lutter pour survivre ne t’avaient pas laissée traumatisée, craignant toujours de manquer d’air. Peut-être n’est-ce là qu’un test, tout simplement, comme le Comte te l’a dit. Un test pour savoir si tu es prête à retourner sur le terrain, si ton humanité temporaire ne t’a pas trop adoucie. Un test pour savoir si tu es encore digne de confiance. Tu comprends sans trop comprendre : tu es celle que tu as toujours été. Wilma, hôte de la Discorde. Il n’y a pas eu suffisamment de temps passé pour que cela s’efface de ton esprit. Tu es celle que tu as toujours été. Mais cela, personne ne le voit. Personne ne te voit. Tu n’es que la gamine capricieuse, après tout. Celle dont le tempérament fait frémir, dont les éclats de rire sont ce qu’il y a de plus rare. Tu es l’inébranlable, dans ton armure construite à la force de ta volonté. La violence ne te touche pas, ne t’effleure même pas. Sale gosse, uh. La pire des sales gosses. Tu n’as d’yeux que pour la machine. Ton regard gris posé sur elle, tu l’interroges alors que l’agonie se propage, que la violence s’empare impitoyablement de ses victimes. Oh, tu n’as d’yeux que pour elle et sa clope qu’elle tient du bout des lèvres. Pour elle et sa désinvolture, elle et son étrangeté. « S’ils se font descendre si facilement, méritaient-ils de vivre en premier lieux ? » La question mérite réflexion, tu dois bien l’avouer. Le Comte ne serait pas ravi d’apprendre que ses machines adorées font preuve de tant de faiblesse. Mais elle ne s’attaque qu’à des niveaux inférieurs, comme elle broie les corps sous ses pieds. Tu es intriguée, tu es interpelée.

(Tu es punie. Tu ne sais trop comment, ni pourquoi. Tu sais juste que tu ne mérites pas une telle chose.)
(La machine s’en fout, vraissemblablement. Tu ne dois pas laisser la chose t’atteindre.)
(Sur le champs de bataille, il n’y a que toi et la machine. Et les mourants.)

Tu restes silencieuse, peu convaincue. Tu ne sais même pas s’il est nécessaire que l’on te persuade de quoique ce soit, si tu as envie. De quoi doit-elle te convaincre, d’ailleurs ? Tu n’en sais trop rien. Tu ne sais plus trop ce que tu étais venue chercher, ici. Probablement semer le chaos comme tu le fais habituellement si bien. Une révérence qui sonne comme une moquerie et un prénom. « Autonoé. » C’est un drôle de prénom, Autonoé. Tu te demandes vaguement d’où ça vient, ce que peut être la signification de ce prénom si atypique. Puis finalement, tu décides que tu t’en fous. Comme pas mal de choses en ce bas monde, tu te fous de ce prénom aux sonorités étranges. Tu te fous de la machine. Tu te fous d’être ici ou ailleurs. Qu’est-ce que ça change, de toute façon ? Si ce n’est pas toi ici, ce sera quelqu’un d’autre. Si ce n’est pas Autonoé, une autre machine du Comte. Autonoé a un sourire carnassier, un regard glacial. D’un mouvement vif, elle attrape le crâne d’un mourant. Tu n’as pas le temps d’avoir pitié du bougre, si tant est que tu en aurais été capable. Déjà tu entends les os de son crâne qui cède sous la force de l’Akuma, les craquements sinistres marquant sombrement la fin d’une existence anonyme. Tu contemples le corps sans vie avec une forme de curiosité morbide, une fascination que tu ne peux assumer. Lentement, tu tournes ton attention à nouveau vers elle. Elle a la tête baissée, soudainement docile alors qu’elle montrait les dents quelques secondes plus tôt. Tu hausses un sourcil, interloquée par un tel changement. « J’imagine que vous aviez besoin d’un niveau deux ? Ou serait-ce le pur hasard qui nous a mis ensemble sur la même route ? » Tu as assez trainé dans les pattes de ton père, quand tu n’étais pas plus haute que trois pommes, lorsqu’il était en bonne société pour reconnaître l’hypocrisie quand celle-ci pointe le bout de son nez. Autonoé est contrainte de se montrer docile, tu es sa supérieure. Toi, la demi portion. Elle, la pas vraiment morte. Situation pas banale. Tu ne réagis pas. « Je ne voudrais pas prendre de vos précieux temps, Dame Discorde. » Tu hausses les épaules nonchalamment.

(Qu’est-ce que tu veux dans le fond ? Elle en pose, de bonnes questions, Autonoé.)
(T’es trop indécise, tu l’as toujours été. Au plus grand dam de ta mère.)
(Tu t’en fous, une nouvelle fois. Tu l’as jamais trop aimé, ta mère, de toute façon.)

Qu’est-ce que tu fiches ici ? Tu es punie, que tu te répètes inlassablement. Tu n’as plus envie de rire, plus envie d’être malicieuse avec l’Akuma. Tu te fais plus stricte, d’un coup. Moins rieuse, moins enthousiaste. Sale gosse, gamine capricieuse. « C’est le hasard, semble-t-il, qui précipite notre rencontre, Autonoé. » que tu lui dis doucement, de ta voix un peu rauque, un peu brute. Le hasard. Ou le Comte. Tu ne sais pas, tu ne sais plus. Tu t’en fous. Tu lui adresses un sourire plein de dents, un regard brillant de cette lueur prédatrice. Tu t’en fous, mais tu n’oublies pas l’ordre des choses. Tu es la dominante, elle est la dominée. Peu importe son hypocrisie, peu importe ton incertitude. « J’étais juste curieuse, alors je suis venue voir. » Et ton regard se pose sur l’homme précédemment achevé. Son crâne pulvérisé, sa vie volée. Tu n’as aucune pitié. Tu ne sais trop quoi en penser ; tu es bel et bien monstrueuse, avec si peu de compassion pour les morts, pour les blessés. Pour le reste du monde, en réalité. Tu n’es ici que parce que le Comte te l’a ordonnée demandée, rien de plus. Tu n’as pas le temps, l’énergie ou l’envie de te montrer sentimentale. Petit à petit, tu te défais de ton humanité … Est-ce le cas pour Autonoé ? A-t-elle oublié ce que cela faisait d’être humain ? Tu poses un regard calculateur sur elle, curieuse. « As-tu pitié d’eux, Autonoé ? » lui demandes-tu sur un ton étrangement léger. Es-tu plus humaine que moi ? est ce que tu lui demandes réellement.

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