D.gray'man HEART - Le Réveil du Coeur
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28.03.2023
Il est enfin là ! — Le générateur de combats promis depuis si longtemps est enfin disponible ! Oserez vous remettre votre destin au hasard ? Cliquez ici !
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28.03.2023
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Fin d'un XIXème siècle futuriste...

Le monde vit des heures sombres. Peuplé d'Akumas, machines meurtrières créées par le Comte Millénaire, l'Humanité touche à sa fin. C'est là qu'entrent en scène les Exorcistes : combattant au service du Vatican, ils se dressent sur la route du Comte et du Clan Noé dans le but de ramener la Paix dans le monde grâce à l'Innocence, une arme céleste. Cette Guerre Sainte est tenue secrète aux yeux du Monde : pour la comprendre, il faut prendre part au combat... Lire le contexte complet
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Du nouveau se prépare, si vous voulez vivre l'aventure, pensez à faire valider vos FTs avant le 22 avril ! /
Les PPs à l'honneur !

Kanda YuuMaréchal
Exorciste et Maréchal, Yuu Kanda est de retour dans les rangs de la Congrégation. exorciste de seconde génération, son passé est trouble et nul ne peut prédire son avenir.

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Souvenir du Plaisir de Noé, il est le Troisième Apôtre du Clan Noé. Il s'est auparavant livré à une terrible bataille contre les exorcistes. Reprendra-t-il part à la bataille ?

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Orateur né qui parle trop pour son propre bien. Utopiste et pacifique. Idées controversées qui lui ont valu les foudres de Central, et une mémoire modifiée et effacée.

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Ancien mercenaire et espion, il fait partie d'une troupe d'artistes. Pour protéger ses amis et sa troupe, Atem a tourné le dos à la Guerre Sainte. Mais elle pourrait le rattraper.

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Fervente religieuse qui a grandi dans un foyer très croyant, Dolores rêve d'un monde en paix. Elle rejoint les Disciples de Néah dans l'objectif de travailler pour son idéal.

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Ancienne boule de colère et de violence, Mase est désormais une machine de guerre solitaire et réservée. Il a tissé des liens très forts avec l'Apôtre du Savoir.

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Vagabond qui ne reste jamais bien longtemps au même endroit, Jax est un informateur pour les Pacificateurs, ainsi qu'un ancien Noé désormais exorcisé.

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Douce poupée de porcelaine aux yeux constamment perdus, renaissance de l'Oublie, princesse du sommeil éternelle aux liens perdus entre les notes d'Orphée.

Rumeurs...
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Notre Poulain...

Les Chroniques d'Elysia Après des siècles de guerre et de désolation, un climat de paix s'installe sur le Continent Blanc. Les habitants apprennent à panser leurs blessures et à cohabiter ensemble.
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Lun 15 Mai - 16:28
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ft. Leopoldine

ft. Wilma

「stand by me」
L’Angleterre n’est pas un pays que tu affectionnes tout particulièrement, tu dois bien l’avouer. Mais tu ne détestes pas non plus les paysages plats et ennuyeux qui te sont offerts. Tu es indifférente, tu ne ressens rien de particulier. Tu n’es pas émue alors que les impressionnants bâtiments de Londres se dressent devant toi, tu ne fais que cligner des yeux lassements alors que ton accompagnateur – Wolfgang – semble s’extasier devant cette architecture propre aux anglais. Tu ne le comprends pas. Les bâtiments n’ont rien de bien extraordinaires en soi … Ils ne sont pas particulièrement moches, mais ils ne sont pas non plus d’une beauté exceptionnelle. Ce sont des bâtiments, tout simplement ; leurs apparences importent peu, dans le fond, tant qu’ils servent leur utilité première – que ce soit pour loger ou pour travailler. Tu hausses les épaules alors que Wolfgang déblatère compliments et soupirs admiratifs en observant un immense bâtiment. Pendant quelques secondes, tu te demandes pourquoi tu es venue avec lui. Il n’est pas méchant Wolfgang, bien au contraire. Il t’aide énormément depuis le décès de ton père et ton retour en Allemagne, il se montre avenant et protecteur comme ton père de son vivant et cela te fait le plus grand bien. Toutefois, il t’arrive parfois de te sentir oppressée par l’enthousiasme du vieil homme, de l’ami le plus proche que ton père avait jamais eu. Ce n’est pas le goût du voyage qui t’a poussée à accompagner le vieil homme. Non. Tu n’aimes pas tant bouger que cela. C’est plutôt le comportement insupportable de tes sœurs et de ta mère qui t’a fait fuir. Tout simplement ; elles ne cessent de te demander où tu passais pendant tout ce temps où tu n’étais pas en Allemagne, elles t’interrogent sur ton changement d’attitude brutal. Et tu n’es pas prête à leur raconter tes aventures. Tu n’es pas sûre de leur raconter un jour.

Enfin. Là n’est pas l’important. Tu te tournes vers Wolfgang et, dans un souffle, tu lui annonces que tu vas abandonner sa compagnie pour flâner dans les rues de Londres. Il hoche la tête ; il a à faire de toute façon, il ne va pas passer son après-midi à admirer l’architecture anglaise. Il doit rencontrer des associés avec lesquels il espère conclure un contrat plus alléchant que le précédent. Tu le salues d’un signe de main amical après avoir accepté de le retrouver à votre hôtel pour l’heure du dîner. Alors que tu t’éloignes, tu entends Wolfgang t’ordonner – il n’y a pas d’autres mots – de ne pas te fatiguer et de faire attention à ne pas prendre froid. Si cette remarque t’aurait auparavant hérissée le poil, elle te fait à présent sourire. Tu sais que l’homme ne te considère pas comme une enfant, mais qu’il a malgré tout conscience de ta fragilité. Ton asthme fait de toi une personne fragile et l’atmosphère humide du pays n’est pas l’optimal pour toi. Tu sens l’air qui est plus lourd dans tes poumons, tu as la gorge qui te gratte légèrement, mais rien de bien grave. Avec ta belle écharpe – empruntée, que tu devras retourner un jour, probablement – tu ne crains rien. Ou tout du moins, tu as l’impression de ne pas être la jeune femme fragile que tu es dans l’imaginaire de tout ceux qui te connaissent. Tu marches la tête haute, fière comme à ton habitude. Tu ne marches pas vite, néanmoins, peu désireuse de t’essouffler alors que tu viens juste de commencer ta petite balade. Tu erres ici et là, tu observes les différentes boutiques et bientôt tu te perds dans les entrailles de la ville. Tu ne sais pas où tu es, mais cela importe peu car, bientôt, autre chose attire ton attention.

Ce sont des petits bruits discrets, que tu n’aurais probablement pas remarqué si l’endroit avait été plus animé ou si tu avais été prise dans une conversation. Mais étant donné que l’endroit est peu fréquenté et que tu es seule, tu n’as aucun mal à entendre des sanglots étouffés. Ils proviennent d’une ruelle perpendiculaire à l’allée où tu te trouves. Les sourcils froncés et une moue méfiante étirant tes traits pâles, tu t’approches lentement. Et tu aperçois une silhouette recroquevillée au bout de la ruelle – qui est en réalité une impasse, te rends-tu compte. Tu continues ton avancée prudente, puis d’une voix maladroite et un peu rauque, tu interpelles la silhouette.

« Hallo … est-ce que ça va ? »

Tu fais encore un pas, puis tu t’arrêtes. Impatiemment, tu attends une réponse.

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Dim 21 Mai - 21:57
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Invité
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C’est une horrible journée, comme tu n’avais pas connues depuis longtemps. Pourtant, les horribles évènements s’enchaînent dans ton quotidien. Mais normalement, ils prennent place la nuit. La journée, tu es en sécurité. Comme avec n’importe quel cauchemar en quelques sortes.

Mais non, aujourd’hui tes cauchemars ont continué de te suivre une fois le jour levé. Monsieur Henry, jugeant que ta nuit n’avait pas été assez profitable, a décidé de te faire travailler la journée aussi. Ce qui, pour toi, est la plus grande des humiliations. Dehors, en plein jour, tout le monde peut te voir. Tout le monde sait ce que tu fais et pourquoi tu attends. Tout le monde peut te juger. Qui sait, peut-être que les clients qui te sourient au café te croiseront. Et alors, tu ne pourras plus travailler là-bas. Et Monsieur Henry aura gagné, encore une fois.

Tu as dû courir jusque ton « chez toi » pour prendre Faith et l’amener chez ta patronne. En voyant tes yeux gorgés de larmes et ton teint blafard, elle n’a pas posé de questions. Mais tu sais très bien qu’elle s’inquiète pour toi et ton enfant. Peut-être pense t-elle que tu es une mauvaise mère, que tu ne mérites pas la garde de ta petite fille. Pourtant, c’est pour elle que tu fais tout ça.

La mort dans l’âme, tu es retournée dans ces quartiers dont on oublie le nom. Ils n’ont rien d’extraordinaire, semblent crier « vas t’en » en permanence. Les rares fois où l’on parle d’eux, c’est pour rappeler à quel point ils sont laids et peu fréquentables ou alors pour mentionner un crime sordide. Ce genre de crimes qui fait se vendre les journaux et parler les Dames dans les salons.

Les yeux perdus dans le vague, voulant te faire oublier, tu n’as pas fait attention à cet homme venant vers toi. Il n’avait pas l’air plus dangereux que les autres, pas plus méchants. Et puis, des coups ce n’était pas la première fois que tu en prenais. Tes bras, tes flancs ou tes côtes sont couverts de bleus. Mais cette fois-ci c’était différent. Cette fois-ci, c’est comme s’il voulait te faire disparaître une bonne fois pour toutes. Faire disparaître la seule preuve de ses désirs peu conventionnels.  

Et toi, Petite Léopoldine, tu n’as rien fait. Tu as tenté – en vain – de te protéger, mais n’as pas répliqué. Comment ? Tu ne t’es jamais battue. Et même si tu savais où frapper, quelle partie du corps viser, tu n’as pas la force de lutter contre un jeune homme en pleine forme. Tes muscles sous nourris ne font pas le poids, tu le sais très bien.

Alors l’homme a continué de frapper, encore et encore, jusqu’à ce que du bruit se fasse entendre. Il a lâché un dernier juron, une dernière promesse funèbre et a disparu. Toi, tu es restée au sol, à pleurer de douleur et de peur. Oh oui, tu étais morte de peur Léo. Peur de mourir, de ne plus revoir ta fille, de ne jamais dire la vérité à tes parents. Peur de mourir comme une putain, couverte de honte.
« Hallo … est-ce que ça va ? »
Tu sursautes et te protèges de nouveau. Peut-être que ton inconnu est allé chercher des complices. Mais non, lorsqu’enfin tu trouves le courage de regarder, tu ne vois qu’une jeune femme à l’air inoffensive. Tu essaies alors de lui sourire, pour effacer le sang et les larmes, mais as bien du mal. Ton visage te fait horriblement mal et tu devines que tu garderas des marques pour quelques jours encore.
« Ça va, oui. Ne vous inquiétez pas. » Continuez votre chemin, ne vous arrêtez pas pour une putain.
Oh pourtant, tu as envie qu’elle reste à tes côtés. Tu as envie qu’elle t’aide et que – peut-être – vous deveniez amies. Mais tu as bien trop honte. Maladroitement, comme pour lui prouver que tout va bien, tu te mets debout. Ta robe est dans un sale état, couverte de boue et de sang, mais tu prends le temps de la remettre en place, de recouvrir tes frêles épaules, comme si tu avais encore un peu d’honneur.
« C’est fini maintenant, il est parti. » D’un geste de la main tu essaies d’essuyer tes larmes, qui continuent de couler sans que tu ne puisses rien y faire « Excusez-moi, j’ai l’air d’une idiote comme ça. Vous cherchiez quelque chose ? »

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Lun 12 Juin - 12:34
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Invité
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ft. Leopoldine

ft. Wilma

「stand by me」
Quand tu as commencé à t’engager dans la petite ruelle, tu ne savais pas trop à quoi t’attendre. Une enfant blessée, peut-être. Effrayée, avec les genoux ensanglantés et les joues humides de larmes. Une gamine perdue ayant trébuché sur le pavé irrégulier, la peau rendue pâle par l’inquiétude et sa chute surprenante. Cela ne t’aurait pas étonné de tomber sur une fillette un peu meurtrie, mais bien vivante. Cela n’aurait pas été un spectacle extraordinaire. Tu as, un jour, toi-même été cette gamine. Alors que tu accompagnais ton père en ville, tu as vite été distraite et tu as lâché sa main. Tu as commencé à paniquer, à pleurer et à courir un peu partout quand tu t’es rendue compte que ton paternel n’était plus là. Tu as trébuché sur tes propres pieds, abîmant la jolie robe que tu portais ce jour et esquintant tes genoux ainsi que la paume de tes mains. Du haut de tes cinq ou six années de vie, tu n’avais jamais ressentis une telle peur. Aussi, tu ne peux que comprendre les petits sanglots que tu entends, où tu distingues sans mal la peur et la douleur. Ton coeur se fait un peu lourd dans ta poitrine, alors que tu attends au bout de l’impasse. Tu ne veux pas inquiéter davantage la personne que tu viens d’interpeler. Tu ne veux pas la presser – car tu ne doutes pas qu’il s’agit d’une jeune fille – tu sais que cela n’aiderait pas. Alors tu attends, tu prends ton mal en patience. Tu l’interpelles doucement, d’une voix que tu veux légère et sans contraintes. Tu l’interromps dans ses pleurs sans trop savoir quoi dire de plus, tu devines sans mal qu’elle sursaute. Tu entends ses sanglots qui s’arrêtent brusquement. Puis, finalement, la voilà qui se tourne dans ta direction.

Tu ne peux nier que tu es surprise de voir une jeune femme, pas une jeune fille. Brune, un peu frêle, mais pas dénuée d’un certain charme. Enfin, tu penses qu’elle doit avoir du charme, ce n’est pas facile à dire alors que son petit corps tremble et que son visage est couvert de larmes et de sang. Tes sourcils se froncent, les traits de ton visage se tendent. Qu’est-ce qui a bien pu lui arriver ? Tu l’observes, perplexe. Puis la lumière se fait dans ton esprit. Il n’est pas difficile de deviner ce qui s’est passé et cela te retourne l’estomac. Jeune femme issue de la petite bourgeoisie allemande, tu n’es pas souvent confrontée à la dureté de la vie de ces personnes à l’existence beaucoup moins aisée. Et, soudainement, tu te sens incroyablement démunie. Que faire ? Que dire ? Tu sais qu’aucun des mots que tu pourrais dire ne seront suffisants pour alléger la peine de la demoiselle, tu sais que, quoique tu fasses, rien ne pourra l’aider. C’est un conflit intérieur qui fait alors rage en toi. Tu as envie de fuir cette situation qui te hérisse le poil, sans pour autant être capable d’abandonner la jeune femme. Sa tentative de sourire te brise un peu le coeur ; son visage la fait souffrir, tu peux le voir à la façon dont les traits de son visage se tordent en une grimace disgrâcieuse alors qu’elle tente de t’offrir un sourire rassurant. Elle essaie d’essuyer ses larmes, sans toutefois y parvenir.

« Ça va, oui. Ne vous inquiétez pas. »

Ton visage se fait plus dur, tes lèvres se pincent. Tu n’es pas convaincue. Personne ne serait convaincu par le mensonge hideux de la jeune brune. Tu as envie de souligner le fait que les mots qui sont sortis de sa bouche sont dégoûtants, qu’elle ne peut échapper à la réalité atroce que, non, ça ne va définitivement pas. Elle se relève, sa robe est dans un sale état. Elle essaie de s’arranger un peu, mais ça ne l’aide pas. Toute sa personne est en piteux état.

« C’est fini maintenant, il est parti. »

Elle tente encore d’essuyer ses larmes qui n’ont de cesse de couler. Elle te fait de la peine, la brune. Sa déclaration éveille en toi une colère certaine et, pendant un quart de seconde, tu regrettes de ne plus être l’hôte de Chaos. Tu grinces des dents. Ah ! Si tu étais toujours l’hôte de Chaos, tu aurais très certainement fait regretter à ce fameux il d’avoir vu le jour. Tu en es certaine. Toutefois, tu ne peux qu’être là pour la victime.

« Excusez-moi, j’ai l’air d’une idiote comme ça. Vous cherchiez quelque chose ? »

Tu secoues doucement la tête, tu lèves les yeux au ciel. Le comportement de la jeune femme commence à t’agacer. Pourquoi ne reconnaît-elle donc pas la gravité de ce qui s’est passé ? Tu grinces à nouveau des dents. Tu la fixes de ton regard orageux et sévère. Tu ne réfléchis pas avant de prendre la parole, tu agis comme par instinct. Tu t’approches un peu d’elle et tu remarques qu’elle est plus grande que toi d’une petite dizaine de centimètres peut-être. Elle a l’air, malgré tout, bien plus frêle que toi. Tu l’observes durant de longues secondes, puis tu brises enfin le silence.

« Ne sois pas ridicule … Je t’ai entendu pleurer, donc je suis venue voir ce qui se passait. Tu marques une courte pause, puis tu reprends. Est-ce que tu as un endroit où te reposer et prendre soin de tes blessures ? Viens, je te raccompagne. »

Tu ne lui laisses pas le choix, véritablement. Elle ne peut pas protester. Tu attends patiemment qu’elle se mette en marche pour la suivre, l’observant avec tout autant de sérieux qu’auparavant.

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Dim 23 Juil - 15:42
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Tu es ridicule Léopoldine, et tu le sais parfaitement. Mais c’est plus fort que toi, comme si tu cherchais à protéger une fierté, souillée depuis bien longtemps. Comme si tu avais encore un peu d’orgueil, ne serait-ce qu’envers une Inconnue. Ou alors, tu ne veux pas qu’elle s’inquiète. Lorsque les personnes s’inquiètent, elles découvrent la vérité et sont blessées.

Enfin, tu n’es pas certaine qu’elle s’inquiète en vérité. Car la jeune femme fronce les sourcils et semblent contrariée. Tu ne sais pas pourquoi, ne comprends pas ce que tu as fait de mal. Et tu as peur de cette colère qui pourrait exploser. Oh, pourtant elle n’a pas l’air méchante ou même violente. Mais lorsqu’on ne connaît que les coups, on a du mal à s’attendre à autre chose.
« Ne sois pas ridicule … Je t’ai entendu pleurer, donc je suis venue voir ce qui se passait. » Tu rougis de ta bêtise et restes silencieuse « Est-ce que tu as un endroit où te reposer et prendre soin de tes blessures ? Viens, je te raccompagne. »
Oh non, il ne faut pas qu’elle vienne chez toi. Il ne faut pas que Monsieur Henry la voit. Ou pire, il ne faut pas qu’il te voit, alors que tu devrais être en train de travailler. Il serait très en colère, il pourrait s’en prendre à toi ou à Faith. Horrifiée à cette idée, tu recules de quelques pas en secouant les mains.
« Non, non non non. Il ne faut pas qu’il nous voit. Il ne faut pas »
Tu es livide et tes larmes ont déjà repris leur place derrière tes paupières. Ton petit esprit tourne à toute vitesse, pour essayer de trouver une solution. Car tu ne veux pas rester ici, il en est hors de question. Mais tu n’as nulle part où aller. Tu pourrais croiser ton employeur dans chaque parc, chaque café. Pourtant, tu sais qu’il a ses habitudes. Qu’il ne va pas dans certains endroits de la ville. Mais la peur est une chose irraisonnable et irraisonnée.
« Il y a le café. Mais non, il pourrait y être. Et elle ne doit pas savoir. Je ne peux aller nul part, il sera là. » Voilà que tu réfléchis à voix haute, oubliant la présence de l’inconnue. « Sauf chez Esmée. Oui, on peut aller chez Esmée. »
Esmée, c’est l’une des prostituées que tu croises parfois le soir. C’est ce qui se rapproche le plus d’une amie pour toi. Elle t’a beaucoup aidée et conseillée, pour tes premiers jours de travail. Tu n’es pas certaine qu’elle soit chez elle, mais c’est le seul endroit où tu peux aller pour l’instant. Monsieur Henry ne mettrait jamais les pieds par là-bas, au risque de s’attirer des ennuis. Et ton amie t'a donné la clé, pour que justement tu puisses toujours avoir un abris.

Sauf qu’on n’emmène pas une jeune fille de bonne famille chez une catin. A quoi penses-tu, Léopoldine ? Penses-tu simplement ? Non, il suffit de te regarder pour comprendre que ta raison n’est plus présente, que tu ne réagis que par peur. Pour survivre et éviter le plus d’ennuis possibles.

Convaincue par cette solution, tu lui adresses un sourire triste et te mets en chemin. Tu n’as pas fière allure et ta hanche te fait terriblement mal lorsque tu marches. Mais tu ne peux pas rester ici plus longtemps, et ta compagne non plus.
« Oh je suis navrée, je ne me suis pas présentée. Je m’appelle Léopoldine Dumas. Enchantée »
Un nouveau sourire, plus chaleureux cette fois-ci. L’incident n’est pas oublié, la peur n’est pas effacée. Mais c’est comme si un poids s’enlevait de tes épaules, alors que vous quittez cet horrible quartier.

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Mar 19 Sep - 15:40
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ft. Leopoldine

ft. Wilma

「stand by me」
Tu la contemples avec ton regard sombre et tu sens la colère monter en toi. Oh, ce n’est pas à elle que tu en veux, ce n’est pas à l’encontre de la jeune femme que ton courroux est dirigé. Non. Tu es furieuse contre le perpétrateur de ce que tu considères comme un crime. Un crime qui reste encore beaucoup trop commun à ton goût, un crime que beaucoup considère encore comme une simple banalité, que certains justifient parfois. Il n’est pas rare qu’une femme soit battue. Peu importe son statut social, même s’il est vrai que de telles pratiques sont plus répendues au sein des milieux plus modestes. À moins que les nobles sachent mieux cacher la chose. Tu n’en sais rien. Tu t’en fous. Tu ne vois que l’injustice profonde de l’acte, tu ne vois que le besoin masculin de prendre le dessus sur la figure féminine. Tu n’aimes pas cela, tu n’as jamais aimé cela. Tu n’as jamais été témoin d’une telle scène non plus, bien que tu en ais plus ou moins conscience. Voir de toi-même les conséquences de tels actes a quelque chose de terrible, de douloureux et d’enrageant. En ton coeur, la colère fait rage, te rendant plus sèche que tu ne l’aurais voulu. Elle n’a rien demandé, cette pauvre jeune femme. Elle voudrait certainement que tu la laisses tranquille. Mais tu ne peux pas le faire, pas en bonne conscience. Si tu l’abandonnais à présent, le souvenir de sa silhouette tremblotante te hanterait des mois durant. Alors tu tends dans sa direction une main un peu trop ferme, le regard trop sévère. Elle a besoin d’une douceur que tu ne saurais lui prodiguer, d’un regard bienveillant que tu es incapble de disperser. Triste réalité pour elle, coeur trop endurci pour toi. À chacun son fardeau.

Tu l’interroges rapidement sur un endroit où elle pourrait potentiellement se mettre à l’abri. Tu ne lui laisses pas vraiment le choix, tu la raccompagneras, qu’elle le veuille ou non. Chose qui semble la propulser dans un élan de panique incompréhensible.


« Non, non non non. Il ne faut pas qu’il nous voit. Il ne faut pas. »

Ses mains s’agitent avec ferveur alors que son visage blâfard est parcouru par les larmes. Tes sourcils se froncent, ton regard se fait plus tempêtueux encore. Qui est donc ce il qu’elle craint tant ? Tu pinces les lèvres, tu plisses les yeux un moment, puis tu soupires. Il doit bien y avoir quelque part où la jeune femme se sent en sécurité. Loin de ce mystérieux il et de la violence des autres hommes. Tu ouvres la bouche pour l’interroger à ce sujet. Mais la voilà qui reprend, te coupant dans ton élan.

« Il y a le café. Mais non, il pourrait y être. Et elle ne doit pas savoir. Je ne peux aller nul part, il sera là. Sauf chez Esmée. Oui, on peut aller chez Esmée. »

Elle semble temporairement oublier ta présence. Tu ne le prends pas personnellement, préférant attendre la fin de sa réflexion. Tu restes silencieuse un moment. Tu n’es pas délicate comme tes sœurs, tu parles bien trop souvent avant de réfléchir. Et surtout, tu manques cruellement de manières. Triste sourire fendant son visage, elle se met en route, boitillant, vers la demeure de ladite Esmée. Tu ne peux rien faire, rien dire pour la réconforter. Ce n’est pas dans ta nature, ça ne l’a jamais jamais été. Tu lui emboîtes le pas sans la moindre hésitation, ne sachant toujours pas quoi dire. Ombre silencieuse, tu as l’impression de faire office de gardienne pour le corps amoché et l’esprit abîmé de l’inconnue. Peut-être es-tu bien trop naïve en pensant cela, mais tu gonfles ta petite poitrine et tu redresses les épaules. Tu t’es battue dans une guerre qui n’était pas la tienne, tu peux bien défendre cette pauvre jeune femme de la gente masculine beaucoup trop vindicative. La mâchoire serrée, tu fusilles du regard les passants trop curieux qui vous observent, intrigués par l’étrange duo que vous formez. Une fille sans fortune à son nom alors que l’autre semble avoir une situation plus qu’aisée … Le tableau est atypique, tu dois bien l’avouer, mais ce n’est pas une raison.

« Oh je suis navrée, je ne me suis pas présentée. Je m’appelle Léopoldine Dumas. Enchantée. »

Tu ne réponds pas à son sourire, tu continues de marcher à ses côtés en la fixant quelques instants. Tu n’as pas envie de sourire. Tu n’es pas non plus enchantée de la rencontrer, car votre association temporaire n’est que le résultat d’une violence imméritée. Une fine grimace vient prendre possession de tes traits, tu détournes le regard.

« Wilma Hartmann. »

Ce W que tu souffles en un V aux sonorités particulières, cette dureté dans ton nom de famille. Tout un ensemble qui trahit le fait que tu n’es pas chez toi, que de passage. Ton ton sec, lui, indique que tu n’es pas ravie de l’avoir rencontrée. Pas qu’elle ait l’air désagréable ou quoique ce soit d’autre, mais les circonstances entourant votre rencontre ne te plaisent tout simplement pas. Tu n’en dis pas un mot, cependant, laissant tes gestes et le timbre de ta voix exprimer ton mécontentement.

« Elle habite loin, ton Esmée ? »

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Jeu 28 Déc - 15:59
Anonymous
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Tu sens les regards vous suivre, alors que vous avancez dans les rues anglaises. Tu sais très bien ce qu’ils se disent, tu connais chacune des pensées qui leur viennent à l’esprit. Oh oui, tu les connais par coeur presque, tant tu les as entendues. Mais cette fois-ci, il y a quelque chose de différent. Les regards ne durent jamais longtemps, les pensées se dissipent rapidement. Pourquoi ? Ce n’est que lorsque tu relèves les yeux que tu comprends.

Ta compagne les fusille tous du regard, un à un. Elle se fait ta gardienne et te protège de ceux qui oseraient te juger. Tu peux sentir la colère bouillir en elle. Et cette colère, cette rage presque, tu n’arrives pas à la cerner. Pourquoi se met elle dans un état pareil ? Il n’y a pas de raisons pourtant, surtout qu’elle ne te connaît pas. C’est un hasard si vous vous êtes rencontrées. Alors pourquoi chercher à te défendre de la sorte ? Personne n’avait jamais fait ça pour toi, en dehors de ta famille. Ça te rassure, te rappelle qu’il y a encore des gens biens qui parcourent les rues.
« Wilma Hartmann. Elle habite loin, ton Esmée ?  »
Elle ne sourit pas et ses mots sont durs. Tu devrais le prendre pour toi et te braquer, mais tu comprends que ce n’est pas totalement de ta faute tout ça. Que ce n’est pas contre toi, mais contre le monde entier. Enfin, c’est un peu de ta faute quand même si elle doit marcher toute cette distance jusque chez Esmée. Alors tu te presses de lui répondre, de t’excuser.
« Non, c’est dans la rue d’à côté. Je suis désolée pour le détour que je vous fais faire. Merci de le faire avec moi, d’ailleurs.  »
Tu redeviens silencieuse, mal à l’aise. C’est vrai qu’elle fait un sacré détour, l’éloignant de son chemin initiale. Alors tu presses le pas, pour ne pas lui faire perdre plus de temps qu’elle en perd déjà. Puis, tu laisses ta curiosité prendre le dessus. Après tout, vous n’allez pas avancer dans le silence comme ça, si ?
« C’est joli comme prénom, Wilma. Ce n’est pas anglais, j’imagine ? C’est amusant maintenant que j’y pense, je croise plus souvent des étrangers que des londoniens.  »
Louis, Aaliyah, ils n’étaient pas anglais non plus. La jeune femme était américaine, quant au jeune homme tu ne sais pas vraiment. Mais Louis, ça te rappelle plus ta terre natale que cette ville pluvieuse. Enfin peu importe.
« Oh, c’est ici ! » Dans un geste un peu maladroit, tu sors une clé de ta bottine et entreprends d’ouvrir la porte « On dirait qu’il n’y a que nous deux. Vous voulez entrer boire quelque chose ? Je ne voudrais pas vous retenir plus que je n’ai déjà fait. Mais je ne peux pas non plus ne pas vous remercier et vous laisser affronter le froid comme ça. Je crois qu’elle a du thé ou du café, si vous voulez. »
Tu sais très bien que si elle entre, ce n’est que pour quelques minutes, le temps de boire par politesse. Mais comme tu lui as dit, tu ne peux pas la laisser repartir comme ça. Tu ne peux pas lui claquer la porte au nez alors qu’elle était là pour toi, même si ce n’était que quelques minutes. Alors, même si c’est sûrement vain, tu préfères lui proposer. Vous finirez par vous quitter, c’est certain. Mais au moins, tu auras fait ce qu’il faut.

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