la peur au ventre ○ lena

usrjoined : 03/11/2020

( la peur au ventre )

Les Fjords norvégiens étaient magnifiques … Et ce mois de mars n’avait absolument rien retiré à leur beauté. Beth, accompagnée de deux traqueurs se permettaient d’observer l’inconnu. S’il y avait bien une chose qu’elle trouvait de positif dans cette horreur qu’était la Guerre Sainte, c’était la chance qu’elle avait de découvrir des lieux plus incroyables les uns des autres, plus fabuleux que ce qu’elle pourrait lire dans les livres. Et à chaque fois, sans exception, elle se disait que ce serait un bien merveilleux lieu pour mourir. Le vent était frais, faisant rougir ses joues, ses oreilles et le bout de son nez alors qu’elle remettait un mèche derrière son oreille, avant que le vent ne la chasse à nouveau, faisant voleter ces mèches brunes. Elle laissait l’enquête aux traqueurs, se moquant bien de ce qu’il pouvait arriver : elle était là pour être une arme, elle était là pour combattre, pour chasser les potentiels akuma avant d’être ranger, comme la jolie arme qu’elle était. Beth ne se sentait pas plus vivante ici qu’ailleurs … Mais le paysage était grandiose, fabuleux. Le paysage était tout ce que l’on pouvait attendre de la Norvège. Retirant sa capuche, la femme profita l’air si pure, si libérateur, bien loin de se douter qu’elle ne pourrait emplir aussi librement ses poumons avant un long moment. Sans se douter une seule seconde que bientôt, la terreur hanterait ses nuits.

Mais pour l’heure, elle jeta un coup d’œil aux traqueurs qui semblaient paniquer petit à petit … Beth se doutait pourquoi : malgré son désintérêt évident pour les soucis administratifs, elle avait pris le temps le temps de lire le rapport en chemin. Visiblement, il n’y avait pas que des akumas aussi. Il y avait un bien plus gros poisson, quelque chose de bien plus impressionnant, de bien plus terrifiant, qui faisait naitre la peur aux plus profonds des habitants aux alentours ; un cauchemar incarnait.

Un Descendant de Noé.

Est-ce que ce descendant serait le Libérateur de sa pitoyable existence ? De son erreur visible d’existence ? De cette farce que les gens appelaient vie ? Un rire franc en échapperait presque de ses lèvres alors qu’elle retirait sa veste. Même si Beth crevait pour cette délivrance, elle savait aussi qu’il était de son devoir de porter le flambeau d’une résistance. La croix des exorcistes, brillant fièrement sur son blason lui donnait cette impression unique d’être vue de tous. Et là était le but : elle était l’ennemie et se battrait jusqu’à ce qu’elle tombe au combat, car c’était l’unique destin que le monde lui autorisait.

Naître pour disparaitre. Quel bien triste plaisanterie.

S’éloignant de ses traqueurs, elle se rapprocha de la berge, admirant à nouveau ce paysage norvégiens, riches de tout, riche du monde, riche de merveilles … Elle se toura une dernière fois vers les traqueurs. Traqueurs qui semblaient tant terrifier alors que Beth souriait.

La mort ne lui avait jamais vraiment fait peur. Du moins, contrairement à ce qui l’attendait.

( Pando )

usrjoined : 11/08/2016

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La peur au ventre (haha Beth)

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Il ne neigeait (pas encore) ton esprit était comme embrumé tu te souvenais de la mission de l’exorciste (détruire l’innocence (comme un automatisme)) mais tout ce que tes yeux voyaient c’était cette lettre (sa lettre (adieu Soren (adieu toi que j’aime))) les pieds nus (comme pour te rappeler que tu ne possédais rien (même un amour (même pas un ami ? (adieu (le rideau se ferme)) c’était une mission classique (le genre de mission qu’on fait par cœur (on la récite comme une poésie (secouer très fort et attendre (que quelqu’un vienne vérifier à quel point j’ai détruit la boîte dans mes mains osseuses (cartilage (pas de chair (adieu)) les cheveux au vent (détaché (et adieu le ruban (et le blanc de la neige qui n’est pas encore la neige))) tu avais demandé aux machines (aux âmes hurlantes) de te signaler toute activité qui leur paraissaient suspect (quand ils se trompaient tu les détruisais (de rien adieu)) pauvres rouages (moi aussi j’aimerais m’autodétruire (je ne peux pas alors) j’autodétruis les autres ? haha enfin.

Un exorciste deux traqueurs (c’était tout pas de quoi me faire oublier (qu’il m’a oublié enfin (des larmes)) et peut être cette machine d’être plus intelligente que les autres (engrenages chanceux) et moi (étrange jeune fille pieds nus dans l’herbe froide) je marchais tranquillement vers eux (comme le futur fantôme qui hanteront bientôt leur nuit) et l’exorciste de s’éloigner (fool little one) et toi de te rapprocher discrètement (qui ferait attention Lena une simple enfant (qui ne sourit pas (adieu mon sourire)) il y a le moment où le premier te vois (il ne comprend je veux dire (quoi ?)) quelque mètre et son visage de se décomposer (qui d’autre que moi ?) le temps qu’il s’agrippe à la manche de son compère tu leur fais face (l’air morne (ou l’air mort (j’ai oublié)) « Dis » et ta voix brise le silence terrifiant que tu avais apporté avec toi tu regardes plus loin (l’exorciste) c’est à elle que tu t’adresses « Tu n’es pas censé rester près d’eux ? » et une première dague de glace (de matière noir froide (disgusting)) d’apparaitre dans ta main sans semonce sans rien (pas même un mouvement sur ton visage) tu viens transpercer la gorge du premier traqueur tu le regardes étouffer dans son propre sang lentement tu penches la tête (dis ça fait quoi ? de pouvoir oublier ?) tu retires brusquement ton arme et laisse son corps sans vie tomber (et je t’envie maintenant toi tu es en paix) ton attention se retourne vers l’exorciste « Tu sais pour éviter précisément ce genre de situation » ton œil de rouge à dorée se teinte doucement lorsqu’il croise le regard (terrifié (et dieu que tu aimes ça (et si vous aviez ce qu’est la Peur pauvres enfants fragiles))) tu te penches vers lui et viens chuchoter à son oreille « je pense que tu devrais aller te cacher non ? » et tu lui souris (allons tu devrais aller te cacher tu sais (hide and seek (fais moi oublier l’Oubli)) mais ton sourire se fade et (enfin tu sais) enfin tu regardes l’exorciste « Souhaiterais-tu me donner ton nom ? Tu sais pour que je puisse dire en rentrant mission accomplie et une pensée pour ? là je dis ton nom pour s’être battu comme un bon soldat jusqu’au bout. » et toi Lena de ricaner « et après je t’oublierai » comme lui m’a oublié.

La tech de Lena:

usrjoined : 03/11/2020

la peur au ventre‟ it's not much but it's proof „

— « Dis. Tu n’es pas censé rester près d’eux ? »

Le sang coule, abondamment, et le sourire de Beth disparait alors que les vestiges d’une vie s’effondrent. Akuma ? Noé ? Une jolie poupée de porcelaine aux pieds nus, au regard terrible et par instinct, les Bras s’activent et elle ressent en elle cette nausée infâme de l’Innocence qui se synchronise. Ridicule. Ridicule mais elle lève les bras. L’odeur du fer lui emplissait les narines … Celle du sang, celle de la peur, celle de ses bras. Par les dieux qu’elle détestait cette odeur. D’un œil entrainé, Beth observa l’arme. Beth força un sourire.

« Ah. Vraiment aucune pitié pour ce pauvre Herbert hin … Il était innocent dans ce combat et pourtant, c’est son sang que tu as fait couler plutôt que le mien. »

Un sang qui bouillonnait intérieurement. De colère. De frustration. D’appréhension. Elle aurait pu demander à stopper le combat. Elle aurait pu parlementer comme elle savait si bien le faire ou simplement accepter son destin et laisser la mort l’embrasser. Enfin. Libérée. Mais elle ne pouvait pas. Hamilton ne pouvait pas fuir un combat où d’autres innocents tomberont après elle. Jolie poupée de porcelaine était cruelle. Jolie poupée de porcelaine ne s’arrêterait pas à elle … Alors la fille de fer devait combattre… Ses bras commencèrent à chauffer, lentement mais surement alors qu’elle commençait à plier ses genoux pour adapter son jeu de jambes.

« Souhaiterais-tu me donner ton nom ? Tu sais pour que je puisse dire en rentrant mission accomplie et une pensée pour ? Là je dis ton nom pour s’être battu comme un bon soldat jusqu’au bout … Et après je t’oublierai. »

Un rire. Bref, intense. Glacial, comme la lame qui avait ôté la vie. La chaleur vrombissait dans ses bras attendant rapidement leurs piques. Un discours erratique qu’elle peinait à comprendre. L’Oublie hin. Etait-ce ça son souvenir, sa mémoire ? L’Oublie ? L’Oublie semblait être une bien douce mélodie aux oreilles de Beth.

« Désolée … », elle passa son pouce sous son nez, manquant de bruler sa peau, manquant de se blesser. « J’suis pas vraiment un bon soldat, ni un chien de garde … Dans le meilleur des mondes, ça m’arrangerait que tu parles juste. Mais tu n’as pas l’air d’être le genre à renoncer … »

Pas aujourd’hui. Peut-être avant ? Un déglutissement. Une fatalité. Beth poussa sur sa jambe pour se projeter vers elle, une main en avant pour attraper l’arme brusquement de sa ferraille, l’autre replié en avant devant elle pour la protéger, la chaleur soufflant fortement sur cette glace démoniaque, le souffle rauque de Beth rencontrant celle de la jolie poupée de porcelaine.

« Mais tu pourras écrire Beth sur ma tombe. » —

Technique utilisée:

usrjoined : 11/08/2016

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La peur au ventre (haha Beth)

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Y’a rien dans tes yeux tu sais rien du tout qu’est ce que tu fais là ? regarde il est mort ( à cause de toi) j’ai jamais vu ça (peut être les miens) que le néant dans tes yeux tranchants t’ai-je énervée ? au moins agacée ? motivée ? j’espère bats toi (bats-moi) je veux qu’on se blesse qu’on s’écharpe qu’on se ramasse (je veux manger de la terre (ou te regarder faire)) c’est pour les écrits t’inquiète ça va être un beau combat (peut-être pas) je réalise c’est peut-être moi ? t’es si lente je supporte l’attente (malgré tout (après je sais bien que de mes mains)) sort la glace (ma glace) fait curieux à chaque fois c’est comme si elle avait toujours été là ce que je veux en fait (c’est ton bras et) je sais bien c’est méchant (personne mérite autant (de douleur)) enfin j’espère que ne m’en tiendras pas rigueur ? tu comprends c’est juste la force des choses (exorciste) ennemies (à mort) pas le choix ne vois tu pas ? à quel point c’est dans nos gènes ? dans nos veines ? et encore toi (tu ne sais pas) la haine (obligé de m’en souvenir sa violence te ferait pâlir) un peu une excuse minable (une demande (une mascarade)) pardonne moi j’y peux rien c’est la haine des Noés qui déteint (sur mon esprit malade (drôle d’esprit bancale))

Je pense t’as pas de chance Beth l’exorciste et je répète ce qu’Angsthasia aurait dit aujourd’hui envie de me concentrer pas trop envie de parler tu sais je me bats jamais trop sérieusement (les raisons je te dirais pas) mais aujourd’hui c’est l’exception de mon œil expert je sors toutes les variables je fais mes calculs (et même les incertitudes) après c’est qu’une question d’habitude

tes bras sont chauds (même pas peur) tu sais pourquoi ? parce que moi de la glace je peux en avoir partout elle recouvre mes mains de son toucher de coton (si je te jure c’est tout doux) et vraiment Beth tu devrais pas trop m’approcher ma glace tu la touches c’est mort après t’es contaminée la glace et le feu (à croire que c’était nos destinés) le problème c’est que tu vois (t’es pas encore assez forte) pour l’attaquer (ma glace elle fond pas tu vois ?) par contre tu peux déjà la casser (j’avoue je suis déçue) truc marrant Beth (ça faut que je te dise) ma glace elle peut apparaitre de partout autour de moi (par exemple juste derrière toi) pendant que tu regardes pas (d’autres poignards) projetés vers toi mais apaise ton cœur dans ton malheur moi je veux jouer bien m’amuser (je peux pas te tuer) pour te contaminer la lame brisée dans ma main je la lâche (j’en ai plus besoin) de l’autre j’attrape ton poing replié (pour me protéger) et puis comme maintenant toutes les deux on a une main de libre (tu penses pas qu’on devrait se serrer la main) ? je viens poser cette main sur ton bras (presque gentiment) et tu te devrais te dépêcher de l’enlever (je dis ça je dis rien) « Bonjour Beth, battons-nous mais pas jusqu’à la mort okay ? » un sourire (c’est la folie)

Lena elle contrôle la glace pioupiou les poignards:

Lena elle contamine bang bang:

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la peur au ventre‟ it's not much but it's proof „

— Beth n’avait jamais eu sa place parmi les exorcistes. Parfois elle se demandait même pourquoi on ne l’avait pas laissé mourir dans cette ruelle.

La fille de fer avait pensé l’espace d’un instant que la chaleur ferait reculer la glace …Quel naïveté. Rien n’était aussi simple dans un affrontement contre les ennemis de l’Humanité … La glace ne fondait pas, bien au contraire. Et si Beth aurait pu sentir la douleur à travers le métal, sans doute qu’elle aurait souffert. Des bruits cristallins lui firent néanmoins tourner violemment la tête … Derrière, de la glace, des poignards de glace. A cause de cela, un sentiment qu’elle ne connaissait que trop bien commença à naitre au fond de son ventre : la peur. Vouloir mourir mais avoir peur de celle-ci, c’était risible, n’est-ce pas ? Juste peut-être parce qu’une silhouette se dessinait dans son esprit et qu’elle ne souhaitait pas le voir disparaitre de son existence. Est-ce qu’il l’oublierait si elle venait à disparaitre ? Mais Beth aurait du se concentrer sur l’incarnation de cette Peur, voir ce qu’elle préparait alors que sa main libre se posait vicieusement sur son bras d’acier.

Et cette sensation … Beth n’avait aucune sensation propre venant de ces bras. De la ferraille animée par une innocence. Pourtant à cet instant, un frisson d’horreur lui parcouru l’échine, une sensation de nausée … quelque chose n’allait pas avec ce contact. Quelque chose essayait de briser sa protection. Elle devait s’en extraire rapidement avant que cette main touche sa peau. Elle devait s’en aller avant que la glace ne la transperce. De sa main occupée, elle serra le poing de toutes ses forces avant de souffler du nez … Beth avait toujours une main libre. Beth pouvait encore survivre.

Pyrrha.

D’un coup puissant elle frappa de sa main libre le bras retenant le sien, l’entrainant de son autre main dans une rotation pour la mettre dos à ses propre armes, l’obligé à la libéré, l’obligé à relâcher sa pression pour qu’elle puisse reculé et ne plus être en contact avec cette main glaciale.

Que c’était triste qu’elle ne puisse réaliser qu’elle était en contact avec la Peur en elle-même. Elle connaissait ce sentiment si bien qu’elle aurait pu l’accueillir comme une vieille amie.

Beth reprit son souffle difficilement.

« La mort hin … toujours la mort. »

Il n’y avait pas d’autres destins pour les soldats de l’Ordre. Il suffisait simplement de se demander quand ? —

Technique utilisée:

usrjoined : 11/08/2016

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La peur au ventre (haha Beth)

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Ton innocence qui remonte jusqu’à ton bras pas de chance vraiment (my bad) j’aurais du regarder j’aurais pu analyser pas grave Beth je me laisse une seconde chance des miliers s’il le faut (c’est qu’on a le temps) je veux dire qui nous attend ? on est juste des âmes perdues au milieu de cette guerre absurde désolée je le suis pas parce que tu vois je suis obligée de me persuader que je t’aime pas sinon je pourrais pas (enfin t’as compris) je vois bien la naissance de la peur dans tes yeux ça la ravie (mon souvenir je veux dire) pas de chance pour toi ça a tendance à renforcer son pouvoir tu sais (tu devrais faire attention Angsthasia elle se nourrit) de tous ses cauchemars qui viennent te hanter (le soir dans ton lit) beau coup j’ai mal au bras (je te lâche parce que ça sert plus à rien) mais honnêtement Beth ? j’ai serré les dents tu nous retournes (je me demande si de loin on croirait pas qu’on dance) si ça je suis ton obligée (faut suivre la cadence) nice try vraiment mais tu sais ma glace mes poignards ce n’est qu’une extension (de mon corps) dont la direction (pas de chance) n’est qu’un détail un simple paramètre (pour le changer il suffit de le régler) alors quoi ? maintenant reprends ton souffle tu ferais bien mes poignards ils font que me frôler et ils viennent se loger (tes côtes ta poitrine et ton pied) je vois pas comment tu vas tous les esquiver (mais vas-y je te regarde) la glace recoure mon corps (je me protège) je te laisse pas le temps (je veux voir ton sang couler sur la neige) un coup de coude dans ta mâchoire j’ai juste besoin d’une seconde de ton inattention la main sur ton cou pas d’innocence ici pas de chance (le parasite il rentre si t’as pas compris ton corps c’est devenu son antre) mais comme je suis pas du genre à te lâche comme ça pas du genre à te lâcher une nouvelle fois je serre ma poigne adieu ta respiration sur mon corps ma glace comme une protection (allez frappe frappe pour ta vie) tu ferais mieux de te dépêcher j’ai pas l’intention de te lâcher (cette fois)

je suis pas une bonne personne je le savais déjà et cette voix dans ma tête (Angsthasia) qui m’aide pas c’est donc ça la famille faire partie des Noés ? des enfants contre des enfants qu’il suffit de tuer ? pour l’instant je l’accepte je me dis c’est mon destin plus tard je sais pas encore comment les regrets vont naître en mon sein (Beth je serai désolée bien en retard) tu m’en voudras t’auras raison (de toute façon on se reverra t’inquiète pas t’auras l’occasion) de te venger de me manger (je me demande d’ici là à quel point on aura changé)

Lena elle contrôle la glace pioupiou les poignards:

Lena elle contamine bang bang:

C. V.

B. O’C.

C. A.

E. K.

D. R.

E. L.

Fin d'un XIXème siècle futuriste...

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