D.gray'man HEART - Le Réveil du Coeur
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intrigue - [Intrigue, Chap. VII, Phase I] Ceux qui prient - Page 3 Parto512
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08.04.2024
Intrigue — L'Intrigue IX se profile à l'horizon ! Veillez à être à jour dans vos inscriptions, FP, FT et compagnie si vous souhaitez prendre par à cette nouvelle aventure super chillax !
07.04.2024
Recensement — C'est l'heure du ménage de printemps ! L'occasion de dorloter vos personnages en les gardant à vos côtés ou de les virer à coup de botte dans le derrière... Pour peut-être laisser la place à de nouveaux protagonistes à traumatiser ! par ici !
28.03.2023
Dix ans déjà ! — Si Heart existe depuis si longtemps, c'est avant tout grâce à vous. Pour fêter les (plus de) 10 ans, la team vous offre une refonte totale du forum ! Nouveau skin, nouvelles fonctionnalités, nouvelles intrigues et bien plus au programme par ici ! MERCI ! ♥
28.03.2023
Il est enfin là ! — Le générateur de combats promis depuis si longtemps est enfin disponible ! Oserez vous remettre votre destin au hasard ? Cliquez ici !
28.03.2023
Ils sont de retour ! — Les PPs bien-sûr ! Laissez-vous tenter par des personnages aussi divers qu'originaux. Vous connaissez le chemin, c'est par ici !
28.03.2023
Nouvelles quêtes ! — Vous voulez partir à l'aventure ? Résoudre des mystères ? Risquer votre vie ? Les nouvelles quêtes sont faites pour vous, et ça se passe ici !
28.03.2023
Bribes d'Aléas — Vous vous demandez ce que deviennent les choses après les intrigues ? Vous trouverez toutes vos réponses ici !
La team !
...besoin d'aide ?

C. V.

B. O’C.

C. A.

E. K.

D. R.

E. L.

Fin d'un XIXème siècle futuriste...

Le monde vit des heures sombres. Peuplé d'Akumas, machines meurtrières créées par le Comte Millénaire, l'Humanité touche à sa fin. C'est là qu'entrent en scène les Exorcistes : combattant au service du Vatican, ils se dressent sur la route du Comte et du Clan Noé dans le but de ramener la Paix dans le monde grâce à l'Innocence, une arme céleste. Cette Guerre Sainte est tenue secrète aux yeux du Monde : pour la comprendre, il faut prendre part au combat... Lire le contexte complet
Les annonces & co.
Fragments du passé
Une mystérieuse lumière est brièvement apparue dans le désert d'Atacama.
Mirage d'un Miracle
Intrigue IX
Recensement de Printemps
Pensez à vous recenser ici avant le 22 avril ! /
Clôture des FTs
Du nouveau se prépare, si vous voulez vivre l'aventure, pensez à faire valider vos FTs avant le 22 avril ! /
Les PPs à l'honneur !

Kanda YuuMaréchal
Exorciste et Maréchal, Yuu Kanda est de retour dans les rangs de la Congrégation. exorciste de seconde génération, son passé est trouble et nul ne peut prédire son avenir.

Tyki MikkDescendant de Noé
Souvenir du Plaisir de Noé, il est le Troisième Apôtre du Clan Noé. Il s'est auparavant livré à une terrible bataille contre les exorcistes. Reprendra-t-il part à la bataille ?

Archibald GuillemetExorciste
Orateur né qui parle trop pour son propre bien. Utopiste et pacifique. Idées controversées qui lui ont valu les foudres de Central, et une mémoire modifiée et effacée.

AtemCivil
Ancien mercenaire et espion, il fait partie d'une troupe d'artistes. Pour protéger ses amis et sa troupe, Atem a tourné le dos à la Guerre Sainte. Mais elle pourrait le rattraper.

Dolores GarcíaDisciple de Néah
Fervente religieuse qui a grandi dans un foyer très croyant, Dolores rêve d'un monde en paix. Elle rejoint les Disciples de Néah dans l'objectif de travailler pour son idéal.

Nunes MaseAkuma
Ancienne boule de colère et de violence, Mase est désormais une machine de guerre solitaire et réservée. Il a tissé des liens très forts avec l'Apôtre du Savoir.

Jax « Asahi » HarrisPacificateur
Vagabond qui ne reste jamais bien longtemps au même endroit, Jax est un informateur pour les Pacificateurs, ainsi qu'un ancien Noé désormais exorcisé.

Ahyoka VannDescendant de Noé
Douce poupée de porcelaine aux yeux constamment perdus, renaissance de l'Oublie, princesse du sommeil éternelle aux liens perdus entre les notes d'Orphée.

Rumeurs...
et faits divers...
Tempête de Sable. —Dans le Sahara, une importante tempête de sable fait rage depuis plusieurs jours. Les locaux sur place sont cloitrés chez eux et certains parlent déjà de colère divine. La Mort du Prince. —Depuis le dernier affrontement sanglant qui a eu lieu dans l'Arche, les Noés semblent se faire plus discrets. Presque calmes. L'Arche ayant été détruite, une étrange rumeur commence à circuler dans les couloirs. Et si le Comte Millénaire avait péri dans l'attaque. Et si c'est bien le cas, pourquoi la guerre n'est pas stoppée ? Idéalistes Perdus. —Si jusqu'ici Central n'avait pas fait des traîtres sa priorité, ses plans paraissent avoir changé. La traque des exorcistes en fuite prend de l'ampleur, d'important moyens sont déployés. Au vu des derniers combats, Célania Vaillant semble être sa cible principale. Rayé à l'Encre. —Lavi Bookman Junior a fuit la Congrégation. Il est maintenant considéré comme un traître et semble faire parti du groupe des pacificateurs. Aurait-il abandonné ses devoirs de Bookmen ? Jeune Maréchale. —Auparavant en apprentissage, la jeune Maréchale Destiny Richards voit son unité se remplir doucement. Beaucoup se questionne sur sa légitimité au vu de son jeune âge. Une paraît plus tenace que les autres : est-elle assez mature pour tenir son unité, compte tenu des derniers affrontements et des désertions. L'Amour et le Printemps. —Dans les couloirs de la Congrégation, il y a une rumeur qui circule en gloussement. L'on dit que Sevket Dečkih et Persephone Athanasis seraient plus proches qu'ils ne devraient l'être. Y a-t-il de l'amour dans l'air ? Liens étroits. —Auparavant discret, ça ne semble plus vraiment être un secret. Central renforce ses liens avec la Congrégation. Dans les couloirs, beaucoup sont maintenant obligés de se côtoyer, donnant presque l'impression d'être surveillé. Des tentions pourraient-elles éclater ? Vatican't. —De nombreux civils ont perdu la vie dans une mystérieuse explosion, d'origine inconnue, qui a entièrement soufflé le Vatican ainsi que les quartiers environnants. Les mots sur les pages. —Des bruits commencent à se propager sur ce mystérieux groupe hors du temps, les Bookmens. Certains les disent étrangement plus présents ces derniers temps, moins discrets, alors qu'ils semblaient presque ne pas exister jusqu'ici. L'étendu d'un Empire. —Les attaques d'Akumas et les disparitions inexpliquées de traqueurs semblent survenir de plus en plus fréquemment en Pologne. La Congrégation craint que le pays ne soit en train de tomber entre les mains du Comte et de ses alliés. L'envolée d'un Corbeau. —Une semi-Akuma prénommée Madalia Cuervo aurait disparu après l'attaque de la Congrégation. Cependant, les recherches n'ont permis de trouver aucun corps sur le champ de bataille. Les recherches ont été interrompues après plusieurs semaines d'enquêtes. Bateau Fantôme. —A New York, on raconte qu'un bateau aurait été plusieurs fois aperçu, passant devant les côtes, vers minuit. Du style de la Renaissance, on raconte qu'il s'agit d'un bateau fantôme d'explorateurs qui errerait, n'ayant jamais pu atteindre les côtes américaines. Complot Mondial. —Des destructions ainsi que des phénomènes étranges semblent se tenir partout dans le monde sans schéma précis. Petit à petit, des foules paraissent se rassembler pour essayer de comprendre ce qu'il se passe. Chasse au Trésor. —Une lumière dans un désert au fin fond du monde semble avoir été aperçu. De bouches à oreilles, la rumeur se perd et se transforme mais on raconte qu'elle serait source d'un grand trésors.

Notre Poulain...

Les Chroniques d'Elysia Après des siècles de guerre et de désolation, un climat de paix s'installe sur le Continent Blanc. Les habitants apprennent à panser leurs blessures et à cohabiter ensemble.
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[Intrigue, Chap. VII, Phase I] Ceux qui prient

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Edith Laforet
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Blasius Barnes
Asiye Y. Demir
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Le Cube
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intrigue - [Intrigue, Chap. VII, Phase I] Ceux qui prient - Page 3 Empty Re: [Intrigue, Chap. VII, Phase I] Ceux qui prient

Mer 4 Mar - 17:19
Anonymous
Invité
Invité

 

a scream in their heads

ceux qui prient

Risible est ta tentative d’attaque, mais tu auras au moins essayé. Coeur battant la chamade contre tes côtes, les mains rendues moites par l’anxiété, tu observes ton énorme caillou se briser sous les écailles résistantes du serpent. Tu halètes, tu hésites. Tu ne devrais pas, poutant. Tu es vraiment trop exposée, là, sur le champs de bataille. Tu es sortie de ta zone de confort pour protéger ceux qui te sont chers et ceux que tu ne connais pas encore. Tu ne bouges pas, cependant. Tu ne sais que faire ; jamais encore tu ne t’es retrouvée dans situation pareille. Jamais encore n’as-tu eu si peur que tu en as perdu la tête. Tes doigts tout tâchés d’encre ne savent plus quel caractère tracer pour vous sortir de ce mauvais pas. Tu laisses ton regard s’égarer sur les combattants, adverses et alliés. Ta décision est prise, il te faut te mêler à tes camarades. Il te faut aller plus avant sur le front pour être d’une quelconque aide. En restant en retrait, tu n’arriveras à rien. Tu jettes un coup d’oeil par-dessus ton épaule, tu aperçois tout juste Viggo qui commence à se réveiller. À cette vision, ton coeur se réchauffe un peu. Mais tu n’en oublies pas pour autant la guerre qui fait rage autour de toi. Mine renfrognée et déterminée, tu jettes un dernier coup d’oeil à ton ami et tes compagnons d’infortune. Tu ne leur seras d’aucune utilité, ici. L’Exorciste inconnu semble bien savoir se défendre et tu ne doutes pas que Viggo, une fois remis sur pieds, saura lui aussi prendre les armes. Tu n’es qu’un boulet attaché à leur cheville, ici … Alors qu’un tout petit peu plus loin, d’autres camarades peuvent avoir besoin de ton aide. « Take care ! » leur cries-tu sans vraiment réfléchir, agitant une main pour leur annoncer ton départ. « I’ll be back, don’t you worry ! » Et tu t’élances sur le champs de bataille. Ta course est interrompue par le sol qui se met à trembler. C’est avec une bonne dose d’émerveillement que tu vois Adélaïde invoquer un énorme bâteau, qui occupe une bonne partie de l’entrée. Tu ne prends pas le temps de t’émerveiller davantage, tu te précipites dès que le sol est à nouveau stable sous tes pieds. Tu arrives vers une gamine avec des pierres, une Exorciste elle-aussi. À ses côtés, une autre camarade dont tu ignores l’identité. Tant de personnes que tu ne connais pas, mais avec lesquelles tu te sens si proche, unies par ce désir de protéger et de survivre. Tu ne t’attardes pas sur ces élans de sentimentalité inutiles. Tu te concentres sur la situation que vous devez affronter. « Do you need help ? » leur demandes-tu abruptement. Pas le temps, pas le temps, pas le temps. « If you want to build a wall to keep them from progressing any further, I could help strenghten it ! » leur proposes-tu rapidement, le souffle court et le coeur battant fort. « Or if you want to break anything, I can help by weakening it ! » Tu n’es pas bien compliquée, Hūa. Tu veux juste aider.
@lots of people fight for your life
Awful


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Mer 4 Mar - 22:03
Blasius Barnes
rang : Langue de serpent
phrase : it sucks, doesn't it ? feeling like you're not good enough, no matter how hard you try.
pjlinks :

FP

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FT

intrigue - [Intrigue, Chap. VII, Phase I] Ceux qui prient - Page 3 60x60

RP

intrigue - [Intrigue, Chap. VII, Phase I] Ceux qui prient - Page 3 60x60
pjdialog : Blasius manipule en #AF8989.
icon2 : intrigue - [Intrigue, Chap. VII, Phase I] Ceux qui prient - Page 3 3sJkivO
aliaspj : L'Etoile du Nord
pjpersonality : Vicieux – tendre – doux – avenant – souriant – tenace – serviable – charmeur – souffrant (du rejet des autres) – réfléchi – ponctuel – loyal – tourmenté – violent (quand les murmures d'Illness se promènent dans chaque parcelle de son corps) – manipulateur (avec ses proies) – persuasif – aimant – rassurant – subtil.
pjage : 25 ans réellement | 20 ans physiquement
usralias : Chandellion
usrage : 24
usrbday : 08/11
rppoints :

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4033 ptsRang C dans 0 pts et 1 condition (1/2 conditions remplies)
status : Available 00/0
usrjoined : 28/02/2020
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Apôtre de Noé

Blasius Barnes

Ceux qui prient


Ft. All



Révolte. Chaos. Châtiment. Savoir, et d'autres alliés encore. Tous étaient parti pour délivrer Bonnie et Blasius avait laissé place à Illness, qui s'était empressé de ramener la longue chevelure du joueur de harpe en une queue de cheval. C'était bien plus pratique pour se battre. Bien plus pratique pour voir ce qui se passait autour, et sa stature engouffrée dans l'entrée de la Congrégation se frayait un chemin à travers les cadavres empilés. A grandes enjambées, la Maladie traversait le hall, filant droit alors que les Exorcistes qui l'environnaient se faisaient attaquer de part en part par des Akumas et par ses frères et sœurs. Ses yeux dorés avaient croisé les prunelles du Châtiment, aperçut les doublures de Chaos et vu le drapeau blanc de la Révolte flotter dans l'air. Les flammes dansaient, le serpent chantait, les pierres éclataient et un navire espagnol avait pris place, majestueux, immense.

Illness avait pu s'écarter à temps pour ne pas se faire ensevelir par le Santa Maria, et si son regard pétillant se posa quelques secondes sur le squelette légendaire, il attarda de nouveau ses prunelles face à lui, son cœur bondissant dans sa poitrine alors qu'il aperçut bientôt l'une de ses sœurs en plein combat face à deux exorcistes. Bien. Pas question de laisser le Noé du Savoir seul face à deux exorcistes. Pas question qu'on dérobe à leur famille un autre de ses membres. Bonnie. Bonnie. Le palpitant s'emballait d'une colère qui ne transparaissait qu'à travers ses mirettes d'or, son sourire étiré sur sa peau cendrée dévoilant simplement les ténèbres qui rongeaient la Maladie. De sa main droite, des anneaux apparurent les uns rattachés aux autres dans un tintement de fer. Ses doigts attrapèrent la chaîne et un craquement d'os signifia l'apparition d'un crâne de rat. Pas d'activation pour le moment, mais la Maladie avait repéré sa cible.

Dominus avait disparu derrière Chiron, seul avec une exorciste aux cheveux blonds. Dominus, redevenue Ada, se trouvait derrière Chiron,  rempart face à un homme qui barrait le passage à Illness pour se rendre auprès de sa famille en difficulté, souffrante. It's time. Time to fight, et la Maladie élança son arme qui vint s'enrouler autour du bras de Akira, avant qu'il ne le tire violemment vers le sol. « On ne touche pas à la famille, boy. Tu n'iras pas plus loin. » souffla la Langue de serpent, le sourire malsain hissé sur ses lèvres. Bonnie. Ada. Amorem. Dominus. Ils faisaient partie de sa famille, et ni Blasius, ni Illness ne les laisseraient derrière eux.
         
          Halloween


résumé:

intrigue - [Intrigue, Chap. VII, Phase I] Ceux qui prient - Page 3 Empty Re: [Intrigue, Chap. VII, Phase I] Ceux qui prient

Mer 4 Mar - 22:23
Edith Laforet
rang : o u r o b o r o s
phrase :
« i'm like a flower that's fading here, where every hour is one long tear »
pjlinks :

FP

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RS

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FT

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pjdialog : Edith pardonne en #B78178.
icon2 : intrigue - [Intrigue, Chap. VII, Phase I] Ceux qui prient - Page 3 BJnDRqr.gif20edith
aliaspj : Sad Bird
pjpersonality : ❥ h u m a i n e ❥

| banque |

(merci Dess et Bonnie pour les avatars et Pan pour l'aes ❥)
pjage : 22 years old
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570 pts + 2 conditionsRang C à partir de 1050 pts + 2 conditions
parcoursrp : • even if we did defeat them, what will we do then ?autonoé & friends + 10
• the pain i don't say out loud, builds a home inside medorothea von rosenwald + 10
• quête 15 : blue hellft. felipe borréda de soto + 20
• look inside yourself lion d. ferguson + 10
• who cares if one more light goes out in a sky of a million stars ?sua + 10
• quête 21 : freak showsebastian abbott & asiye y. demir + 20
• l'amour est dans le préfelipe borréda de soto & bonnie r. o'cahan & sua + 10
• greener ; they said the grass was greeneracanit g. owens + 10
• let it go and unleash all the feelingsblasius barnes + 10
• part one : take more chances, dance more dancesfelipe borréda de soto + 10
• proud people breed sad sorrows for themselvesadelheid von rosenwald + 10
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Akuma

Edith Laforet
à l'attaque
« Murderess is a strong word to have attached to you. It has a smell to it, that word - musky and oppressive, like dead flowers in a vase. »
Tu souffles un peu (tu profites de l’éphémère accalmie qui prend place, de ces instants tranquilles qui préparent les tempêtes souvent (tu ne sais plus trop ce que tu fais là exactement pour être honnête – ils ne t’intéressent pas ces exorcistes tout ce qui compte c’est que Bonnie soit sauvée alors pourquoi ?)) et l’homme-plante étend ses lianes pour récupérer l’humain ainsi que l’ange dans la tentative de (peut-être) les mettre à l’abri. Là ça te frappe un peu plus fortement parce que je crois que dans l’histoire c’est toi la méchante (vilaine machine (sinistre créature qui dérobe les vies) tu fracasses ta carcasse sous leurs yeux à peine éveillés (effrayés) pour imposer la destruction et après tu t’étonnes qu’aucun ne prenne la (bonne) décision d’abandonner maison et amis (famille) ; oh ça t’arrangerait voilà tout (sauf que la vie n’arrange que rarement les âmes qui dérogent toutes les lois pour continuer d’exister).

Enfin peut-être qu’elle t’arrange un peu en vérité parce que regarde même s’ils trafiquent entre eux (je-ne-sais-quoi) ils ne t’attaquent pas pour l’instant : ils s’y préparent sûrement, mais les coups demeurent en suspens. C’est bien ça très bien même – ou espérais-tu au contraire qu’ils te servent sur un joli plateau doré un prétexte parfait pour pouvoir (à moindre culpabilité) les amocher ? Je te pensais décidée… visiblement tu ne parviens à définitivement cesser de douter. Ainsi tout va bien (un peu trop même (de ton côté en tout cas)), suffisamment bien pour constater que chez Dominus il s’y passe quelque chose (quelque chose que tu ne vois pas (quelque chose qui n’appartient qu’à elles)) et naturellement tu surveilles muettement le vampire qui rôde (qu’il se frotte au protecteur plutôt va) car tu ne permettras pas qu’un autre apôtre (surtout de ceux-là) termine comme Bonnie – mais Blasius arrive (et te voilà rassurée).

La jeune fille au caillou qui t’apparaissait la plus combative des trois (justement) se dirige sur le champ de bataille (le vrai), celui-là même où le grand Santa Maria est sorti de terre pour vous narguer. Il semblerait qu’elle leur laisse ton sort (ton annihilation) entre les mains ; belle preuve de confiance, même si tu doutes qu’ils y parviennent (en général la mort c’est toi qui la donne et puis c’est tout). L’humain te dérange car il n’a rien à faire ici contrairement aux combattants qui, même s’ils n’ont rien à faire ici non plus, demeurent tout de même capables d’amplement se défendre face à la machine. Tu comptes sur le fait qu’ils sauront le protéger, autrement… – oh, mais ce n’est pas de ta responsabilité, ça, tu comprends ?

Tes jolies écailles de matière noire frétillent (elles savent que tu te prépares à les lâcher) tandis que ta petite personne se décide à leur adresser quelques mots (avant de) :

— Vous savez j'aurais vraiment préféré que tout ceci ne se produise jamais, but that’s what you get for taking one of us (of them en réalité, mais ce n’est pas quelque chose que tu as le temps de spécifier – qu’importe)… please forgive me, for i have no choice.

Allez Edith il vaut mieux que ce soit toi plutôt que eux (combien de fois va-t-il falloir le répéter ?), car même plongée dans la rage la plus profane, tu laisseras éternellement le coup de grâce en en rupture – à compter que tu sois lucide et, heureusement pour tes adversaires, actuellement : tu l’es. Bien sûr la faim te démange (elle tiraille tes rouages à l’intérieur tu la sens qui s’infiltre qui tapisse tes mécanismes elle les enrobe de son doux miel et puis sagement elle attend ; elle est tout simplement et je crains bien que tu ne réussisses jamais à t’en débarrasser), mais tu peux (tu sais (tu dois)) la supporter. Tu ne les tueras pas non tu ne les tueras pas tu m’entends ? – tu les égratigneras (juste les égratigner (juste les écorcher (juste assez pour qu’on les croit perdus oui c’est ça c’est comme ça qu’il faut procéder (il n’y a que comme ça que tu peux procéder)))) oui juste assez pour les sauver

— Je vous avais prévenu, pourtant… mais vous ne me laissez pas d’autre choix, vous comprenez ? Consider yourselves lucky though : i really am the nicest one here.

Car du temps, il n’en reste plus, maintenant.

Et tes écailles pleuvent, sur eux, partout ; juste assez pour les… (juste assez).

résumé:
technique utilisée:


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❥ ❥ ❥
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aes :

intrigue - [Intrigue, Chap. VII, Phase I] Ceux qui prient - Page 3 Empty Re: [Intrigue, Chap. VII, Phase I] Ceux qui prient

Jeu 5 Mar - 0:05
Akira Nakamura
rang : Sorry-ever-after
phrase : Liberate me ex inferis.
pjlinks :

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FT

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B

intrigue - [Intrigue, Chap. VII, Phase I] Ceux qui prient - Page 3 V4wd
pjdialog : Akira hurle en hotpink.
icon2 : intrigue - [Intrigue, Chap. VII, Phase I] Ceux qui prient - Page 3 5fpn
aliaspj : Le Monstre
pjpersonality : Il était une fois, l'histoire d'un écrivain, le portrait d'un homme qui couchait sur le papier les couleurs des rêves qu'il n'avait jamais été capable d'exprimer autrement. Il était une fois un homme qui avait perdu ses couleurs, qui s'était construit une prison, et qui en avait jeté la clef.
Il était une fin. Celle de l'homme qui l'avait lui même instrumentée, incapable de se pardonner lui même. Il était une fin, celle de miroirs brisés, celle d'une identité déchirée, celle d'une humanité pleurée, celle d'un monstre qui est venu la remplacer.
Il était la fin d'un homme, il était une fois le Monstre.
Cette histoire, c'est la rédemption d'Akira.
pjage : 34 years old
usralias : Ignis
usrage : 26
usrbday : 07/12
rppoints :

Rang B

2280 pts, 10 conditions
status : Indisponible 15/5
usrjoined : 02/07/2019
Messages : 307
Exorciste

Akira Nakamura
Invasion
Akira & co


 
 
Tout s’est passé vite, très vite. Tu vois du coin de l’œil Risa qui te rejoint, pour détruire rapidement une roue du char, et se charger du Pharaon invoqué aux côtés du Savoir. Voilà que sa technique pour crâner n’a pas fait long feu, et le char disparait. Déséquilibrée, elle ne peut pas très bien esquiver ton coup, et tu vois tes griffes foncer vers elle, érafler son bras…
Avant qu’un bouclier n’apparaisse devant elle, fonçant vers toi. Surpris, tu recules alors que le bouclier percute tes griffes d’innocence et s’apprête à te faire tomber. Tu la connais, cette invocation, n‘est-ce pas, Akira ? La même invocation qu’elle a utilisée, ce jour-là, à cette fameuse mission. Oh mais ce jour là il y avait cette fille, cette inconnue, qui a surgi pour le tuer en un coup. Mais toi tu n’as pas cette force n’est-ce pas ? Oh oui tu en es convaincu, et pourtant il faut que tu chasses cette idée, il faut que tu reprennes un minimum de confiance -haha vraiment tu avais raison, tu ne seras pas capable de tenir ta promesse, n’est ce pas ?
C’est ainsi que tu es devant le centaure, qui fait barrage entre toi, le Savoir… et Risa. Et s’il t’empêche de les approcher, pourtant tu entends leur conversation, impossible de la louper, entre les sanglots et les cris de la Noé.
Pourquoi ?
Pourquoi demande-t-elle à Risa de se réveiller ? Pourquoi dit-elle tout ça ? Tu ne comprends pas Akira, et en même temps, faut-il vraiment comprendre une Noé ? Elle la trompe, voilà tout. Elle la manipule, elle joue avec elle.
N’est-ce pas ?
Malgré tout, tu es curieux Akira, trop curieux, surtout lorsqu’une tornade d’eau se créée autour des deux femmes. Ca tombe bien cependant, car tu as griffé la Rouge, tes griffes de sang ont donc contaminé son organisme.

Et voilà que, face au centaure… tu fermes les yeux, n’attaquant même pas. Tu n’es pas aveugle cependant, car, grâce à ta technique du Vampire télépathique, tu peux voir et entendre tout ce que le Savoir voit et entend, et surtout, tu peux lire ses pensées.
Et en effet. Tu en apprends, des choses. Notamment ses sentiments envers l’exorciste, et sa tristesse profonde à la voir ainsi… changée. Changée, oui. Toi aussi tu l’avais trouvée changée à ce moment-là… Et les soupçons de la Rouge se portent sur Central.
Ainsi donc Risa aurait eu une liaison avec une Noé ?
En sachant tout ce qu’ils ont fait ?
Ca ne peut être qu’une tromperie, n’est-ce pas ? Ça ne peut être que ça, Akira. Tu sais ce dont les Noés sont capables : il suffit de regarder autour de toi, même si vous défendez le QG du mieux que vous le pouvez, il y a déjà des victimes et des pertes humaines non négligeables.
Et Risa peut vraiment accepter ça ?
Tu dois lui ouvrir les yeux.

Mais voilà que quelque chose te fait oublier bien vite cette idée. A travers les yeux du Savoir, tu es témoin de la blessure de Risa. Le virus se répand lentement dans ses veines jusqu’à ce que…
Tu sens d’un coup quelque chose qui agrippe violemment ton bras et te tire en arrière. Tu perds l’équilibre et tu sens ta tête cogner contre le sol dur, coupant net le lien télépathique.

-On ne touche pas à la famille, boy. Tu n'iras pas plus loin.

Tu relèves la tête vers le nouvel arrivant, bien que sonné, et que la tête te tourne fortement du coup, tu ne le vois pas très bien donc, finalement. En revanche, ce dont tu es bien au courant, c’est que Risa va bientôt mourir, de l’autre côté, si tu ne fais rien.
Tu ne peux pas la laisser mourir.
Même si elle t’agasse. Même si vous vous êtes battus. Même si elle est aussi insupportable que toi. Même si vous continuez de vous lancer des piques.
Tu ne peux pas la laisser mourir.
Et c’est sans doute parce qu’elle te ressemble sur de nombreux points, que tu ne veux pas qu’elle sombre encore plus bas.
Alors tu fais une chose que tu n’as jamais faite avant : tu vas faire confiance à une Noé, et surtout, aux sentiments que tu as lus en elle -parce qu’au fond tu as toi aussi la même inquiétude.
Alors à nouveau tu fermes les yeux, ne ripostant même pas face à l’attaque du Noé aux chaines, ou plutôt, essayant de prévenir une nouvelle attaque. Et tu t’adresses, directement à l’esprit de la demoiselle en rouge.

« Dis à ton camarade Tête de Rat d’arrêter de m’attaquer ! Tu ne veux pas qu’elle meure, non ?! Et moi non plus. Je peux essayer de cicatriser sa blessure. »

Et, immédiatement, tu sors une petite fiole de sang que tu avais coincée dans ta ceinture, et la fais rouler vers le Savoir.

« Applique ça sur sa blessure, vite !!! Ça ne pourra pas tout cicatriser mais au moins aider. »

Tu sais qu’elle le fera, pour ça au moins, vous serez d’accord. Mais tu n’as pas non plus l’intention de lui laisser Risa. Tu tournes la tête vers le golem qui flotte au-dessus de toi.

-Que quelqu’un vienne prêt du couloir, vite !!! Risa est en situation critique, emmenez là en sécurité tout de suite pour pouvoir la soigner !

Car non, tes soins ne seront pas suffisamment efficaces, Akira, pas encore. En vérité ils pourront peut-être cicatriser vraiment légèrement mais pas du tout complètement. Néanmoins, c’est mieux que rien -et tu dois essayer de toute façon.
Mais ce n’est pas parce qu’elle a voulu soigner Risa que tu vas la laisser tranquille. Car après tout, tout est de sa faute.

« Tout ce qui est arrivé, c’est de votre faute, de ta faute. Tu l’aimes ? Pourtant si tu n’avais pas débarqué, elle ne serait pas blessée, elle n’aurait pas subi tout ça. »

Et tu lui transmets, en image mentale, cette fois-là, où Risa pleurait son désespoir, dans la salle d’entrainement, alors qu’elle se remémorait la mort de sa fille.

« Regarde, observe bien. Ce sont à cause des gens comme toi que sa fille est morte, qu’elle est si désespérée. Vous êtes la cause de son désespoir ! »

La chaine de Tête de Rat retient toujours ton bras. Alors, tu lèves tes griffes de sang. Pour les briser ? Non : tu actives la Comtesse Sanglante et, tu plantes tes griffes dans ton propre ventre, sans toucher un point vital cependant. Le coup te coupe net le souffle -le désavantage d’avoir une telle innocence, le désavantage de devoir te sacrifier. Lorsque tu retires les griffes de ton ventre, ta blessure disparait cependant, et réapparait sur le corps du Savoir.
Tu aimerais te relever pour faire face à celui qui t’entrave toujours mais après t’être ainsi mutilé tu as bien du mal à te redresser. A la place tu vois l’autre akuma attaquer le groupe protégeant le couloir -et une vague d’inquiétude plane un moment en constatant que Al est avec eux, que ce n’est qu’un humain, lui aussi.
Ha, mais n‘est-ce pas exactement ce que ressentais la Noé du Savoir ?
Et pourtant.
Tu es bel et bien un Monstre, Akira.





Résumé:

Délais:


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Takk Seo pour ce magnifique vavas ♥️
Takk Beth pour ce superbe AkiBeth ♥️

Aesthetic:


Takk ♥️:


djadja:

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Jeu 5 Mar - 17:16
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Ceux Qui PrientIntrigue Chapitre VII





Elle baisse le canon de son arme, elle espère que la provocation contre le Maréchal vient de réussir. Contrairement à Cassidy, son hôte, sa petite rebelle, la manipulatrice de haut niveau Mordred se contente de ranger son arme à l'étui au lieu d'effectuer un moulinet comme tout cowboy qui se respecte. La Noah ne partage pas cette passion, cette envie de ressembler à une aventurière Américaine, à une cowgirl. C'est même lassant, ennuyant de se comporter ainsi et la louve ténébreuse se demande pourquoi Cassie frime autant avec ces armes. Si c'est pour impressionner le public s'est raté, du moins c'est l'avis du Souvenir. Soudainement, son esprit, son attention, sa concentration pour le Maréchal est perturbée. Le sol se met à trembler, la Révolte ne tombe aucunement, restant debout, car elle ne plie le genou devant personne, même si cette dernière le fait pour le Prince Millénaire... Péniblement, les billes dorées de Mordred se posent sur le bateau espagnol. Elle est impassible, n'est nullement impressionnée mais plutôt ennuyée qu'un aussi gros machin sert juste à combler l'ego démesuré de la rouquine de tout à l'heure. La gamine semble plus énervée et vient d’arrêter de bouder. Il faut dire que c'est très énervant voire blessant de se faire ignorer. De toute façon, Adélaïde Thompson est une perte de temps pour la prédatrice, son hôte qui lui ressemble est plus intéressante que cette dernière. C'est ainsi qu'elle lève les yeux au ciel, se retourne pour être dos à l'Exorciste pour ne plus y prêter attention. Comme la carnivore l'a dit tout à l'heure, Thompson n'est rien. Elle se met à analyser la situation, la Maladie est enfin de la partie. Ce n'est pas trop tôt. La Noah commençait vraiment à se poser des questions sur certains qui ne pointent pas le bout de leur nez. Mordred ne cache pas son énervement, que la Chance ne se trouve pas à ses côtés, lui qui a juré être l'allié à vie de son hôte. L'Elf s'est même mise en danger contre Central pour sauver sa femme et son fils. Où sont les remerciements ? Où est la précieuse aide ? Nulle part, mais bon lui au moins à une bonne raison de ne pas pointer le bout de son nez. Et puis n'oublions pas Sheryl, Road, Tyki, les Jumeaux…la Noah préfère ne pas tous les citer. Peut-être ont-ils une mission plus urgente mais Mordred pense et affirme que l'Amoureuse est au-delà de tous...

Amorem...l'Apôtre de l'Amour, celle qui a réveillé et libéré la Révolte de son désespoir. Elle lui doit beaucoup, son âme, son cœur fraternel, sa propre vie donc il est normal pour la révolutionnaire que sa sœur soit une priorité et devrait l'être pour les absents. La blonde est si gentille avec les autres, si aimante et voilà la réalité qui s'abat...la plupart manquent à l'appel...la Révolte est dégoutée. Le sang des Exorcistes va couler. L'Innocence va être détruite encore et encore. Toutes personnes travaillant pour eux vont le regretter. Fini la pitié, terminé la clémence, adieu le supplice, désormais il n'y a que le chaos, désormais il n'y a que la destruction pour le kidnapping d'Amorem. Ses paupières viennent de se fermer, un mouvement de tête de gauche à droite est effectué pour faire craquer ses cervicales. Sa fumée pourpre tourne autour de son corps exotique. L'envie de dévoiler son apparence est attirante. La volonté de déclencher l'intégralité de ses capacités, de son pouvoir est très tentante. Que c'est dommage que sa mémoire soit encore incomplète à cause de sa mort par Néah. Elle pourrait se souvenir de comment retrouver son tendre et cher arc du nom de Clarent. L'arme ultime, le composant utile pour par exemple faire disparaître le bateau de la pirate à l'aide d'une flèche. Dommage, la partie serait plus amusante. Un soupir d'exaspération se retire de ses lèvres sombres et envoûtantes. Le combat, l'affrontement s'éternise, les Noés commencent à faiblir. La Discorde est blessée, le Savoir vient de l'être également et Mordred espère que le Regret sera à la hauteur pour sauver Amorem des griffes de Central.

Elle plisse ses iris de Noah, sent le drapeau, l'Espoir de la Révolte perdre sa vie, prendre fin. Il a réalisé son travail, il vient d'aider les frères et sœurs de la Révolte. Désormais, le petit avantage, le petit bonus n'est plus d'actualité et très vite les Exorcistes vont se rendre compte que les Apôtres ont perdu du pouvoir. Une à une les phalanges des mains de Mordred se referment entraînant des minuscules bruits métalliques à cause de l'armure dorée à ses doigts. La révolutionnaire doit agir, montrer à ses ennemis qu’elle et sa famille ne doivent pas être sous-estimé et que les responsables doivent payer de leur vie leurs agissements contre la tendre et belle Amorem...

Elle fixe ses mains, elle observe le brouillard violet tourner autour de ses paumes. Une de ses capacités est prête à frapper. Doit-elle la diriger sur le vampire que Mordred a rencontré à Édimbourg ? Non, c'est risqué. Si le nain a réussi à user de sa technique de transmission de dégât sur Dominus, Mordred pourra le blesser involontairement. Pourtant, cela pourrait être une vengeance pour la raclée qu'elle a reçue en Amérique. Doucement, ses cristaux font désormais face à la zone où se trouvent Poena et Chaos. Phoenix bourrine comme toujours leur a créé un désavantage. La petite idiote, elle ne sait donc pas ce que veut dire "aider"? Tant pis, elle lui touchera deux trois mots plus tard. Visiblement, la Révolte n'est pas intéressée pour agir dans cette zone, jugeant son frère et sa sœur ainsi que sa petite championne apte à se débrouiller sans elle. Du coup, au lieu de provoquer une nouvelle fois le Maréchal accompagné d'une fille et d'un chat géant, la Noah se met à sourire d'une manière mauvaise sur l'endroit ciblé.

« Edith Laforet, recule ! » ordonne de manière autoritaire la Noah qui est sur le point de déclencher ce qu’elle prépare.

Elle rejoint le bas de ses mains, le désir de révolution, les sentiments explosifs de Mordred se rassemblent en un point précis pour être servi comme arme. La Colère de la Révolte surgit dans le champ de bataille. La fumée pourpre de Mordred sortant de ses mains est violemment projetée à la manière d'un jet. Le projectile explosif fonce, se précipite à toute allure à la vitesse d'une balle de pistolet. Puis...une explosion retentit...dans la zone où se trouve le botaniste, l'ange et le nudiste en caleçon, en espérant bien entendu que l’Akuma ait eu le temps de reculer, de fuir devant le danger qui guette les trois personnes habitant à la Congrégation de l’Ombre. Une détonation de trois mètres de rayon, extrêmement violente, pouvant dégrader l’équipement des Innocences des Exorcistes et causer de graves brûlures aux victimes se trouvant au centre du périmètre de l’explosion. Mais ce n’est pas tout ! Quiconque respire le gaz relâché par le pouvoir de Mordred subira des conséquences. En effet, elles peuvent supprimer l’envie de vivre, ou bien la volonté de se battre. De plus, l’organisme va automatiquement tenter de rejeter le poison qu’il vient de gober, d’avaler par erreur. Ainsi, des vomissements peuvent avoir lieu ou bien des douleurs musculaires en se déplaçant seront peut-être au rendez-vous…


©️ Jawilsia sur Never Utopia



Résumé:

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Jeu 5 Mar - 21:43
Oskar P. Magnussen
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Exorciste

Oskar P. Magnussen
Soleil

Les secondes puis les minutes passent et les coups s’enchaînent, mais malgré ça l’assaut ne diminue pas. Au coutraire, tu as l’impression que pour chaque akuma détruit, deux viennent le remplacer. Quant à l’armée grise qui vous attaque, chaque blessure dans ses rangs semble la renforcer et attiser sa colère. Les combattants redoublent d’ingéniosité et voilà que les techniques fusent dans tous les sens, à tel point que tu ne sais où porter ton attention.

Un homme de pain d’épice apparaît — un sourire sur ton visage — puis s’écroule, un cercle de feu te piège puis disparaît, un serpent géant s’impose puis s’envole à son tour, des pierres parcourent le ciel avant d’être détruites. Tu ne sais où donner de la tête, évitant tour à tour toutes ces techniques que tu ne parviens même plus à identifier. Appartiennent elles à tes alliés ou tes ennemis ? Qui dois tu attaquer, Oskar ? Tu ne sais où donner de la tête, ne sais réellement où frapper de peur de te manquer et de blesser l’un de tes camarades. Que dirait on, alors, de cet éphémère qui s’en prend aux siens ? De cet empoté qui blesse son propre camp et le mène à la déroute.

On jure de partout, on hurle et on menace et toi, éternel bavard, te demande où l’on peut trouver la force. À part les noms de tes techniques et quelques râles de douleurs, pas grand-chose ne passe la barrière de tes lèvres. Au contraire, ta mâchoire est tant serrée que tu en souffres, mais c’est ainsi lorsque tu es concentré. Et, aujourd’hui, tu ne peux te permettre de laisser ton esprit vagabonder, de gâcher la moindre parcelle d’intelligence et de concentration que tu possèdes.

Tu donnes tout, Oskar, fais de ton mieux et continuer d’envoyer ta neige et tes flocons d’Innocence là où tu le peux. Mais voilà, un coup finit par t’atteindre — ou est-ce l’une de ces techniques gigantesques encore — et l’entièreté de ton rythme se défait. Tu es à contre-temps, jeune exorciste, et ce qui devait arriver arriva, alors qu’un trait rouge se dessine sur ton visage.

Ce n’est qu’une faible blessure mais elle te force, un instant, à reculer — elle te force, un instant, à douter. Juste à temps, il faut croire, pour éviter l’innocence d’Adélaïde qui apparaît de nouveau et ne tarde pas à envahir le hall. C’est étrange, bien étrange, mais une telle vue te redonne espoir et vient remettre un peu de courage dans tes tripes. Oui les Descendants frappent dur, mais vous rendez chaque coup au centuple.

Vous n’avez pas encore perdu.

C’est pourquoi, abandonnant ton bâton derrière toi, tu te redresses et retournes dans la mêlée, tes grelots fermement ancrés dans la paume de ta main. Les techniques continuent de fuser, ta tête continue de tourner, mais tu reprends peu à peu le rythme et les évite du mieux que tu peux. Jusqu’à la lumière.

Une lumière qui te prend au dépourvu et te désoriente un temps. Heureusement, tu as déjà affronté ce genre d’arme là et sais qu’il ne faut y porter la moindre attention. Alors, plutôt que de regarder le soleil improvisé, tu cherches d’un regard affaibli (ébloui) quelle pourrait être sa cible et si tu peux essayer de la défendre. La possibilité disparaît et devient un devoir — une obligation (un cri) — lorsque tu aperçois Destiny.

Ton sang ne fait qu’un tour et te voilà en train de courir parmi les combattants pour la défendre. Tes amis peuvent bien tomber, la Congrégation peut bien s'écrouler, le monde peut bien s’arrêter de tourner, jamais — oh grand jamais — tu ne laisseras qui que ce soit porter la main sur elle. Tu ne sais comment tu vas réussir à la défendre toi et tes techniques encore si faible, mais tu serais prêt à prendre le Soleil pour elle.

Il faut croire que ton innocence aussi, car cette dernière te picote le bout des doigts — une douleur qui t’échappe, bien trop absorbé par ton objectif — et à peine arrivé devant l’Ironie du Sort, aucun mot n’est nécessaire car voilà qu’un bouclier de neige se créé devant vous, contre lequel viendra sans doute s’écraser le soleil.
« Herregud, Destiny tu vas bien ? Faut pas rester là, viens. »
Et sans un mot de plus, tu l’attrapes par la main et reprends ta course. Quelques mètres, c’est tout ce dont tu as besoin pour l’éloigner de Phoenix et de sa lumière mortelle. Après ça, tu devras laisser la jeune femme reprendre le combat. Après ça, tu devras aller attaquer la Maladie qui s’accroche désespérément à Akira.
© GASMASK


Résumé:

Techniques:


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L'Oskiny ♥️:

Les cadeaux:

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Ven 6 Mar - 1:02
Shuk
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Exorciste

Shuk
Death is nearDu monde

Son souffle était haché et ses poumons brûlaient. Il sentait ses mains trembler et le poids réconfortant de la liane. Son regard, légèrement brouillé par des larmes, avait du mal à se concentrer sur quelque chose. Il entendit la question qu’on lui posa, mais la seule réponse qui sortit de ses lèvres fut un sanglot. Il n’avait rien physiquement, mentalement ses émotions n’était qu’une tempête infernale et la panique s’était profondément ancré en lui.

Son attention fut rapidement dirigée vers Viggo qui reprenait connaissance débarrassé de la somnolence dans laquelle le serpent géant l’avait plongé. Il n’était plus seul à défendre l’humain à leurs côtés. Au cri de l’exorciste ailé, son regard se dirigea également vers la jeune femme qui semblait en mauvaise posture. La barrière de glace s’était effondrée la laissant à découvert. Viggo lui demanda quelque chose.

Le nom de Hua fut mentionné, il voulait qu’il l’aide. Il ne comprit pas immédiatement comment il pouvait aider la jeune femme, ils étaient loin. Shuk rougissait légèrement embarrassé quand en plus des mots Viggo mima le fait de voler avec ses bras et son innocence. Il allait le faire. Il pouvait compter sur lui. La plume dans fermement tenue dans sa main, il allait voler, il allait aider Hua, c’est ce qu’on attendait de lui.

Il allait le faire. Juste quand il commença à se diriger vers sa camarade, elle s’éloigna d’eux se dirigeant ailleurs vers une personne qu’il reconnut comme étant Cristal. Elle était entre de bonnes mains. Il s’excusa d’un regard à Viggo. Il n'allait pas voler pour aider leur amie. Il n’allait pas les laisser seul tout les deux à la merci du serpent géant. Un serpent doté de la parole. Un serpent qui leur parla, les seuls mots que le petit Norvégien compris fut une excuse. Une excuse qu’il ne comprit pas vraiment. Pourquoi s’excuser alors qu’elle abat une pluie de projectiles sur eux ? Pourquoi les attaquer, pourquoi vouloir leurs morts et s’excuser ? Pourquoi ne pas partir ?


L’attaque ne sembla pas précise, la plupart des projectiles ne venaient même pas vers eux, se contenant de pleuvoir sur sol dans un bruit funeste. Mais malgré le manque de précision, d’autres fonçait sur eux. Se plaçant instinctivement devant Algiz, Shuk faisait de son mieux pour protéger l’humain de la bande. Il utilisait sa liane pour contrer et parer les écailles loin de lui, loin du reste du groupe. Il faisait de son mieux et les résultats étaient là rien n’avaient touché l’humain. Shuk comptait quelques égratignures sur les bras, pour les fois ou les lianes avaient été trop lentes. Ils avaient survécu à l’attaque.

Un cri, un nom et son attention fut attiré vers l’une de ses personnes à la peau grises et au yeux jaunes. Tout se passa très vite, cette personne avait lancé quelque chose vers eux. Il fut incapable de bouger les yeux fixés sur ce qui fonçait droit dans leur direction.


Que quelqu’un leur vienne en aide.


:copyright:️ 2981 12289 0


resumé:


Hullo (tw : blood):

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Ven 6 Mar - 7:29
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Blessé...


Deux exorcistes, un non compatible, une akuma. Triste addition. Désespérante même. Mais le plus désarmant n’était pas forcément cette équation mais les composants. Aucun n’avait une grande volonté de se battre, même l’akuma, Al le trouvait trop étrange pour être relégué au rang de machine de guerre. A vrai dire, il la trouvait d’ailleurs bien plus humaine que certains Noahs.

Il l’écoute et plus les paroles de l’akumas s’enchaînent et plus il se demande s’ils ne font pas tous une grossière erreur.  Si toute cette bataille n’était qu’une horrible farce. Il y a un problème quelque part et plus il réfléchit et plus il trouve ça étrange.

Pourquoi ? Pourquoi venir les attaquer en pleine nuit ? Pourquoi défoncer le QG comme des sauvages. Ils n’avaient rien, rien hormis les innocences et s’attaquer ainsi pour les prendre…..ils seraient tous venus alors pourquoi un seul fragment de Noahs ? Les pensées d’Al s’embrouillent, il ne comprend vraiment pas la raison d’une telle attaque. Et le Comte absent. C’était trop louche.

Alors que les écailles commencent à pleuvoir sur eux, qu’il sait ne pas pouvoir les esquiver, Al prend le partie de tenter de comprendre et s’adresse à l’akuma. Aucune animosité dans son regard, de la tristesse oui. Elle les attaque mais il sent que le coeur n’y est pas alors pourquoi la haïr ?


"Pourquoi ? Pourquoi un être qui n’a pas envie de tuer, pas envie de se battre se retrouve ici à nous attaquer au beau milieu de la nuit. Quelle est la raison ?"

Lui ne pouvait rien faire et il se retrouve vite protégé. C'est dans un souffle qu'il murmure un "merci", emplit de reconnaissance et d'admiration. Il le sait, sans Shuk et Viggo il ne serait plus là. Entre temps il n’a pu s’empêcher de voir l’évolution de la situation et si l’arrivée d’un magnifique Galion l’enchantait, la situation du côté d’Aki le fige sur place. Il a envie de hurler mais une nouvelle voix retentit non loin d'eux et quand il tourne la tête, c'est pour voir une Noah décidée à s'en prendre à eux. Les mains jointes, comme une prière. Une prière funeste.

Puis la fumée fonce, droit sur eux. L'allemand n'a qu'un réflexe. Il attrape Shuk et Viggo par la taille et par une impulsion au sol se projette à une petite distance du centre de la détonation. Al fait barrière pour éviter aux deux exorcistes le gros des blessures physiques.

Son dos prend. Il le sent. Vif, froid et brûlant en même temps. Des impacts de pierre qui lui rongent le dos, les tracés noirs mangés par les brûlures de la détonations, cette impression qu’on lui arrache la peau. Et la sensation lente du liquide vital qui s’échappe. De si fines rivières pourpres chaudes.

C’est douloureux. Mais moins que ce qui s’insinue dans son esprit rongeant sa raison.

Des images qui défilent, la douleur, l’horreur aussi, mélangé à une parcelle de bonheur qui se trouve morcelée à mesure que la fumée trouve son chemin dans ses bronches, envahit son esprit. L’oblige à tourner une nouvelle fois la tête pour contempler ce qu’il ne voulait pas voir.

Esprit brisé.

L’espoir s’envole.

Il s'écarte de Shuk et Viggo pour s'effondrer un peu plus loin.

Puis il sort, strident, à fendre l'âme, douleur du corps, douleur de l'âme mêlés.

Un hurlement.


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Ven 6 Mar - 9:08
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Destruction.

@tag
notes
Les échos se font entendre. Au delà de la bataille et de ses affres, Apollinaire se rappelle. D'elle. Il revoit ce petit sourire feint sans entrevoir la lueur de ses yeux. Sa posture et sa délicatesse avant que ces mains ne prennent la hache pour frapper le sol de son châtiment. En approchant du hall il sait qu'elle est là bas et ... quelque chose se met soudain à compresser ses muscles. Par réflexe, il porte une main sur son ventre, tandis que l'autre s'arme du deuxième pistolet à sa disposition.
Malheureusement, cet éclat, aussi perturbant et doux soit-il dans une certaine mesure lui vaut aussi ce manque de concentration. Chose rare chez le Maréchal. Il ne voit pas l'attaque venir, seul les paroles de sa binôme suivi du rugissement de cette innocence encastrée dans ce tigre lui donnent l'alerte suffisante pour esquiver ce coup de semonce. Et soudain, alors que le sang s'écoule de sa joue, il se souvient. Du bruit dans la nuit, un jour de révolution. Du sang et de l'aura malsaine s'échappant des pores d'hommes et de femmes qui ont un jour été ses voisins. Et il comprend. La vérité le frappe. C'est lui, ou elle, le ou la responsable de la mort de ses parents et de toute la maisonnée de Paris. Alors Apollinaire met en exergue Neverwinter pour qu'un tapis de glace se crée sous son pied et lui donne l'élan nécessaire pour se tourner vers sa cible. Il vise et tire deux coups. Le premier venant se ficher dans l'épaule de son agresseur. Le second, dans le front d'un akuma protégeant du second coup létal le noé. Ses yeux se tournent ensuite un instant vers celle qu'il reconnaît maintenant. Cheveux presque blancs, gracieuse et redoutable. Ennemie, malheureusement. Un bref échange de regards, qui en dit long, surtout pour le Maréchal qui semble mélancolique et désolé.
« Là haut. Le lustre. »
Dit-il à la jeune femme aux sabres.
« Maintenant le serpent de Mademoiselle Thompson. »
Des indications données, pour qu'elle puisse se permettre un effet de surprise contre leurs adversaires. Il sort alors de sa sacoche une corde liée à un crochet.
« Vous allez vous élancer. Je vous donnerai la force nécessaire pour vous projeter et vous donner un angle aérien pour attaquer l'adversaire. Tirez dès que vous en avez l'occasion et filez vers la position de Mademoiselle Thompson et votre tigre. »
Malgré le sang s'écoulant le long de sa joue et nuque, et tâchant son chemisier blanc, le Maréchal reste fixé sur son objectif. Ni une ni deux, il lance la corde dans les hauteurs et invoque un pic de glace qui lévite près d'eux. Il intime ainsi Asiye à monter, pendant que ses autres pics servent de couverture face aux possibles attaques du noé les ayant agressé précédemment. Une fois la jeune fille dessus et en possession du cordage, le pic file dans l'air, laissant Asiye maîtresse de ses choix sur ses prochaines actions.
« Il est temps. »
D'une main apposée au sol, il invoque ses pantins de glace. Armés, et gonflés par la volonté guerrière de leur maître. Une chose qu'ils n'avaient jusque là jamais ressenti. C'est gonflé par cette brutalité et cette incisive précision qu'il chargent et sautent sur les pics à leur disposition ou sur l'ennemi désigné. Elle. La noé de la révolution. Pour eux, ces gaz ne sont rien car ils ne sont pas vivants et l'innocence les gorgeant bien plus redoutable que celle des jeunes recrues. L'un d'eux se retrouve aux prises avec un akuma, qu'il tue sans aucune autre forme de procès. Et maintenant, les pantins sont à portée de la cible.



Résumé:

intrigue - [Intrigue, Chap. VII, Phase I] Ceux qui prient - Page 3 Empty Re: [Intrigue, Chap. VII, Phase I] Ceux qui prient

Ven 6 Mar - 16:09
Acanit G. Owens
rang : l'affamée
phrase : « venite ad me, omnes qui stomacho laboratis, et ego restaurabo vos. »
pjlinks :

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FT

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RS

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pjdialog : Acanit et Ego dévorent les choses en darkorange et en dodgerblue.
icon2 : j'ai la dalle
aliaspj : grande Gourmet
pjpersonality : la pire façon de mourir la plus longue c'est la faim — semble taillé dans la pierre — synesthésique — gourmande — une grande faim — loyale —acérée comme une canine — expérimentée — prudente —se méfie de l'attachement — se méfie de ceux qui ne veulent plus s'attacher — aime le soleil et la lune —cosmique — tricheuse — compétitive — un coeur en or — dure — exigeante — maligne — possiblement fourbe — injuste — mordante — ironique — aime les chants des baleines — considère que les apparences extérieurs n'ont aucunes importances — quelque chose de rythmique dans sa façon de se déplacer — toujours un caillou dans la poche, qu'elle mâche quand elle est inquiète ou qu'elle a besoin de réfléchir — un pas extrêmement léger — est très jolie dans des vêtements colorés — son oeil droit, blessé par la guerre, ne marche plus mais a été remplacé comme son bras par une prothèse fournie par Centrale — elle n'aime pas mettre cet oeil artificiel, et ne le met que lorsqu'elle part au combat — il peut donc être perturbant d'avoir une conversation avec elle dans la vie de tous les jours, à cause du trou béant qui figure son oeil droit — très habile et adroite avec sa main droite, malgré le fait que ce soit une prothèse
pjage : véritable critique culinaire
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Acanit G. Owens

ft. des gens

intrigue

bon appétit


you should join the circus
cette phrase d’un entrainement lointain avec Adélaïde te revient
mystérieusement
alors que
elle esquive
sérieusement ?
pardon, c’est pas ma faute
J’AI FAIM
moi aussi…
en fait elle n'esquive pas
tu rates ton coup
et vraiment
pas qu'un peu
le sol tremble et la terre et le pain d'épice et les éclairs qui grondent te font manquer ta cible d'une bonne largeur (ce qui lui laisse le temps de riposter, résistant visiblement bien mieux à la perturbation que toi) (cette sale gamine toujours là quand)
alors que elle esquive et un coup de poing sans poing est bien plus douloureux pour le moral qu’un poing avec un poing parce que le coup de poing sans poing
il dit
j’aurai pu te faire très mal (Acanit reconnaît dans la paume et la force et les muscles et la bête-fauve-mange-gibier) mais j’ai décidé de ne pas le faire
faible
et ça
non
Acanit ne veut pas l’être
Acanit n’est pas un faible-sous-nutriment-qui-ne-peut-rien-faire
Acanit n’est (plus jamais) alors — elle grogne alors que du coin de l’oeil
elle repère le Drapeau qui se dresse
t’as une croix
une croix qui pulse
comme les Noés ouais
elle a du faire quelque chose je pense tu

rumeurs
bruit, nouvelle de source incontrôlée qui se répand
rumeurs
bruit confus de voix qui protestent
you've been bitten by a true believer (thought contagion)
you've been bitten by someone's false beliefs (thought contagion)
Acanit de sourire en écoutant les provocations du Chaos
Acanit de sourire et Ego de sourire
en un geste elle lance une des épées (un des gloutons) sur le Drapeau
Acanit ne peut pas douter de quelque chose dont elle n’a aucunement l’attention ou l’attente
la Congrégation
le sourire de Acanit est fou
en fait
Acanit est surtout là pour le sang la poussière et la chair des machines que l’on ouvre comme de la viande-tendre-juteuse
you've been bitten by someone who's hungrier than you

Ego n’est plus qu’un maintenant — et Acanit de prendre son hachoîre-arme-vivant-ami à deux mains, et de tourner la tête d’un coup en attendant un sifflement-météorite. Un énorme oiseau de feu — un akuma, un niveau 2 — qui fonce vers Destiny en brillant beaucoup trop beaucoup trop (un oeil est aveugle — le blanc est comme le noir quand on enlève les couleurs — mais un oeil rouge robotique continue de fonctionner en filtrant la lumière et les photons (Acanit de zoomer et de se tendre comme un arc en apercevant l’Éphémère au loin qui accourt (bien dans ce cas)) et Acanit se tourne vers Wilma en souriant d’autant plus comme une canine lorsque le zoom lui révèle l’aveuglement visible de la Noé — la machine a fait un prix de lot et dans ce cas précis…). «  Ça nous arrange carrément. » Ego de sourire et de suivre le moment de son Exorciste

il se tord d’abord comme une grande bande élastique et sucrée
il prend de la longueur
petit un Acanit s’élance vers Wilma, saute sur un bout de pain d’épice-décombre-plat-gaché
petit deux et la vitesse de propulsion et la force de rappel élastique Ego se détend pour reprendre sa forme normale en un tour (et détour autour) de la Noé
petit trois un cercle souple la voilà ( « SALUT. » )
ligoté
petit quatre Ego d’ouvrir une bouche dévorante
petite cinq
et de planter ses dents sa fureur son arme dans l’épaule déjà blessé du Noé
(i n n o c e n c e) comme le requin qui a senti le sang

ensuite…
« OY DESTINY. C’EST MAINTENANT OU JAMAIS POUR FAIRE TON TRUC DE VIOLONISTE ! — MHHOHOUHHUHMWAI. » Ça c’est Ego qui parle — la bouche pleine, évidemment. Et pour s’assurer que la Noé ne bouge plus (Ego enfonce plus profondément ses dents dans la chair c’est comme la morsure d’un requin vous savez ce qu’il faut faire comment il faut réagir la meilleur solution c’est d’attendre qu’il lâche prise la pire idée étant de vouloir bouger son bras au risque de (l’arracher). « Cook. » Et sans autre forme de procès, Acanit de plonger la main dans son épée d’en sortir une énorme boule de pâte à crêpe semi-liquide, qu’elle s’empresse de jeter directement dans la figure de la Noé (oups trop de sel la structure va durcir on dirait que)

pour faire une mauvaise pâte pour une mauvaise personne
il faut
simplement
beaucoup beaucoup de farine
du sel
du lait
mélangez n’importe comment
faites un maximum de grumeau
mettez de la colère et de l’amusement dedans
un sourire-canine et un peu de sang
un peu d’amertume aussi
ensuite
voilà
c’est comme du béton
mangeable

et toujours Ego maintenant son emprise dentée dans l’autre main (mécanique) — Acanit déesse affamée des champs de bataille, tu te rappelles l’existence de l’oiseau. Où-est-il ? Il faut le repérer — mais d’abord, achever celle-là. Pas d’honneur dans la guerre, seulement la victoire (les plus faibles ce sont ceux qui pensent pouvoir se battre seul contre les autres).



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Ven 6 Mar - 18:13
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Ceux Qui PrientIntrigue Chapitre VII





Après son petit manège, après sa petite capacité contre le groupe tout au loin qui vient de recevoir sa terrible colère, Mordred se met à sourire de manière satisfaite. Les petits insectes ont eu une petite punition et la Noah espère que l’Akuma du nom d’Edith sera en mesure de les achever, elle qui voit que cette petite machine est bien trop tendre avec les humains, comme l’est son hôte Cassidy Danvers. Son souffle est désormais court, sa respiration est saccadée, l’énergie commence déjà à s’épuiser. Voilà déjà un défaut vraiment important sur l’Apôtre. Elle mange beaucoup trop rapidement ses réserves d’énergie pour tenter de tuer rapidement son adversaire. Donc, inconsciemment, la Révolte se met en danger car son arsenal commence à se faire vide. La plupart de ses pouvoirs ne sont pas prêts pour poursuivre un deuxième round, si cela continue…Mordred va être de plus en plus faible dans ce règlement de comptes entre les forces du Prince et les forces de l’Innocence. Ça se met à pester, ça frappe ses côtes pour chasser un point de côté très gênant et soudainement…un bruit de coup de feu retentit au loin…un son qui est ignoré par les fragiles oreilles de la Reine Révolutionnaire qui tout à coup sent une douleur à son épaule gauche. Surprise, les orbes de la femme s’orientent sur ce mal qui devient gênant. Ça pique, ça gratte, ça se met à brûler, ça se met à creuser dans la chair du Souvenir. Un trou détenant le diamètre d’une balle git dans son épaule, les veines du corps près de la vilaine blessure se mettent à gonfler. Le palpitant de Mordred et en l’occurrence de Cassidy effectue un bon très fort et douloureux dans la poitrine de la Révolte. Le projectile est imprégné de l’Innocence, la balle est empoisonnée, le mal est en train de débuter une sérieuse torture. Son souffle est coupé, ses poumons refusent de travailler, l’air lui manque, sa tête se met à vriller, sa vision est trouble. Ses cuisses tremblent, elles sont faibles, désirent se reposer mais Mordred tient le coup ne souhaitant aucunement ployer le genou pour le responsable qui est Apollinaire De Buzancy. Son corps se remet en marche, Mordred respire fortement comme-ci elle venait de remonter à la surface de l’eau pour reprendre de l’oxygène. Quelle sotte, quelle idiote de s’être amusée sur d’autres personnes alors que le danger se trouve devant elle. Va-t-elle le payer cher ? Non, la Noah est une dure à cuir, le Maréchal n’est pas Néah, le quatorzième, le traître qui a réussi dans le passé à la manipuler pour la tuer facilement. Elle souhaite dégainer ses Colt mais l’homme aux longs cheveux passe déjà à l’attaque suivante sans laisser Mordred riposter. Car en effet, avant que son ennemi ait riposté contre Mordred, le compatible ou plutôt le cristallin venait de recouvrir le sol de glace, rendant le terrain glissant. Du coup, quand la tireuse sort son arme, elle tombe sur le sol à cause d’une petite glissade imprévue faisant donc valser ses révolvers un peu plus loin. D’ailleurs, impossible de les récupérer car plusieurs pantins sortent du sol, armée jusqu’aux dents pour attaquer la louve ténébreuse….

Une esquive est effectuée par une roulade, les dagues de la Noah sont détachées de son ceinturon, les épées de givre sont contrées par les lames de l’Elf. Oh oui, la situation commence vraiment à se compliquer pour la Révolte qui souhaite à tout prix arrêter le Maréchal pour sauver ses frères et ses sœurs. Elle joue le rôle de la protectrice car la Noah souhaite être utile pour son clan, pour sa famille, pour les personnes qu’elle commence à apprécier (Dominus compris). Dorénavant et n’ayant pas vraiment le choix, la guerrière du Clan Noah use du terrain glissant pour donner plus de puissances à ses coups. Décapitant certains pantins, plantant ses dagues dans la zone où devrait se trouver un cœur qui les faits bouger et vivre. Les treize monstres du Maréchal sont mis hors d’état de nuire malheureusement, à la grande surprise de Mordred, les pantins reviennent d’entre les morts… Ils se réassemblent, sont encore plus menaçants, les marionnettes n’ont qu’un seul objectif et c’est de détruire pour de bon l’assassin des parents d’Apollinaire. Une écorchure entaille la joue droite de Mordred, une arme se plante dans un des genoux de la combattante, une autre tente de crever un œil de la révolutionnaire. La fatigue est bien trop importante, la Noah n’arrive plus à gérer les pantins sans se faire toucher, de plus la guérison l’affaiblit davantage, il ne reste donc qu’une seule solution pour contrer le sol gelé et les pantins… Les dagues sont accrochées à la ceinture, un étendard bien plus impressionnant que l’Espoir de la Révolte surgit de ses mains et lorsqu’il est planté sur le sol, les pantins sont projetés en arrière et perdent équilibre.

« I am the flag of the Revolution. » dit-elle faiblement en plaçant sa main dégageant son don naturel entre sa poitrine. « Revolt is my body, and rebellion is my blood. » Ses paupières se ferment, son maquillage se met à couler pour se sécher et devenir une sorte de tatouage au niveau du bas de ses billes jaunes. « I have created over a thousand freedom. » La fumée pourpre tourne autour d’elle et repousse les pantins qui tentent de se rapprocher de sa position. « Insubordinate to order. » L’armure dorée de la Noah prend une teinte violette, mauve. « Enemy of authority. » Une cape dégradée s’accroche aux parties de son armure dorsale. « Resisted the pain to create weapons, awaiting his arrival. » Son chapeau disparaît, une capuche vient prendre sa place. « I have no regrets. It is the only possibility. » Ses cheveux prennent une teinte entre le blanc albinos de Cassie et le blond de Mordred. Les oreilles et les sourcils de cette dernière s’allongent pour lui donner un côté elfique. « My whole life has been the Revolt ! » Elle ouvre ses yeux d’un jaune perçant et extrêmement menaçant, à ce moment le brouillard violet fait disparaître l’Elf et engloutit avec rage et hargne le Maréchal qui est la cible de Mordred. La Révolte montre sa véritable apparence, la Protectrice ne joue plus et se bat pour protéger sa famille.

Le monde vient de changer, ils ne sont plus désormais à la Congrégation de l’Ombre. Maintenant, le terrain représente un cauchemar, une colère, un désespoir pour Apollinaire De Buzancy. Tous deux se trouvent en plein cœur de Paris, plus exactement durant la Révolution Française. D’innombrables cadavres gisent sur le sol ainsi que d’une grande variété d’armes. Des roues mécaniques qui tournent sont en haut, dans le ciel, elles remplacent les nuages. L’odeur de la mort est pesante, elle est mélangée à celle du brûlé causé par les incendies. Le parfum de la poudre est également au rendez-vous. En fait, le terrain est dévasté, il n’y a désormais que le chaos. Cette journée-là, Mordred venait de provoquer cette révolution sous l’ordre de son Prince Millénaire. La mission avait été plus qu’une réussite et les succès de Mordred furent écrits dans différents ouvrages comme d’une grande libération pour la France. Mais dans cette victoire, la louve ténébreuse en a profité pour tuer beaucoup d’innocents dont Albert et Françoise De Buzancy. Eux qui contrairement aux autres crapules de nobles, apportaient une sorte d’Espoir aux classes inférieures. Mais à cette époque, la Noah ne faisait pas la différence, elle mangeait, elle dévorait, elle tuait pour un oui ou pour un non pour répandre son virus, pour donner sa maladie, pour recouvrir son entourage de sa Révolte.

Les forces de l’Apôtre s’accroissent, doubles de puissance. La douleur, qui se trouve à son épaule, qui continue de la faire souffrir à cause de ce poison d’Innocence, diminue progressivement grâce au Monde de la Révolte, au lieu où Mordred est la plus puissante, à l’endroit où d’innombrables ennemis ont péri. Seule une personne a réussi à s’enfuir de ce cauchemar en tuant simplement la Révolte. Ce traître, cette erreur de la nature de Néah. Progressivement ses bras sont levés au ciel pour que Mordred montre sa réjouissance de retrouver son terrain de jeu favoris. Elle renifle avec réjouissance le doux parfum de la révolution qui vient de se commettre. Sa langue lèche ses babines supérieures et inférieures en repensant aux délicieux repas qu’elle a dévorés ce jour-là. Mordred se laisse consumer par tous les bienfaits que lui procure sa capacité et désormais…Apollinaire De Buzancy va connaître la rage de l’héritière de la Révolte. Pour sa sœur prisonnière, pour protéger sa famille, pour apporter la réjouissance au Prince qu’un nom de la liste des porteurs de l’Innocence va être rayé. La prédatrice est confiante car désormais elle est maître de ce round. La gloutonne est sûre de gagner car désormais elle détient une supériorité, un avantage contre De Buzancy. D’ailleurs, Mordred ne tarde pas à le montrer…

Les Colts Singles Armys reviennent dans ses mains, le chargeur du pistolet gauche se vide très rapidement, l’engin disparaît, les balles fusent sur l’Exorciste et sont nettement plus dangereuses et menaçantes que la première qui vient d’écorcher la joue du Maréchal. L’autre arme détenant cinq balles au lieu de six se vident également avec acharnement pour par la suite se volatiliser car il vient de remplir son travail. Puis, autant ne pas finir sur cet acte. De sa main droite, un explosif, une dynamite est créée. D’un claquement de doigt de sa plume gauche, la mèche est allumée, de sa force surhumaine l’objet démoniaque est projeté violemment sur le Maréchal, d’une grande détonation la TNT explose sur un rayon de cinq mètres. Le gaz, le poison, de la dynamite détruite va automatiquement dégrader violemment, sévèrement, agressivement les voies respiratoires du Maréchal. Peu importe qu’il soit symbiotique ou encore cristallin, quand on respire ce qui se dégage de la dynamite on ne peut pas revenir en arrière et on devra se battre avec limite un poumon en moins.

« Tant que je resterais en vie, tu ne t’en prendras pas à mes sœurs et à mes frères. » hurle la Révolte de tous ses poumons. « I would be !! Their shield !! » L’Elf reprend ses dagues, observant le nuage de l’explosion qui cache le Maréchal qui doit être mal en point après tout ce qu’il vient de recevoir. « And we will release Amorem !! »


©️ Jawilsia sur Never Utopia



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Ven 6 Mar - 19:59
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Destruction.

@tag
notes
C'est aux prises avec l'un de ses récurrents cauchemars que De Buzancy se retrouve. Dans un monde qui a été, mais qui n'est pas. Ils devraient être à la Congrégation, auprès de leur clan ou groupe respectif. Pas dans cet amas d'immondices,  de cris, de sang, de poudre à canon et de métal chauffé. Pas dans cette Révolution assassine qui a tué tant d'innocents, tant de bonnes âmes qui auraient mérité la paix et une continuité de leurs travaux par leur descendance. Ouvrir ses yeux et être de nouveau spectateur de ce qui avait été a des allures de purgatoire, d'épreuve pour l'homme qu'il est.
Mais Mordred n'allait pas en rester à cette simple vision cauchemardesque de ses anciens ... exploits. Il veut faire souffrir cet homme qui représente la descendance d'un espoir qu'elle avait pensé étouffer jadis. Il voit dans ce regard l'affront de Françoise quand il lui tirait alors une balle dans la cuisse. La puissance se dégageant d'un corps fin mais rompu au combat comme celui du grand militaire qu'était Albert. Et il comprend. Il comprend en un sens qu'il est allé trop loin.
Car De Buzancy aura beau être acculé, blessé au pied et crachant du sang sous l'action du gaz, il se relèvera. Car il voit. Oui, il voit dans ce qu'un jour Mordred avait souhaité durant la Révolution française la mort sur l'échafauds de ses parents. Il voit aussi les âmes damnées au service du délire de la Révolte se repaître de leurs tripes, une fois la tête coupée par le bourreau. Il entend les rires de quelques ignorants, et les cris de quelques badauds ayant connu ces nobles. C'en est trop.
Malgré ses blessures et les compressions ressenties dans sa poitrine le Maréchal détruit ce qu'il reste du cercueil de glace qui lui servait de protection contre cette dynamite (protection vaine au vu de l'impact de l'explosif). Et il prend en main un éclat pour se faire saigner non pas pour activer sa technique Sang Bleu, mais pour s'instiller assez de cette douleur qu'il ressent de manière fugace (à sa grande incompréhension) et rester lucide.
« Revolt, revolution, enemy of authority ? Like I fucking care. »
Finit-il par dire de ce ton sec et impérieux qu'on lui connaît. Sauf que cette fois-ci, l'on pouvait ressentir comme une sorte d'indignation. On pourrait même le qualifier d'odieux et incisif en cet instant.
« Tu n'as rien de libre. Rien de révolutionnaire. Tu n'es que l'image même des envies de quelques illuminés se croyant au dessus du reste. »
Il jette l'éclat de glace, qui alors fond et mêle son eau au sang gorgé d'innocence de l'exorciste.
« Et au nom des De Buzancy, de tous ceux morts pour une cause d'aliénés, je me ferai en ce jour l'épée. Quitte à trépasser à tes côtés. »
En cet instant, il repense à Arthur et Louise. À ses parents et aux domestiques qui l'ont aidé à fuir. À cette noé qu'il aurait voulu secrètement connaître en tant qu'humaine. Jusqu'à les effacer et redevenir cet arctique inébranlable. Peu à peu, le feu et le sang sont liés à la neige et la glace. Peu à peu, d'autres protagonistes apparaissent, armés et blancs comme la plus pure des neiges. L'un d'eux attrape le Maréchal au bras pour le projeter ensuite droit vers Mordred. L'imbécile, pensera-t-il. À raison, quand on ne connaît pas la capacité de cet homme aux cheveux bleus à retourner une situation à son avantage. Et c'est d'ailleurs pour cela que l'on l'avait choisi entre autres en tant que Maréchal.
« LAPLACE !!! »
Son coeur se met à battre et une lueur bleue parcourt ses veines et artères. Tout autour, des miroirs de glace se mettent alors à apparaître à toute vitesse et, Mordred peut voir avec effarement que l'homme disparaît devant ses yeux comme si il n'avait jamais existé. La seule chose qu'il peut sentir et entendre est ce froid et ces sifflements se rapprochant dangereusement de sa position. Un pic de glace vient se ficher non loin de sa jambe droite. À cent deux degrés, c'est un pantin qui apparaît. À trente degrés sud c'est comme si un fil avait manqué de l'égorger. Mordred tire alors dans les miroirs, comprenant que le Maréchal se matérialise et dématérialise par ce biais et il éclate deux d'entre eux par instinct de survie. Sauf que Laplace, a comme spécificité de faire s'exploser les miroirs ainsi attaqués. Le souffle et la surprise prennent à revers le noé de la Révolte. Et Apollinaire profite de ce moment pour attaquer avec ses pics. Tous attaquent le noé qui tente alors de les esquiver ou de les contrer mais cela semble sans fin. Tellement sans fin qu'il ne voit pas les deux pics qui viennent dans son dos pour lui asséner le coup fatal.
Il ne peut alors qu'observer et ressentir sa propre erreur, au plus profond de ses chairs. Car les pics s'empalent sur lui, dans l'épaule jusque là blessée par l'impact de balle. Dans le ventre, au point que la pique ressorte dans son dos. Le tout, avant de frapper violemment le mur de cette maison, qui, au fur et à mesure que l'illusion disparaît, se révèle être le plafond du hall. Cloué, tel jésus un jour sur une croix, Mordred voit tout. Le combat, ses frères et soeurs, les membres de cette Congrégation qu'il voulait annihiler. Et cet homme, cet homme aux yeux et aux cheveux aussi bleus qu'une eau de lagon figée dans la glace qui le regarde comme si il était encore vivant, châtié pour ses crimes. Le noé comprend alors là aussi qu'il n'est pas mort. Que De Buzancy a choisi de le punir pour ce qu'il avait fait. À lui, à ces gens n'ayant pensé qu'à une vie sereine et harmonieuse avec leurs semblables. Aux idéaux bafoués pour le compte de quelques individualistes. Le mur derrière lui s'effrite, encore secoué par l'impact précédent mais il ne peut bouger. Il ne peut contrer.  
« Pour tous ces gens qui auraient pu un jour te donner le pain dans ta détresse, pour mes parents qui auraient pu changer la donne durant la débâcle de Robespierre, noé de la Révolte. Je te condamne à vivre à jamais avec le poids de cette humiliation et l'arraché de cette fierté que tu as eu durant ce siècle. »
Apollinaire vient ensuite s'adosser au mur se trouvant derrière lui, le souffle court tant sa gorge semble s'enfler sous l'effet du poison. Il se sent mal, pour la première fois depuis bien longtemps. Il sent la sueur couler le long de son front. Sa veste à moitié détruite comme sa chemise, il ne ressemble qu'à un soldat rescapé sur le point de rendre l'âme. Encore debout, mais à quel prix. Et il serre les dents jusqu'à s'en sectionner involontairement l'intérieur de sa joue droite dans l'effort. Car il a décidé de rejoindre Adélaïde, la jeune femme au tigre et les autres pour leur servir de rempart, alors que le cercle de feu disparaît.
« Ne ... ne vous souciez pas de mon état. Mademoiselle ... soutenez moi. Je vous servirai de bouclier avec mon dôme et vous, vous ferez votre possible pour les autres avec vos techniques. »
Au loin, il semble entendre la voix d'une jeune femme. Guillerette et innocente. Et il se souvient alors d'elle, gambadant dans les champs de blé de printemps, bras levés au vent. Louise le félicitant d'avoir combattu l'une des nombreuses épreuves qui l'attendent dans cette nouvelle vie. Et ailleurs, près de sa chambre, sans qu'il ne le sache, le coffret renfermant le dernier reliquat du ruban de sa regrettée bien aimée tombe et s'ouvre. Le ruban alors poussé par le vent et les souffles du combat sort de la fenêtre éventrée.
« Et je jure, si je survis, de trouver le moyen d'arrêter cette folie. Pour tous vous sauver. »
Et en disant cela, il regarde Adelheid Von Rosenwald. Pour qu'elle comprenne qu'il parle autant des noé que des exorcistes. Qu'elle voit, qu'aussi étrangers et différents se pensent-ils, la vérité d'un homme, face à une femme et d'un homme face à l'humain.
Mais dès à présent, il était temps de mettre les bouchées double et d'en finir avec cette bataille idiote.



Chant de Louise :

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Ven 6 Mar - 22:04
Destiny Richards
rang : L'Ironie du Sort
phrase : Sometimes you have to go through the darkness to get to the light
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aliaspj : Larmes Mélodieuses
pjpersonality : l'Ironie du Sort observe en silence, elle jauge et prend les décisions qui s'imposent, elle n'est pas spécialement agréable ou désagréable ; elle est juste méfiante. Son sourire finira par se dessiner sur son visage si vous réussissez à l'approcher. Loyale jusqu'à la mort, elle n'hésitera pas à tout faire pour protéger le peu d'amis qu'elle chérit.
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Maréchaux

Destiny Richards


intrigue, chap. VII, phase 1, ceux qui prient.


C'était donc cela.
Une guerre totale.
Pire qu'une Apocalypse, peut être.

D'un coup, tout allait trop vite pour elle.
Adélaïde avait repris du poil de la bête, d'une façon... magistrale ?
Elle ne saurait pas décrire, mais tout le monde savait à présent qu'elle n'était plus là pour jouer.

Mais, Destiny, elle avait eu des moments d'absence. Tant de choses se passaient autour d'elle, elle ne faisait que réagir pour se sauver la mise, se mettre en sécurité. Elle était loin, l'exorciste, très loin, repensant aux paroles de la Noé de la Discorde. Just give back what you’ve taken from us. Mais qu'avaient-ils réellement pris ? Cela avait-il un rapport avec Amorem ? Qu'avaient-ils pris d'Amorem ? Avaient-ils pris Amorem ? Mais la blonde ne comprenait pas. Si cela était arrivé, ils auraient été mis au courant ; au moins les maréchaux, les exorcistes sûrement. Elle ne comprenait pas, Destiny. Mais si un exorciste avait été pris, si un des noés avaient pris quelque chose à l'un de ses amis, elle aurait écrasé chaque noé jusqu'au dernier. Si elle en avait le pouvoir.

Une lumière très fort l'aveugla, elle ne put retenir un juron qui sortit de sa bouche. L'Akuma fonçait sur elle et elle ne le voyait même pas. Elle allait mourir et elle ne le voyait même pas. Elle entendit un cri, et puis, des bruits de pas, rapides, qui venaient jusqu'à sa hauteur. De la neige, elle comprit, finalement. Il s'agissait d'Oskar, qui venait de la sauver. Elle resta muette, alors qu'il lui demandait si ça allait, qu'il prit sa main pour l'éloigner. Voir qu'il n'avait rien, avoir sa main dans la sienne ; elle semblait pouvoir respirer de nouveau. C'était bizarre, comme sensation, mais elle ne s'interrogeait pas. Ce n'était pas l'heure pour ça.

« Je vais bien, merci de m'avoir sauvée. »

Dit-elle machinalement, comme s'il s'agissait d'une évidence.
Leurs chemins devaient (déjà) se séparer.
Un léger sourire sur le visage, elle s'approcha de lui.

« Fais moi une faveur, hm ? Stay alive, boy. »

Elle lui embrassa la joue, avant de lâcher (déjà) sa main, le remerciant une nouvelle fois.
Appelée par Acanit, elle n'attendit pas.

Elle se mit à courir, vite, attrapant son violon, toujours dans son étui, après avoir mangé ce que lui avait préparé l'exorciste ; l'akuma n'était pas loin avec ses flammes. La mélodie de l'environnement résonnait de nouveau au milieu des autres mélodies qui faisaient si mal aux oreilles. Terrassant cinq akumas sur le chemin, elle envoya de nouveau une petite tornade vers Ego. Il fallait uniquement qu'elle la touche ; de son archet, de sa main, peu importe. Et c'était ce qu'elle fit, Acanit la retenait et Dess avait pu la toucher sur l'épaule libre ; elle était libre de la modifier, à présent. Elle recula, un peu, peut être pas assez, avant d'entamer une mélodie, une nouvelle mélodie. La partition de la Discorde apparut autour d'elle, dansant, Destiny entamant sa modification alors que la Noé était encore retenue. Mais, Destiny, elle serait interrompue, alors qu'elle était presque à la fin de sa modification. Elle n'avait pas été prudente. Une nouvelle fois.

Passive, Destiny.
Il va falloir te réveiller.
Il va falloir réveiller ta puissance.




feat tout le monde






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Ven 6 Mar - 22:10
Edith Laforet
rang : o u r o b o r o s
phrase :
« i'm like a flower that's fading here, where every hour is one long tear »
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pjdialog : Edith pardonne en #B78178.
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Edith Laforet
à l'attaque
« Sometimes at night I whisper it over to myself : Murderess, Murderess. It rustles, like a taffeta skirt across the floor »
Tu n’entends plus le chaos les cris (ce hurlement) les fracas les pleurs la panique (la terreur qui s’infiltre) l’alarme (tout ce bruit) les combats la vie qui s’échappe (qui fuit) les grandes (et les un peu moins grandes) âmes qui attaquent (qui survivent) les tiens qui (tu refuses d’y croire) peuvent y rester mais n’ont pas l’air (ils sont si forts) de trop s’embourber pour l’instant enfin je ne sais pas vraiment Edith parce que tu vois (tout va si vite (tout va toujours trop vite). Tu entends seulement la voix de Mordred qui t’ordonne de reculer et la machine soudainement s’exécute sans rechigner.

Ton corps à sa demande (instinctivement) s’extrait de la zone de combat pour lui laisser la place (celle que tu n’as pas réellement osé endosser) et terminer le travail. C’est trop tard Edith c’est trop tard pour eux : ils sont foutus (parce que tu n’as pas su les gérer (pour ce que cela vaut je peux te dire que c’est de ta faute mais ça tu le sais (ils ne pourront plus en réchapper maintenant c’est fini))) et dans ta bouche se propage comme un amer goût de défaite (et pourtant vous risquez bien de gagner).

Ce problème ne t’appartient plus désormais (la Révolte (la belle Révolte) semble vouloir s’en charger (mais finalement non elle s’en va comme ça juste comme ça et tu comprends que ce sera quand même à toi de conclure leur destinée), alors en attendant de pouvoir compter qui d’eux respirent encore, tu te retournes vers Ada et (elle est blessée (c’est le vampire ce maudit vampire tu savais que tu n’aurais pas dû l’ignorer)) ton sang ne fait qu’un tour parce que tu veux tu dois tu vas tu… (vraiment… – tu refuses de le laisser s’en tirer ainsi). La colère (contre lui (contre toi)) pernicieusement brouille ta vision et submerge ton être (d’ordinaire si doux mais) en cet instant précis tristement désespéré. Tu ne dis rien parce que les mots, à ce stade, ne sont plus d’aucune utilité. De quel droit ? De quel droit s’obstinent-ils à détruire tous ceux qui t’entourent, un par un ? Tu comprends – bien sûr que tu comprends –, sauf que parfois (souvent) la fureur outrepasse la raison.

Tu comprends oui, mais tu préférerais (sincèrement) qu’il en soit autrement.

Ton cœur (ton monstrueux cœur qui ne bat même plus) est (paradoxalement à ta nature la plus profonde d’arme sanguinaire à la merci du Comte Millénaire) un océan de miséricorde ; or la miséricorde a toujours été une question d’après. On pardonne après (après que l’on ait mal agi (après que l’irréparable soit commis (après pour pouvoir mieux recommencer parce que l’on recommence toujours (et après on pardonne encore (encore encore encore)))). Tu sais pardonner : tu l’as toujours fait. Et même en ce qui concerne la situation actuelle qui te glisse inéluctablement des mains, bah : tu accepteras probablement de l’absoudre , bien sûr – après (… (si après il y a)).

Alors, ta perfide dépouille se faufile jusqu’au (enfin pas trop proche non plus) vampire et réfléchit prestement au sort qui l’attend. Il est toujours rattaché à la chaîne de la Maladie. Tu portes les apôtres en grande estime (malgré tout) : ils sont forts (un seul mot et vous n’êtes plus (et pourtant Ada (et Bonnie)…)). Aucun doute quant aux capacités de Blasius pour le maîtriser, évidemment (mais tu n’avais aucun doute concernant Bonnie et Ada non plus et regarde Edith où nous en sommes regarde bien). Plus d’excuses, va : comporte-toi comme la terrible créature que tu es. Tu imagines déjà tes écailles qui se plantent dans son corps et pourtant tu ne les lances pas.

Un murmure s’échappe de ta gueule un très léger « I’m not stupid. » presque silencieux un murmure destiné à toi-même plutôt qu’à qui que ce soit d’autre ici présent. Tu n’es pas suffisamment idiote pour te frotter à lui sans plus de cérémonie (de réflexion) ça non et ce malgré tout le mauvais sentiment que la bête te procure. L’affaiblir d’abord. Et quand la proie souffre enfin d’un instant de médiocrité… on l’abat. Jolie théorie. Que tu comptes bien (en partie du moins) mettre en pratique. Ton chant-sifflement s’élève (une seconde fois) pour une (toute autre) victime et un (tout autre) but.

Tu voudrais qu’il s’endorme paisiblement et ne se réveille jamais. Ne serait-ce pas parfait ? Les choses le sont rarement (la mort, n’en parlons pas) ; tu y gagnes quelques minutes au mieux, peut-être sans grand effet. Et après… après, on verra.

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technique utilisée:


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aes :

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Ven 6 Mar - 22:53
Viggo Makela
rang : Icare
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pjdialog : Viggo hésite en #6633ff.
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aliaspj : Icare
pjpersonality : Discret – Réservé – Anxieux – Souvent crispé – Manque de confiance en lui – Expressif – Gentil – Protecteur – Parfois maladroit – Rêveur – Persévérant – Peu à l'aise avec les contacts physiques – Travailleur – Courageux (ou du moins il fait de son mieux pour l'être) – Calme – Peu éloquent – Gourmand – Un peu timide – A peur du vide – Aime tout ce qui a des ailes – Loyal.
pjage : 22 ans
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Exorciste

Viggo Makela
no time to die ft. All
•••I'll be back, don't you worry. Et la voilà partie un peu plus profondément dans la bataille, laissant derrière elle Viggo qui resta immobile face à la stupeur qui s'était emparée de lui. La mort de Céleste le rongeait de l'intérieur et le Norvégien redoutait celle de Hua. Il avait déjà perdu un pilier, il ne voulait pas en perdre un deuxième et pourtant, il n'avait d'autres choix que de devoir garder espoir, encore et encore, de la retrouver au milieu du sang et des morts, saine et sauve. Il devait lui faire confiance et apaiser cette anxiété qui l'étouffait, resserrait son emprise autour de son cou, rendant sa respiration plus difficile. Lui faire confiance. Redressé, la plume désormais entre les mains de Shuk, les plans étaient désormais changés mais Viggo ne doutait pas un seul instant que le soutien d'Icare serait utile à un moment ou à un autre. Face à elle. Face à cet akuma, qui prononça des mots en totale contradiction avec ses actes. Le cœur du garçon se serra. Il ne comprenait pas tout – qui avaient-ils pris ? Qui leur avait été dérobé ? Pourquoi ? - mais  il ne put se poser davantage de questions.

Les écailles se mirent à pleuvoir à flot au-dessus de leurs têtes, et Viggo, jetant un regard vif à Algiz qui se mit derrière Shuk, plaça ses ailes devant lui pour tenter de se protéger, mais ses plumes n'étaient pas des plus résistantes – pas encore – et une écaille fendit l'épiderme de sa joue, puis d'autres ses jambes. Malgré le mouvement qu'il tentait de produire avec ses ailes pour que la force du vent produit repousse les écailles, il ne pouvait échapper à cette avalanche d'écaille et le trio n'était pas au bout de ses peines. La voix d'Algiz résonna, exprimant ces mêmes interrogations qui défilaient dans la tête de Viggo qui tentait de garder le peu de contenance qu'il avait. Il se contenta d'écouter, le cœur battant, le regard trahissant toutes ces émotions fortes qui dévoraient son palpitant, tandis que sa mine froncée dévoilait toute la hargne intérieure et profonde à vouloir survivre et protéger. La guerre n'était pas faite pour lui – bien qu'il s'y soit adapté – et il ne voulait pas succomber. Son cœur s'était attaché à certains et malgré toutes les horreurs qu'il aurait à traversé, il voulait se relever.

Pourquoi ? Pourquoi cet affront ? Pourquoi toute cette désolation ? Viggo, Shuk et Algiz n'étaient pas au bout de leur peine. Des yeux dorés, des stigmates ancrés au niveau du front et un sourire qui n'augurait rien de bon. Ses mirettes à peine écarquillées par l'attaque qui venait d'être créée, le garçon aux cheveux sombres sentit son corps être violemment repoussé sur le côté pour éviter l'attaque – l'explosion, la chaleur brûlante – et son crâne heurta le sol alors que le sol trembla avec une force impressionnante et terrifiante. Sonné, ses prunelles avaient toutefois aperçut Algiz agir en héros, postés au-dessus de Shuk et lui alors que le souffle venait lécher sa chair nue. Son épiderme se faisait consumer, et la chaleur arracha un gémissement à Viggo qui sentait ses poumons se remplir de cet air néfaste. Dans un effort, l'une des ailes du Norvégien vint couvrir Algiz, les plumes se déchirant face à la violence de l'attaque. Les pierres propulsées par l'explosion frappait son corps qui se recroquevilla. Les bras de Viggo attrapèrent le corps bouillonnant de l'homme en caleçon et comme pour espérer le protéger davantage, il le serra fort. Fort contre lui, avant que la chaleur ne se dissipe face au gaz. La glace, les guerriers envoyés par Apollinaire envoyèrent une vague de fraîcheur, laissant aux poumons de Viggo l'occasion de se remplir d'un air moins agressif.

Il se mit à tousser, se redressant fébrilement en voulant placer Algiz sur le côté, le hurlement qu'il avait poussé résonnant en écho dans son encéphale, mais il ne put se relever de toute sa hauteur pour contempler avec admiration le Maréchal qui venait de les tirer d'affaires. « Est-ce que... » dit-il sans pouvoir terminer sa phrase qu'il régurgita ce qu'il avait dans le ventre. Tous ses membres tremblaient. Il ne se sentait véritablement pas bien, et son cœur se mit à cogner si fort dans sa poitrine que Viggo eut l'impression qu'il allait lâcher. Ses pensées le noyèrent. Il était si faible. Qui aurait besoin de lui ? Qui aurait besoin d'un poids comme lui ? Il n'était même pas en mesure de protéger ses camarades, de venir en aide à ses amis, à Hua. Pourquoi n'était-ce pas lui qui avait chuté ce jour-là ? Pourquoi n'était-ce pas dans le dos de Céleste qu'avaient poussés des ailes ? Pourquoi n'était-ce pas elle qui se trouvait ici ? Pourquoi n'était-ce pas lui qui était mort, le crâne éclaté contre la roche ? Les larmes lui montèrent aux yeux, glissant vers son nez avant de finir leur course sur le sol. Il ne voulait plus exister. Au fond, qu'est-ce qu'un homme comme lui pourrait changer au cours de toute chose ? Et le souvenir des terres de Norvège lui revinrent. L'odeur du cuir des chaussures qu'il avait travaillé aux côtés de son père. Les balades pédestres dans les montagnes. Il avait perdu le goût de tout cela.

:copyright: 2981 12289 0

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ICARE

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Ven 6 Mar - 23:43
Shuk
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phrase : Neque porro quisquam est qui dolorem ipsum quia dolor sit amet, consectetur.
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Exorciste

Shuk
Death is nearDu monde
Shuk se sentit entraîné sur le côté par un poids. Un poids qui n’était pas le sien et qui ne venait pas de lui. Une explosion éblouissante, assourdissante. Il ne se rendit pas compte que dans sa terreur, il avait utilisé la plume que Viggo lui avait donnée. Il sentit son corps heurter avec force le sol, une vive douleur se manifesta dans son épaule. Une des ailes se retrouva sous son corps mais la seconde se replia au-dessus de lui, au-dessus d’Algiz. Son œil fermé ne lui permit pas de voir les ailes se désagréger sous la force de l’attaque. Il sentit sa liane disparaître sous l'effet du souffle brûlant qui dévora la moindre parcelle de peau libre. Il n’avait pas conscience que le psychologue avait subi la plus grosse partie de l’attaque, non, il ne voulait pas ouvrir les yeux.

Le vent froid, frais, glacial le revigora suffisamment pour qu’il se redresse. Il n’était plus plaqué sur le sol. Il refusait d’ouvrir son œil, il ne voulait pas voir. Qu’y avait-il à voir ? Un champ de bataille ? Des morts par milliers ? Des amis ? Des étrangers ? Ses épaules s'affaissent. Rien, il n’y avait rien à voir, rien à sauver, il était inutile, il ne voulait pas voir les corps ravagés des gens qu’il avait essayé de sauver. Il était inutile, il l’avait toujours été. Une voix issue de souvenir profondément enfoui dans sa mémoire. Une voix qui fut mise sous les verrous il y a bien longtemps. Une voix qu’il ne reconnaissait pas, plus. Une voix qui faisait mal. Une voix qui hurlait qu’il ne valait rien, qu’il aurait dû mourir il y a bien longtemps, une voix qui lui hurlait dessus des choses dont il ne se souvenait plus très bien. Une voix qui rendait son cœur et sa tête douloureuse. Une voix qui lui serrait la gorge qui lui donnait envie de disparaître. Qui le regretterais après tout. Personne. Il n’était qu’un poids inutile.


Le poids sur son cœur, la brûlure sur sa peau, la douleur de ses muscles, il ne pouvait pas bouger. Il était figé sur place. Il ouvrit la bouche pour crier, mais aucun son ne sortit. Il respira, s’étouffa. La fumée avait trouvé son chemin dans ses poumons. Il toussa, beaucoup. Il était désespéré de faire entrer de l’air dans ses poumons, non son corps l’était. Son esprit voulait partir, être libéré de la douleur et de l'existence, mais son corps activait tous les mécanismes de défense qu’il connaissait. Rien ne fonctionnait, il étouffait et son cœur battait tellement fort dans sa poitrine. Si fort, c’était assourdissant. Il voulait supplier, les seuls sons qu’il avait réussi à produire mélangeait sifflement erratiques, sanglots, toux et gémissements. Il étouffait. Sa main s’agrippa à ses vêtements, à sa poitrine où son cœur battait trop fort, trop vite. Il était sourd à ce qu’il pouvait se passer autour de lui. Sourd à la douleur des autres, sourd au combat. Tout n’était que ténèbres.

Que quelqu’un l'achève, qu’on le tire de cette souffrance.




:copyright:️ 2981 12289 0


resumé:


Hullo (tw : blood):

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Ven 6 Mar - 23:46
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Souffrance...



Une voile blanc, froid qui l’entoure.

Des flocons volant dans le ciel, balayés par le vent.

Il fait froid.

Il fait noir.

Le silence est là. Pesant.

Puis le ciel sombre se teinte de couleurs, de formes mouvantes, de visages. Une mosaïque de souvenirs disséminés dans les ténèbres célestes. Al lève le regard, se relève. Il était adossé, oui, adossé. Mais contre quoi ? Il se tourne, lentement. La peur au ventre, la réponse dans un coin de sa tête, latente.

Un cerisier. Grand, aux innombrables branches, garni de fleurs et de bourgeons. Il est imposant, magnifique aussi.

Non.

Était.

Noir charbon, il devient chétif, se flétrissant au fur et à mesure. Al ne peut que regarder, horrifié l’arbre partir en cendre. Voir des morceaux d’écorces voler, désagrégés dans le vent. Les pétales de fleurs se détacher, tomber et se trouver réduit en poussière avant de toucher le sol.

L’arbre se meurt. Jusqu’à devenir poussière à ses pieds.

Il recule, refusant d’en voir plus, refusant de saisir ce que cette petite montagne grise signifiait pour lui.

Les images le percutent, une voix insidieuse s’insinue en lui, murmure, rappel.

La scène, la dernière imprimée sur sa rétine, il la voit, la revoit, encore et encore. La petite voix continue de murmurer. Lui susurre, il n’y a aucune issue. Aucune chance. D’autres souvenirs fusent, plus doux, plus heureux mais tranchées comme si un être s’amusait à découper en morceaux les parcelles de sa raison de vivre.

Sa raison de vivre.

Le tas de cendre. Détruit.

Sa raison de vivre avec.

Al n’est plus maître de sa propre raison, de ses propres souvenirs, de son propre espoir. Il n’y a plus rien. La petite voix à raison. Pourquoi continuer, ils sont trop nombreux, arrivés sans prévenir au pire moment. Eux, pas assez entraînés pour certains, plongés dans le chaos, les plus expérimentés devant lutter contre trop d’ennemis à la fois.

Il n’y a aucune issue. La petite voix à raison. Ils mourront tous. Le cerisier aussi finira en cendre. Cet arbre là, celui là même qui est devenu son essence vitale. Al l’as bien vu, déjà à terre. La petite voix continue de déverser son venin, étouffant la confiance, l’espoir jusqu’à ce qu’il ne reste qu’une seule certitude. La vie se moque bien de leur coeur, elle se moque bien des épreuves qu'ils passent, de leurs douleurs, de leurs espoirs. Elle se moque de tout. Alors pourquoi lui faire ce plaisir de rester en vie.

Le cerisier prend forme humaine pour se désagréger aussitôt dans le vent.

Aki.

C’est donc perdu. Ce sentiment, absolu, entier. Sa chimère. Tant d'années passées sans y croire une seconde, à penser qu'il n'y avait pas droit. Tout ça pour que la vie s'amuse à tout réduire en cendre.

Finalement…..l'amour lui était interdit.

Il ne lui reste donc qu’une seule chose à faire.

La main d’Al se referme sur un morceau de pierre brisée.

Un spasme, puis le bruit d'une pierre qui tombe.

Le voile de l’inconscience le happe, les mains meurtries par la pierre. Le corps blessé, douloureux, agité de spasmes et l’âme détruite. Une unique perle d'eau salée s'écrase au sol.


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Sam 7 Mar - 17:40
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you do your thing never wanted a future

ceux qui prient

Furieux. Chaos est absolument furieux. Il a presque l’écume au bord des lèvres, presque les canines aussi asserrées que les bêtes sauvages qui hantent les cauchemars de tout à chacun. Palpitant affolé et sang pulsant dans ses veines – dans tes veines, mais le Noé n’en a présentement que faire – il se donne en spectacle, autant face à ses alliés que ses adversaires. En cet instant, il n’a ni peur de la douleur, ni peur de la mort. Il devrait, pourtant. Oh il devrait se montrer plus prudent. Au fond de votre esprit commun, tu lui murmures quelques recommendations fébriles. « You should be more careful. » que tu lui lâches avec une froideur glaciale. Chaos fait mine de ne pas entendre, cela te vexe terriblement. Il poursuit son bref discours rageur, se faisant la cible immobile de tout Exorciste qui voudrait le prendre pour cible. Ça t’horripile. « Don’t let her come too close, que tu lui souffles à l’oreille alors que l’Exorciste avec l’étrange épée-couteau s’éloigne, She seems dangerous, you know. » Encore une fois, tu es ignorée. Et Chaos aurait du t’écouter. L’Affamée se précipite à nouveau vers lui, si rapidement qu’il n’a guère le temps d’éviter la catastrophe qui s’annonce. Pas le temps de la voir venir, pas le temps de réfléchir. Il n’y a que sa chair – ta chair – qui se déchire sous les dents de l’arme qui le fait hurler à l’agonie. C’est un cri sinistre et hideux qui sort de sa gorge, qui se répend un peu partout sur le champs de bataille. La peau ne fait pas le poids face à l’attaque de l’Exorciste, le tissu non plus. L’hémoglobine coule à flôt entre les dents de l’Innocence, entre les trous béants dans la chemise.

C’est dans une bien mauvaise situation que se trouve le Noé. Il y aurait laissé des plumes, s’il n’avait pas sentit une nouvelle vague de colère, ainsi que de puissance l’envahir. C’est une sensation bien étrange que celle qui s’abat sur lui. Il ne s’interroge pas sur un tel miracle, bien au contraire. Il se laisse porter par la colère et cette nouvelle vague d’énergie. Dans sa main libre, celle rattachée à son bras encore sain, il y a un poids qui se forme. Quelques picotements au bout de ses doigts, un poids dans sa main, quelque chose de froid au creux de sa paume. Le Noé baisse légèrement les yeux pour y voir le manche d’une arme. Une hâche toute faite de matière noire. Surprenant, mais somme toute utile. Sans réfléchir, la Discorde abat l’arme sur l’Innocence de l’Affamée, main crispée et rage débordante. C’est avec un grand fracas que les armes se rencontrent. Chaos lutte pour se libérer de l’Innocence dévorante. Les dents s’enfoncent un peu plus dans sa chaire, mais voilà qu’il parvient à glisser la lame de sa propre arme dans l’espace réduit entre les dents de l’épée-couteau. « Fuck you ! » qu’il crache au visage de l’Affamée. Par quelques gestes maladroits et secs, la Discorde parvient à se libérer des mâchoires de l’Innocence. Une fois libre, il n’hésite pas une seule seconde à frapper à nouveau l’Innocence de sa hâche de matière noire, se jetant à moitié sur l’Exorciste. Ce n’est qu’un mélange confus de corps qui s’emmêlent et se démêlent. La confusion est telle que Chaos se laisse aller à ses pulsions sanguinaires, ses envies de faire souffrir. Un bout de bras qui passe par-là et hop, le voilà qui croque vicieusement dans la chair qui s’offre à lui. Instant bref, mais douloureux. Le Noé se détache déjà de l’Exorciste pour mettre fin à leur danse macabre.

Dans la confusion qui ensuit la danse avec l’Affamée, le Noé ne peut éviter ce qu’elle lui jette au visage. Ce qui l’Innocence produit haineusement pour le ralentir. Ou le tuer. Une épaisse couche de il-ne-sais-trop-quoi lui recouvre le visage, l’empêche de voir et de respirer. Et si dans pareille situation tu aurais cédé à la panique, le besoin de respirer se faisant plus fort que la raison, Chaos agit avec une froideur presque déconcertante. Il passe sa hâche du côté de son bras blessé, laissant juste la main maintenir l’arme au sol le temps que. La chose durcit autour de son visage et le voilà qui cogne bêtement, du poing formé de sa main libre, contre le piège. Des fissures ne tardent pas à apparaître dans l’étrange structure, structure qui finit par se briser, répendant poussières et débris sur la chemise trouée de la Discorde. Il prend une grande goûlée d’air, reprenant sa hâche du bon côté. La tête lui tourne un peu. Mais voilà que déjà une autre Exorciste passe à l’assaut. Violon en main, doigts habiles sur l’instrument, la blondinette s’efforce de faire quelque chose. Chaos ne sait pas quoi, il n’en a que faire. Il ne la laisse pas finir ; il tourne sur lui-même, prenant violemment de l’élan, pour venir abattre son arme sur la musicienne. Il n’est pas particulièrement précis ou adroit dans son geste, ne tenant sa hâche que d’une main mal-assurée. Bras balant d’un côté, rage l’aveuglant, la Discorde ne voit même pas où le coup est porté. Il sait juste que l’hémoglobine coule sous l’attaque de sa lame et c’est là tout ce qui lui importe. Il ne prend pas le temps non plus d’observer son œuvre, tournant le dos à la musicienne blessée sans réfléchir. Dans sa main, la hâche est lourde.
lots of people you should be scared
Awful


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Sam 7 Mar - 21:51
Adelheid von Rosenwald
rang : Le Murmure de l'Empereur
phrase : I could set this world on fire and call it rain.
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pjdialog : Adelheid règne en #c9abc3.
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aliaspj : lilium candidum
pjpersonality : Il est compliqué, si compliqué de résumer Adelheid en quelques mots. Lorsqu’il est demandé à ses proches de la décrire, de la résumer, il est impossible de les arrêter. Elle est si complexe que certaines personnes ont passé des heures à réfléchir sur sa personnalité pour savoir qui elle est réellement. Personne ne peut savoir, au fond. Sur son passage, elle ne laisse personne indifférent. Chacun a son avis personnel sur Addie. Pourtant, est-ce-que quelqu’un la connait réellement ? Bien sûr, certains ont des indices sur sa personnalité, sa famille notamment, mais la connaissent-ils pour autant ? Ce n’est pas sûr.
pjage : 23 years old
usralias : Perséphone
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parcoursrp : hide&seekAda

proud people breed sad sorrows for themselves Edith

quête : requiemMelusine & Yulia
status : Available 03/4
usrjoined : 24/08/2019
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Apôtre de Noé

Adelheid von Rosenwald


intrigue, chap. VII, phase 1, ceux qui prient.


Lorsque la flamboyante lui demanda, après avoir commis son méfait, si elle pouvait alimenter ses flammes, le Châtiment hocha la tête, un sourire mauvais sur le visage. Elle ne pouvait point être plus heureuse. Ils brûleraient tous dans leurs péchés pour avoir touché à sa petite soeur. Adelheid observait tout ce qui se déroulait devant ses yeux. La petite se mettait une nouvelle fois sur le chemin, en l'empêchant de tuer son futur rôti. Soit. Elle brûlerait aussi. Ou elle la trancherait. Elle remarqua qu'il ne restait que cinq hachettes. Elle devait passer à la vitesse supérieur.

Tant de choses se passaient autour d'elle, les flammes masquaient beaucoup de choses. Elle décida de prendre de la hauteur, de reculer dès que son cercle de flammes s'évanouit pour voir, pour mieux voir. Mais quelque chose retint son attention. Plusieurs personnes retenaient son attention. Elle regarda avec horreur ce qu'il arrivait à sa soeur aînée ; en baissant son regard, elle trouva celui du maréchal. La situation leur échappait. Non, la situation lui échappait à elle. Et je jure, si je survis, de trouver le moyen d'arrêter cette folie. Pour tous vous sauver. L'horreur de son visage disparut, de plus en plus ; laissant place à la colère, pure et dure. Elle ne pouvait pas se battre dans un tel état. Elle se disait imperturbable et elle savait qu'elle ferait des victimes dans cet état ; mais qu'elle se blesserait elle-même ainsi que ses frères et soeurs.

Je t'avais bien dit, Adelheid...
Tu n'es pas à la hauteur.


Elle tourna la tête sur la droite, l'illusion était là de nouveau.
Viktoria était près d'elle, son air mauvais si caractéristique.

Tu es faible.

D'un coup de hache, dans le vide, elle balaya sa soeur décédée, celle qui la hantait.
C'était à cet instant que Poena profita pour intervenir.
Elle chuchota quelques mots à l'oreille d'Adelheid ; elle céda.

Elle n'était pas en état de se battre intelligemment, correctement ;
L'apôtre laissa place au souvenir, au bord de l'explosion.
Adelheid sombra pour que Poena apparaisse.

Toute trace d'émotion disparut du visage d'Adelheid. Poena semblait paisible, malgré l'apocalypse autour d'elle. Elle regardait le monde de haut. Ils seraient tous châtiés pour leurs péchés, mais le temps pressait. Dominus était mal au point, c'était ce que venait d'annoncer un akuma. Tirant sa chaîne délicatement pour l'extirper de sous son haut avec sa main gauche, elle claqua des doigts pour qu'une flamme apparaisse dans sa main droite. Elle brûla le crucifix attaché à la chaîne, pour invoquer un de ses condamnés. Ceci s'accompagna d'une prière.

« Je t'invoque à mes côtés, Soeur Constance. »

D'un brasier jaillit la douce Constance, s'inclinant devant sa maîtresse.

« Dominus est en danger, je t'ordonne de le soigner. Je sais que tu ne peux faire de miracle, fais ce que tu peux pour le maintenir en vie. Si besoin, amène le à moi. »

Constance s'inclina une seconde fois devant sa maîtresse, gracieusement avant de filer en volant vers Dominus. Elle volait très haut, rapidement, pour pouvoir rejoindre le frère de sa maîtresse au plus vite. Elle ne pourrait malheureusement le soigner, mais elle pouvait au moins faire en sorte que le sang s'arrête de couler, voire que la blessure se ferme ; au moins. Le temps pressait.

Tandis que dans le hall, Poena n'avait pas bouger, elle rappela les cinq dernières hachettes vers elle, en invoquant quinze cette fois ci. Elle se sentait un peu plus puissante, Poena. Elle se sentait bien, très bien. Elle ne montrait toujours aucune émotion, elle voulait en finir, vite. Elle manipula les hachettes pour en envoyer dix sur la gamine, cinq sur le tigre et cinq sur la compatible. Elle ferait en sorte qu'au moins une hachette touche un membre de chacun d'entre eux. Elle mit son fouet autour de sa ceinture, reprenant sa grande hache empoisonnée en main.

Finalement, Constance arriva au niveau de Dominus. Elle ne calculait personne, n'ayant qu'une mission et n'ayant que peu de temps pour l'accomplir.

« Maître Dominus, je suis envoyée par ma maîtresse Poena pour vous soigner du mieux que je peux, je n'ai que peu de temps. »

Elle n'attendit pas pour se mettre au travail. Il fallait à tout prix arrêter le sang de couler, il fallait à tout prix fermer cette blessure. Ses capacités étaient limitées car il ne s'agissait pas de sa maîtresse, mais elle ferait du mieux qu'elle pouvait ; elle ne voulait pas décevoir sa maîtresse. Elle éviterait toute attaque sur sa personne, tout en prenant soin de Dominus. Elle devait rester en vie le plus longtemps possible.




feat tout le monde.






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Dim 8 Mar - 2:33
Adélaïde Thompson
rang : La pie
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« Everything happens for a reason. Sometimes the reason is you’re stupid and make bad decisions. »
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pjdialog : Adélaïde réveille la Congré en gueulant en #00ff33.
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aliaspj : La pie (voleuse)
pjpersonality : Extra(vertie) — parle beaucoup & fort — amicale — compétitive — ferait n'importe quoi pour ses proches — irréfléchie — n'aime pas l'autorité mais s'y plie sans (trop) de problème du moment qu'elle y trouve son compte — indomptable et indomptée — rancunière — ne tient pas en place — s'ennuie rapidement — trouve cependant toujours quelque chose à faire — volontaire — courageuse (inconsciente) — énergique — énervante — souriante — aime tout ce qui est coloré — pétillante — chapardeuse — & more!.
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Exorciste

Adélaïde Thompson
chapter five — the burning
Mais personne ne t’entend, Adélaïde — personne ne t’entend. La guerre ce n’est pas un jeu, Adélaïde. Pas non plus une scène sur laquelle tu peux te donner en spectacle, apparemment (ou alors, attends-toi à être ignorée). Tu ravales ton orgueil (pas vraiment — tu te persuades simplement qu’ils ne t’ont pas entendue, c’est moins vexant que de n’avoir pas été écoutée (au fond de toi tu sais que ce n’est pas vrai (évidement), mais tu t’en fiches : la vérité c’est ce que tu décides de croire après tout) et jettes un regard plus bas. Si tu avais espéré que le monde se soit arrêté de tourner (rien qu’un instant) et que tous les yeux soient posés sur toi (que tu puisses y lire de l’admiration et de la peur et des étoiles (des dizaines de miroirs)) force est de constater que rien n’a changé, ou si peu : tu les as un peu dérangés, voilà tout (pire : tu as l’impression d’avoir désavantagé tes alliés). C’est frustrant, mais tu mets cela sur le compte de ton inexpérience — c’est la première fois que tu parviens à projeter toutes les pièces du Santa María (mais vraiment à quoi tu pensais Acanit en trois mois tu as du comprendre que ()) et surtout : la première fois que tu te retrouves véritablement au commandement d’un navire.

Luckily for them (unfortunately for the others) — you’re a fast learner, Adélaïde.

La colère passe doucement (elle te rend ce qu’il faut de lucidité pour ne pas faire de mauvais choix (du genre de ceux qui te priveraient (au hasard) de l’envie de combattre par exemple — tu t’infliges une gifle mentale et grimaces au souvenir de l’humiliation (elle te le paiera cette Cassidy elle te)))) alors tu la cherches du regard — évidemment il ne te faut pas chercher longtemps she’s all over the frikin’ place avec sa fumée pourpre et son drapeau et ses dagues et ses—

ah
elle a disparu.
(Apollinaire aussi)

Tu fronces les sourcils (tu n’as pas rêvé Adélaïde elle n’est plus là et le maréchal non plus et toi ? toi il serait temps que tu passes à l’action ils sont nombreux à avoir besoin de ton aide — à commencer par Acanit et Destiny toujours aux prises avec le même apôtre depuis un moment maintenant) puis tu hausses les épaules : bah, ça ne sert à rien d’essayer de discerner quoique ce soit dans un tel chaos. Tu n’as qu’à tirer dans le tas — après tout, l’innocence ne blesse que les êtres faits de matière noire, hein ? Tu es sûre de l’avoir lu quelque part un jour, ou peut-être bien qu’on te l’a dit (enfin de toute façon le meilleur moyen de le vérifier reste encore de le tester (tu n’es qu’à moitié sérieuse évidemment tu ne le penses pas vraiment (tu ne prends pas la vie des autres à la légère) et tu laisses la colère (et l’envie et toutes les choses que Acanit a utilisé pour sa recette) se charger de faire taire les doutes). « Northstar ! » lances-tu — car avant cela, il te faut t’occuper de ce groupe d’akumas qui semble s’être rappelé que tu existes (pourquoi faut-il que ce soit eux qui te remarquent, Adélaïde...) ils n’ont pas le temps de t’atteindre cependant : les cordages du Santa María les transpercent bien avant qu’ils ne tirent leurs premiers missiles (bien avant qu’ils ne représentent le moindre danger pour toi (cela fait vingt pour moi, Ego)).

Luckily for you (unfortunately for them) — you’re a fast learner, Adélaïde.

Tu ne prêtes plus la moindre attention à ce qu’il se passe plus bas lorsque tu manœuvres l’immense caravelle qui te sert d’innocence (longue-vue toujours en main et l’autre posée sur la barre) — et le navire se met à bouger, à tanguer, à voguer sur des flots invisibles qui le font se balancer et chanceler le tout dans un énorme fracas (mélange de grincements de plancher de bruit de vagues du bois qui craque du vent qui souffle dans les voiles et de grondements menaçants (le calme avant la tempête avant l’ouragan)). Tu tournes ton embarcation — juste assez pour que les canons puissent viser (et tirer, surtout) dans le tas qui s’agite plus bas. « Records ! »

Et tu fais feu.
Une fois, deux fois... dix fois.
(Encore, encore, et encore).


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Dim 8 Mar - 15:22
Felipe Borréda De Soto
rang : Le Prodige
phrase : I'll do this my way.
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pjdialog : Felipe fonce en #B40404.
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Akuma

Felipe Borréda De Soto

Ceux qui prient


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Les Akumas tombaient sur le sol déjà souillé de sang et de poussière, s'écrasant aux côtés des cadavres ennemis. La voix des uns et des autres résonnaient – la colère s'exprimait, les larmes coulaient à flot sur les joues – et les coups pleuvaient. Tant de désolation et personne ne comptait baisser les armes. Tant de mesures mises en œuvre par l'un et par l'autre pour s'affronter, se résister et se vaincre. Il était temps pour Felipe de se jeter à l'eau à son tour après avoir laissé quelques instants la chair à canon se faire liquider. Il ne resterait pas un instant de plus à camper sur sa position et son regard émeraude rencontrant de nouveau celui de Tuulikki, la lueur assurée luisant dans ses prunelles, il s'élança en avant, laissant sa chair être remplacée par un ensemble de rouages et de mécanique. Le torero n'avait plus rien de l'être humain et sa carcasse de fer ténébreuse s'avança vers la guerre, trottinant lourdement vers ses camarades, vers la familia. Les détonations ne lui faisaient pas peur. Le danger qui rôdait non plus. Rien, absolument rien n'arrêterait le taureau élancé dans l'arène, et s'il était prêt à foncer dans le tas sans la moindre stratégie en tête, le regard du Prodige avait repéré le navire et surtout, la personne qui commandait le Santa Maria.

Adélaïde. Ou plutôt avait-il décidé de l'appeler la pie depuis qu'elle avait eut le culot de fouiller dans ses poches, de tenter de lui dérober sa richesse. Une ingrate aux yeux de Felipe qui, malgré toute sa volonté à vouloir lui encastrer la tête dans le sol et l'abattre une bonne fois pour toute, n'y était jamais parvenu. Un échec qui ne plaisait pas du tout à Felipe, et la promesse faite à lui-même d'être celui qui lui ôterait la vie se répandait dans chaque parcelle de son corps, l'Akuma fonçant droit vers le bateau, bousculant violemment ceux qui se trouvaient sur le passage, baissant la tête pour laisser ses cornes de matière noire prêtes à empaler quiconque aurait le malheur de lui faire barrage. Finalement, il parvint au pied de l'immense navire espagnol et abandonna sa carcasse de métal pour se revêtir de sa chair. Pas besoin de sa part Akuma pour se battre contre Adélaïde. Il allait la frapper à mains nues, comme à chaque fois.

Un sourire déjà vainqueur avant même que la lutte n'ait commencé, ses prunelles rencontrèrent bientôt celles de la pie qui l'avait aperçu et qui lui tendait même une planche en bois pour qu'il la rejoigne. Il allait en finir avec elle, ici-même, et alors que l'adrénaline se dispersait dans son corps, Felipe se hissa dessus, grimpant tout en lançant un regard vers Ada, Edith, Wilma et tous ceux qui avaient été potentiellement touchés par les boulets de canons tirés à pleine puissance. « Idiota. » siffla t-il entre ses dents, aussi bien pour Adélaïde que pour Ada, dont il avait vu un aperçu des dégâts. A son tour de faire mordre la poussière à la pie, et posant finalement les pieds sur le bois du château arrière, il sentit son cœur s'embraser d'une rage naturelle envers cette femme aux cheveux flamboyant. Remontant les manches de sa chemise, il tapa du pied. « Holà, sale pie ! Arrête donc de jouer aux capitaines et finissons-en ! » s'écria t-il, le cœur battant à vive allure dans sa poitrine. L'adrénaline pulsait dans ses veines.
         
          Halloween


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Dim 8 Mar - 15:45
Oskar P. Magnussen
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Exorciste

Oskar P. Magnussen
Colère

Destiny t’embrasse et repart, disparaissant dans la cohue. Tu devrais en faire de même, après tout ton objectif n’a pas changé — il s’agit de vaincre la Maladie (il s’agit de sauver ton compagnon (il s’agit de gagner)) — mais toi, oui. Tes pensées s’embourbent, ton coeur s’emballe (Destiny t’a embrassé) et tes émotions se disputent la priorité. Le Courage veut balayer cet évènement d’un revers de la main et retourner au combat (Destiny t’a embrassé), la Peur tente de prendre le dessus et de sauver la douce (Destiny t’a embrassé), la Joie te supplie de sauter sur place et d’oublier tout ce qui t’entoure (Destiny t’a embrassé) — un dernier sentiment (I loved) t’ordonne tout un tas de choses mais tu le renfermes au plus profond de toi (il n’est qu’un Ephémère).

Tes pensées s’embourbent.
Ton coeur s’emballe.
Tes émotions se disputent.

Et le combat continue.

Alors le Courage prend le dessus, s’accompagnant doucement de la Détermination, et tu reprends ta course, évitant tant bien que mal les obstacles sur ton chemin — ou les détruisant (ils ne sont que des Machines (des fantômes)). Aucun réel ennemi ne se trouve sur ta voie, si ce n’est le Gris et ses chaînes qui retient Akira. Il est loin, si loin, mais tu n’as d’autre choix, n’est-ce pas ? Il y a bien la Discorde non loin, mais la voilà attaquée par Acanit et son arme parlante, Destiny et son violon (and I loved). Il y a la Révolte aussi — est-ce bien elle, tu n’es plus sûre de rien aujourd’hui — mais ton Maréchale apparaît et tu sais qu’il saura se défaire d’elle.

Mais ton Maréchale apparaît puis disparaît tout aussi vite, alors que tu te stoppes dans ta course, l’air effaré (l’air paniqué). Que s’est il passé ? Est-ce que tout cela ferait partie de l’un de ses plans, de ceux que tu n’arrives à comprendre. Oui, c’est sans doute ce qu’il se passe. Il a su vaincre la Lumière, ce n’est pas la cow-boy au drapeau qui l’arrêtera. Il te faut reprendre ta course, Oskar, il te faut reprendre le combat.

Un regard sur ta cible puis un regard en arrière. C’est plus fort que toi, la Discorde occupe toutes tes pensées, avec ses attaques imprévisibles et son caractère impitoyable. Et voilà qu’une hache apparaît et que ta course s’arrête et que ton cœur loupe un battement et que la lame s’abat et qu’un cri quitte tes lèvres (and I lost you) et que le bruit le recouvre et que le temps passe et passe et passe, tu ne sais comment ni pourquoi. Et voilà qu’un ordre est donné, et voilà qu’un boulet apparaît et voilà que ton coeur s’arrête pour de bon et voilà que la poussière recouvre tout et voilà que tu es plus immobile que jamais (and it hurts like hell).

Tu dois aller la voir.
Destiny.
Absolument.
Tu dois l’aider à sortir de là.
Tu dois la sauver.
Acanit, aussi.
Acanit et son arme qui parle.
Destiny et son violon.
Mais tu ne bouges pas.
Mais tu pleures.
Mais la Maladie est plus proche.
Et le Jugement.
Et le Savoir.
Et le Serpent.
Et tu ne bouges pas.

On te bouscule, enfin. Tes pensées se sont tus, tout comme ton cœur et tes émotions. Une seule a pris le dessus, une seule décide pour tout le reste et alors voilà que l’Ephémère devient la Colère. Et la Colère doit reprendre le combat et les sauver, tous — et les anéantir, tous (et te sauver, toi (t’enfermer dans un monde où la hache n’est jamais tombée (t’enfermer dans un mensonge (et nourrir la rage))).

(I loved)

Ton innocence bien à l’abri dans le creux de ta main, tu reprends ton chemin et gèle ce qui se trouve sur ton passage — et de un, et de deux, et de trois, et de quatre. Ils doivent payer, pour elle — pour elles — qu’importe qu’ils aient été un jour humain, qu’importe qu’ils le soient toujours. Ils doivent payer, qu’importe les blessures qu’ils ont déjà reçues, qu’importe les sanctions qu’ils ont déjà reçus, qu’importe ces pêchés qui leur ont été absous.

(And I loved)

Tu ne sais où ils sont, n’arrivent à voir parmi les décombres et la poussière qui te pique les yeux, mais tu n’abandonnes pas pour autant. Pensant être enfin à leur hauteur, tu fais apparaître ton blizzard et son vent aussi enragé que toi ; Puis puises une nouvelle fois dans toute cette haine pour créer un javelot dans ta main droite.

(And I lost you)
« Montrez-vous » ordonnes tu, enfin, dans un grincement de dents.
(And it hurts like hell)
© GASMASK


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L'Oskiny ♥️:

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Dim 8 Mar - 17:12
Ada van Eyck
rang : The Dreamcatcher
phrase : You win some, you lose some. Except for me. I always win.
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pjdialog : Ada manipule en #cc0000
Dominus détruit en #990000
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aliaspj : L'Omnisciente
pjpersonality : Loyale | mauvaise | arrogante | égoïste | perfectionniste | ferme | autoritaire | stratège | rusée | intelligente | travailleuse | méthodique | calme | mature | anxieuse | téméraire | curieuse | indépendante | honnête | protectrice | ne perd JAMAIS.
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Apôtre de Noé

Ada van Eyck
Dominus, les Noés & la plèbeCongrégation de l'Ombre
<
Ceux qui prient & ceux qui saignent.
Je ne sais pas. Je ne sais plus.
C'est horrible cette sensation d'impuissance. Comme si tout nous échappait. Enfin, c'est plus qu'un "comme si". Parce que tout m'échappe. Le Destin veut-il me faire payer pour une chose ? Mais quoi? Qu'il me le dise, qu'il me le dise pour que je puisse réparer, pour que je puisse redevenir normale. La Ada qui ne se souciait de personne à part elle -et une poignée d'élus-, la Ada arrogante et dont les gens n'osaient prononcer le nom qu'en bien, sous peine de me voir en colère...

J'ai l'impression que ce temps-là est révolu. Comme une dernière pétale qui tombe sur le sol. Est-ce toutes les expériences que j'ai traversé qui me mettent dans cet état? Qui me changent aussi profondément?

Trop d'interrogations, pour des réponses aussi peu précises.

Et pour Risa... ce fut vraiment le coup du désespoir. Je n'espère même pas obtenir une réponse de sa part. Je voulais juste que mes paroles l'atteignent, qu'elle les entende. Pour qu'au moins, je puisse dire que j'ai essayé. J'ai essayé de la sauver. De la ramener à moi. Car si seulement elle savait dans quoi j'aurais sombré si elle n'avait pas été là.
Et sans qu'une réponse ne franchisse ses lèvres, me voilà expulsée par un coup de pied dans le ventre. Je m'effondre sur le côté, tentant de me relever rapidement. Je ne dois pas rester en position de faiblesse -c'est un champ de bataille malgré tout- et même si les Akumas m'entourent, les Exorcistes sont présents aussi.

Une tornade d'eau m'entoure. Il y a eu des explosions, mais nous sommes seules. Toutes les deux.
Et là, elle se retourne vers moi. Elle aussi, elle pleure. Je ne prête attention qu'à son visage, et je l'imprime profondément dans ma mémoire. Je ne veux jamais le perdre, jamais l'oublier.
Elle est celle qui m'a sortie de ma torpeur et de ma routine, qui a amélioré ma vie à tous les niveaux.
Et alors qu'elle se rapproche de moi, je peux lire dans son regard, comme avant. Je me mets à pleurer de plus belle. Je n'aurais jamais pensé que ça marcherait. Jamais. Sa main sur ma joue, ce baiser, tout.

Je ne suis qu'une faible, mais pour elle, je ferai tout.

Son "je t'aime" brise mon coeur et le recolle en même temps. J'ai tellement envie de la prendre dans mes bras, de partir avec elle, de la mettre en sécurité, loin de tout ça. Qu'elle cesse de souffrir. Je suis prête à endosser toutes les tares du monde si c'est pour qu'elle aille bien. Je suis prête à tuer la première personne qui lui fera du mal. Je suis prête à tout, simplement pour revoir son sourire illuminer son visage.
Car moi aussi, je t'aime Risa.

Et puis, je vois sa main. Les étoiles dessus. Mes lèvres s'ouvrent, j'ai envie de crier mais rien ne sort. Je ne peux que faire couler mes larmes, encore plus.

Alors qu'à l'intérieur, un sourire s'étire. C'est une victoire pour le Savoir.

- Risa non... non non non pas maintenant, non !

Elle lève son épée et avant que je n'aie le temps de dire quoique ce soit, l'arme s'abat sur son bras. Elle hurle, et je hurle avec elle, car la panique m'envahit. Je ne réfléchis plus, et j'agis de manière impulsive car tout est bon pour la sauver, pour la garder près de moi, parce qu'elle ne doit pas mourir.

- RISA !!!

Elle tombe à genoux, et j'enlève immédiatement ma veste pour tenter de la soigner. Je tremble beaucoup, mais en un souffle, je reprends un peu de calme. Il faut... il faut que je garde la tête froide. Elle ne partira pas. Je le lui promets. Je serai toujours là pour la sauver, pour lui venir en aide. C'est de ma faute encore tout ce qui arrive aux gens que j'aime... je me déteste.

Mais alors que je m'apprêtais à lui venir en aide, une intrusion dans mon esprit. Comme Wisely. Sauf que là, c'est la voix de ce sale Exorciste qui résonne dans ma tête. Je tourne rapidement la tête et j'aperçois Blasius qui le tient à l'aide de ses chaînes. Alors, il a vu dans mon esprit hein? je vous hais, les innocences.

Je ne peux pas lui faire confiance. C'est un exorciste. Et si Blasius le tient, c'est sûrement car il a tenté de faire quelque chose dans mon dos. Je crois en mes frères et soeurs.

je ne croirai jamais en l'Ordre Noir et en ses partisans.

Néanmoins, il fait rouler vers moi une fiole de son sang. Je l'attrape, rapidement. Alors, son pouvoir réside dans son sang. Je dois me dépêcher de l'appliquer sur le bras de Risa. Je débouchonne la fiole et verse le contenu sur son bras. Je ne sais pas quel effet ça aura. Ce qui est sûr, c'est que je ne dois avoir aucun contact direct avec ce sang. Il risque de me brûler plus qu'autre chose.

Mais il continue de me parler. Il continue de s'introduire dans mon esprit, pour me faire la leçon. Quelle audace, quel culot. Je serre les poings. Ma faute?

Haha, alors c'est MA faute, sale Exorciste ?! Je te ferai payer l'affront que tu ME fais, que tu NOUS fais, à moi, à Risa, à mes frères et soeurs ! Si VOUS n'aviez pas kidnappé MA soeur, on en serait pas là espèce d'imbécile ! C'est bien facile de se prendre pour le gentil de l'histoire alors que votre camp fait partie des pires ORDURES que l'Humanité n'ait jamais fabriqué ! Vous me dégoûtez, plus que tout au monde.

De toute façon, il n'attend pas ma réponse. Je plonge dans un souvenir qu'il me renvoie. Je vois Risa, à quatre pattes à terre. En plein désespoir. Sa respiration est saccadée et je reconnais bien là les symptômes que j'ai observé sur elle, à plusieurs reprises. Ses crises d'angoisse. Ca me brise le coeur de la voir dans cet état. Mais elle est là, à terre, et lui ne fait rien pour l'aider. Cela me met encore plus en colère.

« Regarde, observe bien. Ce sont à cause des gens comme toi que sa fille est morte, qu’elle est si désespérée. Vous êtes la cause de son désespoir ! »

Ah, tu veux jouer à ça mon ami? Alors, on va être deux à jouer.
La scène qu'il me montre me rappelle celle du parc, le jour où nous nous sommes rencontrées. Alors, je vais faire la même chose. J'y pense fort, je lui montre la vérité, ce qu'il s'est réellement passé et pas ce que l'Ordre Noir veut lui faire croire.

Insolent que tu es. Après avoir vu cela, QUI l'a aidée à affronter ses démons? QUI lui a appris à calmer ses crises, au mieux de les subir? QUI lui a tendu la main? QUI A ETE LA POUR ELLE, EXORCISTE?! Ton camp n'a fait que la plonger un peu plus dans le désespoir dont elle essayait de sortir et tu oses... tu oses me parler de la sorte?

Son camp l'a détruite, mais c'est moi la méchante?? Quel culot, ils sont vraiment malades ces Exorcistes Ada, tu es encore plus idiote que ce que je ne le pensais ah oui, et depuis quand je t'ai demandé ton avis à toi? Tu montres tes propres SOUVENIRS à un ennemi, ne réfléchis-tu donc pas? Veux-tu vraiment que je reprenne le contrôle ? Ainsi, tu arrêteras de jouer à la victime QUOI, MOI JE JOUE A LA VICTIME DOMINUS?! Exactement Ada, laisse-les te prendre pour la méchante, son sens critique est détruit de toute façon Mais je ne vais pas le laisser me cracher dessus comme ça, t'es malade ?

Il m'énerve, il m'énerve tellement mais je ne dois pas me concentrer sur lui, pas plus que sur le japonais là. Je dois me concentrer sur Risa, c'est tout ce qui importe à présent, il n'y a qu'elle, il n'y a qu'elle et moi, je vais la sauver, elle ne va pas mourir c'est promis c'est pr...

Une douleur au ventre. Je ne comprends pas. J'ai été attentive à ce qui m'entourait pourtant. Je baisse les yeux pour apercevoir un trou, une blessure sanglante à hauteur de mon ventre. Je panique, je tombe à genoux, je me mets à trembler. Je ne ressens pas toute la douleur au début. Je suis sous le choc. Je viens de me faire transpercer.

Et puis là, mes pensées s'arrachent. Je me mets à hurler, j'ai envie de retirer la peau retirer tout ce qui compose mon être parce que l'innocence l'a touché quelle honte quelle humiliation ils doivent payer ils vont payer je les déteste nous les haïssons ça fait mal ça brûle ça brûle plus que le feu et la respiration s'accélère alors que plus rien ne marche le savoir ne sait plus le savoir est perdu le savoir ne sait plus où donner de la tête le Savoir le saVOir Va TuEr.

Je continue de crier et je tombe à terre. Je n'arrive plus à rien, je ne sais que crier ma douleur, mes mains sur mon front. Dominus rugit avec moi, cette douleur est insoutenable. Je ne vais pas survivre à ça.
Chiron qui, alerté par mes hurlements, vient automatiquement près de moi, observant alors ma blessure. Je ne le regarde même pas. Je ne saurais pas. J'essaie de rester concentrée pour ne pas flancher alors que mon sang est en train de se déverser sur le sol de cette maudite Congrégation de malheur.

J'entends vaguement des voix autour de moi. Chiron parle et... Mase? Qu'est-ce qu'il fiche là lui, il devrait être en train de se battre?

- ADALIE ! Arrête de crier, on va t'amener plus loin ! ça va sûrement faire mal lorsque je vais te porter, mais tu n'as pas le choix, d'accord?

J'essaie d'arrêter de crier mais l'Innocence attaque mon corps et je continue mes bruitages. Je dois évacuer la douleur, je n'ai pas le choix. Alors que Mase me prend dans ses bras et me porte, j'entrouvre mes yeux et j'apercois Chiron, bouclier levé, qui nous protège.

Je suis finalement posée dans un coin plus calme. Malheureusement, Mase n'a pas pu m'évacuer complètement et je reste malgré tout à proximité du champ de bataille -quelle plaie (littéralement). Ma respiration est rapide, j'ai si peur. Je sens une main qui prend la mienne et je tourne la tête vers l'akuma à côté.

- Je vais compresser ta plaie le temps que le soutien arrive. En attendant, ne t'endors pas, tu as compris?

Je hoche la tête. J'essaie surtout de ne pas succomber à la tentation de hurler à plein poumon. Je hais cet Exorciste, je les hais tous, à se croire braves et honnêtes, quels chevaliers, WAW ! Ils me débectent tous avec leurs faux airs de gentils.

Mais en attendant je... j'essaie d'appeler Dominus. On souffre tous les deux, on.. on devrait se soutenir non? Dominus? Le Savoir?

... Dominus?
Dominus, réponds moi, ce n'est pas marrant.
Dominus, non non non...

Il y a un condamné de Poena qui arrive mais je suis en panique, et je me mets à crier. Il faut que tous les Noés l'entendent, ce n'est pas possible..

- Dominus... Dominus ne répond plus... DOMINUS NE REPOND PLUS !!

Je me prends une claque de Mase. Pouah, il y a été fort.

- Garde ton sang froid Ada, ne cède pas à la panique. Chiron est toujours là, alors Dominus également.

C'est vrai... c'est vrai, il a raison. Je dois... je dois me calmer.

La condamnée commence ses soins. Elle est douce et ça arrive à apaiser ma propre panique. ça me pique, mais jamais autant que l'Innocence.
Et là, je vois. L'énorme bateau, et des boulets... des boulets de canon qui foncent sur nous. Heureusement que je reste consciente pour pouvoir aider Chiron...

- Chi... Chiron ! Active la capacité Shielder, VITE !

Chiron plante alors son bouclier et un énorme bouclier rouge se déploie, pour me protéger ainsi que Constance qui se trouve juste à mes côtés. Mais plus encore : les boulets de canon qui foncaient sur nous retournent à l'envoyeur, pile sur le bateau de l'Exorciste. Comme ça... ça laissera du temps à la condamnée pour m'aider.

Mais diantre que je me trompais si je pensais mon calvaire terminé. Ils ne me laisseront jamais tranquille, jamais. Je sens cette Innocence, bordel pas lui, il ne manquait que lui.
L'Exorciste aux cheveux blancs. Je le maudis sur trois générations au moins. Je le déteste. Je n'ai pas besoin de lui pour aller mal.

Surtout que je le vois, avec son blizzard d'Innocence non pas encore MAIS PAS ENCORE ! J'ai trop pris, et qu'il attende juste que je me relève celui-là et je l'éclate en morceaux.
En attendant... je ne peux rien faire. Je suis piégée et son Innocence vient me fouetter le visage. La neige brûle mon visage mais je ne peux rien faire à part ramener mes mains devant pour le protéger un maximum. Ca me brûle, j'ai mal, l'Innocence m'attaque de partout.

Et Dominus ne réagit toujours pas.
Cette fois-ci, c'est moi qui ai vraiment peur.
Qui sont les réels monstres ici?


Résumééééé:

Technique F.1 "Le Protecteur":


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Spoiler:


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Dim 8 Mar - 22:19
Cristal Gomez
rang : Coeur de Pierre
phrase : Veni, vidi, vici.
pjlinks :

FP

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FT

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RS

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B

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pjdialog : Cristal grogne en darkorange.
icon2 : intrigue - [Intrigue, Chap. VII, Phase I] Ceux qui prient - Page 3 Fa0w
aliaspj : Little Nightmare
pjpersonality : Elle s'est toujours battue, contre ce monde qui l'a rejetée - ce monde qu'elle hait tant. Elle s'est toujours relevée quand on l'a jetée à terre - elle s'est tant endurcie. Elle a toujours lutté - même lorsqu'on lui a donné une arme non désirée.
On l'a voulue morte ; elle est devenue plus vivante que jamais.
Alors elle triomphera - de ceux qui ne voyaient en elle qu'un rejeton jeté aux oubliettes, de ceux qui l'ont trahie, de ceux qui en veulent à sa vie, de ceux qui veulent lui ravir ce pouvoir nouvellement acquis.
Cristal n'est pas une enfant - c'est une soif de pouvoir et de reconnaissance.
pjage : 14 years old
usralias : Ignis
usrage : 26
usrbday : 07/12
rppoints :

Rang B

1973 pts, 11 conditions
status : Indisponible 7/5
usrjoined : 12/02/2015
Messages : 351
Exorciste

Cristal Gomez
Gravité
Cristal & co




Cette Noé ne pouvait elle tout simplement pas mourir ? Pourquoi fallait-il qu'elle soit toujours là, à leur faire face ? Pourquoi fallait-il qu'elle maitrise des hachettes, pourquoi fallait-il qu'elle les manipule à distance, elle aussi ? Et surtout, pourquoi fallait-il qu'elle en maitrise autant ?

Car voilà l'erreur de Cristal : sa trop grande confiance. Et, lorsqu'elle avait envoyé ses pierres pour endommager les hachettes qui fonçaient vers Asiye, l'espagnole l'avait protégée en les déviant ou les détruisant.
Et quoi ? Protéger ? Ha ! Pour un coup qu'elle avait essayé ! Eh bien cela ne lui avait pas réussi. Car voilà que dix hachettes fonçaient vers elle désormais !
Cristal ne paya même pas attention à l’intervention du maréchal glacé, non, tout simplement parce qu'elle n’en eut pas vraiment l'occasion en fait. Voilà que celle qui se prenait pour une pirate tira vers les Noés avec ses canons... Sauf que l’impact du boulet de canon est violent et important. Et la Noé aux hachettes était l’une des cibles.
Heureusement, la petite était suffisamment éloignée de son ennemie pour ne pas être touchée par des éclats suite à l'impact du boulet, cependant cela réussit à la faire chuter et a l’aveugler.

-REGARDE OU TU TIRES IMBECILE !!!

Et à l’énerver fortement.
Et donc, à ne pas voir les hachettes qui fonçaient vers elle.

C'était trop tard lorsque la blonde vit la première émerger du nuage de poussière pour foncer vers elle. Ses pierres ne purent la dévier à temps, et l’épaule de l'enfant fut transpercée par une hachette. Sa jambe gauche allait subit le même sort, Cristal réussit à l’écarter au dernier moment, sans toutefois pouvoir empêcher une très large balafre sur sa jambe. La petite ne put retenir un gémissement de douleur, et s’apprêta à esquiver d’un bond agile les autres armes... Mais rien ne vint. Non, à la place, elle chuta -ce qui réussit à lui faire esquiver la hache se dirigeant vers sa tête cela dit. Sa jambe et son épaule touchées ne pouvaient plus bouger.
Empoisonnée.
Ha c'était ça hein ?
Oh Cristal était en colère de s'être ainsi faite avoir. En colère oui car elle détestait perdre. En colère car cette femme qui plus est semblait la considérer comme un adversaire secondaire -ce qu'elle n'était pas. Alors elle allait bien de faire remarquer cette fois ci.
Et ça tombait bien car, dommage pour son adversaire, même si elle état désormais immobile et vulnérable, elle n'avait pas besoin de se déplacer pour manipuler son innocence.

Il restait d'autres hachettes qui allaient foncer vers elle pour essayer de la transpercer encore. Très bien, qu’elles approchent. Cristal ramena toutes ses pierres autour d'elle, formant un dôme. Et, lorsque les hachettes s’y plantèrent, les pierres se hérissèrent de pics, afin de transpercer les hachettes et s'en débarrasser. Au moins avec ça, les hachettes endommagées se détruiront, quant aux autres, Cristal brisa le dôme pour envoyer ses pierres dévier les hachettes. Cela ne les détruira pas, certes, mais ça tombait bien car une autre exorciste était venue leur donner un coup de main.

-Oui : débarrasse nous de ces maudites hachettes !

Et maintenant la contrattaque. Cristal mordit sa joue en sentant encore la morsure la hachette qui l'avait lacérée, et s'empêcher d'exprimer sa douleur -elle ne leur fera pas ce plaisir. Mais à vrai dire, la douleur, la blessure ne fit qu'accentuer sa rage. Cristal envoya donc cinq pierres autour de la Noé, créant un cercle de 20m autour d'elle. Et elle Activa son Champs de Gravité. Aussitôt, la Noé va se sentir attirée par le sol, par terre, ne pouvant plus se relever.

-Tiens, voila une position qui te convient bien mieux.

Et une pierre, couvertes de piques de magnétite, fut envoyée à toute vitesse vers la Noé. La pierre n'étant pas affectée par le champ de gravité, elle aura tout le loisir de bien pouvoir foncer vers elle.
Pour l’achever.





Résumé de la Minéralogiste:

Technques :


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Takk ❤️:


Aesthetic:


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Dim 8 Mar - 23:46
Phoenix Lanfredi
rang : Born from ashes
phrase : In girum imus nocte et consumimur igni.
pjdialog : Phoenix brûle en tomato.
icon2 : intrigue - [Intrigue, Chap. VII, Phase I] Ceux qui prient - Page 3 Hdkv
aliaspj : La Flamboyante
pjpersonality : Elle est comme un feu dévorant, brillante par son éclat, par son sourire, par son enthousiasme. Approchez-vous un peu trop et vous vous y brûlerai : elle est guerrière, elle est belliquese. C'est une arme qui peut tirer si on lui ordonne.
Car le feu n'est pas libre : il est emprisonné. Elle a tiré, griffé sur ses chaines, jusqu'à se résigner, jusqu'à ce que le feu ne puisse plus s'échapper.
Phoenix était un volcan explosif, désormais, il est endormi.
Ne reste plus que la lave. Cette colère immonde qu'elle vomit sur des ennemis désignés. Cette rage de combattre qui n'est que la seule chose qui la fait vibre. Cette folie qu'elle embrasse car elle n'arrive plus à la fuir.
Phoenix est un oiseau enfermé dans une trop petite cage.
pjage : 19 ~ 16 years old
usralias : Ignis
usrage : 26
usrbday : 07/12
rppoints :

Rang C

1580 pts, 2 conditions
status : Indisponible
usrjoined : 18/01/2016
Messages : 271
Défunt

Phoenix Lanfredi
La chute du Phénix
Phoenix & co





Pourquoi ? Pourquoi il y a toujours UN TRUC qui fait que ça ne marche jamais comme prévu ???
Et vas-y que je me mange de... la neige en pleine gueule ? De la neige ! Raaaah !!! C'est pas que j'aime pas ça mais du coup avec mes flammes ça fond ça fait de la vapeur ça fait une bouillasse et je ne vois plus rien.
Et du coup ? Bah la violoniste m'échappe ! Je pousse un cri agacé et énervé, alors que je bats des ailes pour me débarrasser de cette neige, et en fait ça me... BRULE ! C'est de l'innocence !!! Mon cri et mes battements d’ailes se font encore plus fort du coup, pour essayer de me débarrasser de cette foutue neige. Et la violoniste, elle est ou du coup ?

Et la voilà qui est partie, avec un exorciste avec les mêmes cheveux de neige. Ha, elle croit s'en sortir comme ça, hein ? Personne ne m'échappe...
Et puis je vois. Du sang tomber du plafond. Quelqu'un est accroché là-haut. Quelqu'un que je connais. Trop bien. Et que j'apprécie. Trop bien, aussi.
Cassidy.


-MAM’S !!!

Quoi qui comment QUI A FAIS CA ?! QUI A OSE LUI FAIRE CA ?!
Lui. Ce type. Ce maréchal. C’est LUI qui a fait ça. Il va me le payer il va le payer IL VA LE PAYER !

Mais d'abord... D'abord je dois la tirer de là. D'abord je dois arrêter cette humiliation qu’il lui a fait vivre. D'abord je dois la sauver !
Je file alors vers elle, arrachant ces foutus pics de glace, et rattrapant Cassidy, tout doucement pour essayer de ne pas lui faire mal en même temps. Elle est recouverte de blessures… Non, non, s’il vous plait, faites qu’elle va bien, faites qu’elle va s’en remettre, s’il te plait, dis…

-Cassie ? Dis, tu m’entends ? Réponds-moi s’il te plait… Réponds moi… S’il te plait regarde-moi… Mam’s… S’il… te plait…

Alors dis, pourquoi tu n’ouvres pas les yeux ?
Alors dis, pourquoi est ce qu’ils t’ont fait ça ???


Je la pose délicatement au sol, à la fois énervée, désespérée, soif de vengeance, désir de l’emporter avec moi et de quitter ce trou à rat. Je ne sais pas je ne sais plus je veux juste que… qu’elle ouvre les yeux.
Alors je lance un appel mental aux Noés, à qui je ne sais pas, à tout le monde si possible.

« Mordred… La Révolte est dans un état critique… S’il vous plait que quelqu’un l’aide, elle a besoin de soins urgents ! »

Je m’en contrefous qu’on me trouve insolente pour les avoir contactés comme ça. Ils peuvent bien m’auto-détruire, va, si on me brise encore une fois tout ce que j’ai de précieux, alors peut être que je ferai bien de mourir, moi aussi.
Mais qu’on ne me retire pas ce que j’ai de précieux.
Pas encore.

Et puis mon regard le capte. Le sale type qui lui a fait ça.
Le Maréchal.
Et là, mon sang ne fait qu’un tour.
Lui. Il va le payer.

-Tu vas le payer payer PAYER !!!

Et je suis toujours en train d’irradier, donc ils les verront moins arriver, mes boules de feu. Parce que j’en tire, ouais. Trois, vers eux. Deux vers le Maréchal, une vers l’exorciste chinoise.
C’est fini ? Oh non, pas du tout, ils ne sont pas au bout de leurs surprises. Cette fois, je fonce vers eux. J’ai déjà mis Cassie en retrait à l’arrière, elle devrait y être en sécurité au moins jusqu’à ce que quelqu’un ne vienne la soigner…
Eux par contre ? Ils vont cramer cramer cram…

Peut être que j’était trop aveuglée par ma rage. Peut être qu’au final, à vouloir éblouir les autres, je me suis aveuglée moi-même. Je ne sais pas. En tout cas une chose est sure : je n’ai rien vu venir.
J’entends un bruit énorme. Mais ce que j’entends avant et par-dessus tout, c’est ma rage qui me dit d’aller les tuer, d’aller venger Mam’s, mes flammes qui brulent tout ce qu’elles touchent.
Je ne vois pas le boulet de canon, non. Par contre je le sens bien lorsqu’il me percute de plein fouet. Lorsqu’il m’éclate carrément la gueule. Lorsqu’il me coupe le souffle, lorsqu’il me projette plusieurs mètres plus loin, lorsqu’il me fait dégringoler.
Je m’écroule à terre, incapable de me relever, alors que des éclats du boulet rentrent profondément dans ma peau. Je… J’ai du mal à respirer. Je sens ma tête me tourner et… tout ce que je peux voir au loin, c’est Cassie, toujours allongée, par terre. Et je tends ma main vers elle, impuissante -et j’ai l’horrible impression de revivre cette scène, dis Mary, dis tu es là, si tu es toujours à l’intérieur de moi, s’il te plait, donne moi la force de la protéger, même si je n’ai pas eu celle de te protéger toi…

-Ma…ms…

Pardon.
De ne pas avoir été ta championne.
De ne pas avoir pu te protéger.

Et la lamentation du Phénix retentit.





Résumé de la pyromane:

Techniques:


intrigue - [Intrigue, Chap. VII, Phase I] Ceux qui prient - Page 3 2gvs


Takk Bonnie pour ce superbe vava ♥️

Takk ♥️:


Aesthetic:

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