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Le Cube
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La team
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Hajna Szarka
On change plus facilement de religions que de café.
|| NOM - Szarka || PRÉNOM - Hajna || ÂGE - 36 ans || DATE DE NAISSANCE - 7 février || ORIGINES - Austro-Hongroise || ORIENTATION SEXUELLE - libre || PARTICULARITÉ - Grosse fumeuse et reine des insomnies, elle survie en enchainant les tasses de cafés. Elle dort en moyenne trois à quatre heures par semaine avec des périodes où elle va dormir 48h d’une traite. Le sarcasme est sa langue maternelle. || MÉTIER/SECTION - Chef de la Troisième division ; Coordinatrice et cheffe de projet, section investigation || RANG - F
|| CARACTÈRE - Lasse de tout, peu intéressée par ce qui ne la concerne pas, Hajna donne l’impression de se moquer de tout. Elle répond aux demandes avec sarcasmes et ironies, estimant ne pas avoir assez de temps pour tout ce qui ne concerne pas son travail. Méticuleuse, perfectionniste, elle met la vie de ses hommes en priorité sur les missions. Elle cache l’affection qu’elle porte pour les siens derrière ses coups de dossiers sur la tête et son acharnement, préférant sacrifier sa santé que leurs vies. Têtu, franche et tranchante, elle n’hésite pas à s’opposer à la direction quand elle estime que cela desservira son département … Elle est à l’origine de la disparition de certains exorcistes bien que rien ne puisse le prouver.
|| PHYSIQUE - Femme caucasienne aux longs cheveux brun, des cernes à rivaliser celle de Bookman, une odeur de café et de cigarette insistante.
|| HISTOIRE - Hajna a grandi sans son père. Il était vivant, il lui écrivait milles et une lettres, lui promettait la lune et les étoiles … Mais il n’était jamais présent. Toujours ailleurs, toujours au travail. Sa mère souriait en lui expliquant gentiment que son père était un homme important, qu’il travaillait pour le plus grand des biens en ce monde. Alors, dans son petit village d’Autriche-Hongrie, Hajna attendait sagement les lettres de son père. Elle était souriante, joueuse, bonne à l’école et aux travaux manuels. Hajna était une petite demoiselle, aimant les robes faites par sa mère, tournant en rond dans le salon avant de raconter ses journées à ce père absent. Jusqu’au jour où un homme arriva, l’air misérable et une lettre à la main. Le père était parti. Mort dans une mission pour sauver le monde. Un investigateur. Un homme solide et puissant. Il était devenu poussière en quelques secondes seulement. Sa mère pleura énormément … Hajna, elle, attendait ses lettres. Ses lettres qui n’arrivaient plus. A l’age de dix sept ans, des hommes portant les mêmes vêtements revinrent près de chez elle. Elle les suivit, bien décidé à suivre les pas de ce père qu’elle admirait. Hajna devint membre de l’Ordre Noir, rejoignant le bas de l’échelle de la section d’investigation. Et les premières années étaient fabuleuses : la jeune femme se donnait pour son travail, excellait et minimisait les risques. Ses enquêtes étaient précises, détaillés, pertinentes … Et puis elle fut plus curieuse. Elle enquêta au sein de son propre ordre. Pour comprendre son père, un peu plus. Expérimentation humaine, lavage de cerveau, les déchus … Elle découvrit ces horreurs. Etait-ce donc ça, le plus grand des biens ? Hajna commença à perdre le sommeil. Elle commença à fermer les yeux sur certaines actions, à mentir dans ses rapports. Un exorciste fuyait le combat ? Elle l’aidait en silence, ne demandant rien en retour. La seule chose qu’elle pouvait faire, c’était de monter les échelons, continuer d’accumuler des informations et de remplir les dossiers. Améliorer les golems, développer de nouvelles techniques … à 31 ans, elle prit la place de son ancien patron. Elle était en haut de sa division. Pourtant, ce succès avait un gout amer dans la bouche. Le plus grand des biens étaient peut-être simplement le plus grand des maux.
|| FAMILLE - Une mère, qui attend certainement ses lettres avec la même impatience qu’elle-même, plus jeune, attendait celle de son père. Un père traqueur, décédé. Un ami exilé, meurtrier et fou.
|| RÉFÉRENCE - Ieiri Shoko
Jujutsu Kaisen
|| CARACTÈRE - Lasse de tout, peu intéressée par ce qui ne la concerne pas, Hajna donne l’impression de se moquer de tout. Elle répond aux demandes avec sarcasmes et ironies, estimant ne pas avoir assez de temps pour tout ce qui ne concerne pas son travail. Méticuleuse, perfectionniste, elle met la vie de ses hommes en priorité sur les missions. Elle cache l’affection qu’elle porte pour les siens derrière ses coups de dossiers sur la tête et son acharnement, préférant sacrifier sa santé que leurs vies. Têtu, franche et tranchante, elle n’hésite pas à s’opposer à la direction quand elle estime que cela desservira son département … Elle est à l’origine de la disparition de certains exorcistes bien que rien ne puisse le prouver.
|| PHYSIQUE - Femme caucasienne aux longs cheveux brun, des cernes à rivaliser celle de Bookman, une odeur de café et de cigarette insistante.
|| HISTOIRE - Hajna a grandi sans son père. Il était vivant, il lui écrivait milles et une lettres, lui promettait la lune et les étoiles … Mais il n’était jamais présent. Toujours ailleurs, toujours au travail. Sa mère souriait en lui expliquant gentiment que son père était un homme important, qu’il travaillait pour le plus grand des biens en ce monde. Alors, dans son petit village d’Autriche-Hongrie, Hajna attendait sagement les lettres de son père. Elle était souriante, joueuse, bonne à l’école et aux travaux manuels. Hajna était une petite demoiselle, aimant les robes faites par sa mère, tournant en rond dans le salon avant de raconter ses journées à ce père absent. Jusqu’au jour où un homme arriva, l’air misérable et une lettre à la main. Le père était parti. Mort dans une mission pour sauver le monde. Un investigateur. Un homme solide et puissant. Il était devenu poussière en quelques secondes seulement. Sa mère pleura énormément … Hajna, elle, attendait ses lettres. Ses lettres qui n’arrivaient plus. A l’age de dix sept ans, des hommes portant les mêmes vêtements revinrent près de chez elle. Elle les suivit, bien décidé à suivre les pas de ce père qu’elle admirait. Hajna devint membre de l’Ordre Noir, rejoignant le bas de l’échelle de la section d’investigation. Et les premières années étaient fabuleuses : la jeune femme se donnait pour son travail, excellait et minimisait les risques. Ses enquêtes étaient précises, détaillés, pertinentes … Et puis elle fut plus curieuse. Elle enquêta au sein de son propre ordre. Pour comprendre son père, un peu plus. Expérimentation humaine, lavage de cerveau, les déchus … Elle découvrit ces horreurs. Etait-ce donc ça, le plus grand des biens ? Hajna commença à perdre le sommeil. Elle commença à fermer les yeux sur certaines actions, à mentir dans ses rapports. Un exorciste fuyait le combat ? Elle l’aidait en silence, ne demandant rien en retour. La seule chose qu’elle pouvait faire, c’était de monter les échelons, continuer d’accumuler des informations et de remplir les dossiers. Améliorer les golems, développer de nouvelles techniques … à 31 ans, elle prit la place de son ancien patron. Elle était en haut de sa division. Pourtant, ce succès avait un gout amer dans la bouche. Le plus grand des biens étaient peut-être simplement le plus grand des maux.
|| FAMILLE - Une mère, qui attend certainement ses lettres avec la même impatience qu’elle-même, plus jeune, attendait celle de son père. Un père traqueur, décédé. Un ami exilé, meurtrier et fou.
|| RÉFÉRENCE - Ieiri Shoko
Jujutsu Kaisen
Sorcha Sgot
— Amour MaternelHajna avait eu pitié de Sorcha dans les premières semaines de sa vie : un bébé créé sans amour ayant pour unique but de servir d’arme. Hajna était jeune mais commençait déjà être désabusée. Alors elle fit ce qu’elle avait à faire, elle aida le père à fuir et pris l’enfant sous son aile. Oh, Hajna savait qu’elle deviendrait une exorciste, de la chaire à canon pour l’Ordre. Mais elle ne la laisserait pas partir sans qu’elle est au moins gouté à l’amour, l’affection et aux rires … Au fil des années, Hajna s’est attachée à la demoiselle, l’aimant véritablement. Peut-être que, comme elle avait fait avec son père, Hajna devait réfléchir à trouver un moyen sur comment sortir de là sa protégée.
Oreste Andryesse
— MéfianceHajna se savait prise en étaux. Oreste était un inquisiteur virulent, compétant et surtout beaucoup trop perspicace. La jeune femme le voyait de plus en plus trainer dans ses couloirs, interroger ses hommes, l’obligeant à intervenir pour le chasser de sa division. Oreste la mettait mal à l’aise, pour ce qu’il représentait et parce qu’elle était capable de lire dans ses yeux une profonde mélancolie. Mais elle ne pouvait permettre à son cœur de s’émouvoir quand la vie de temps de fugitif et d’exorcistes reposaient entre ses mains.
Laoghaire Dunne
— SouvenirHajna aurait aimé dire qu’ils avaient été ami et que c’était pour cette raison qu’elle avait aidé Laoghaire à fuir la congrégation il y a à peine 15 ans. Pourtant, c’était la culpabilité qui avait poussé la jeune femme à couvrir les arrières de cet homme qui n’avait été qu’un outil. Un outil aujourd’hui brisé, certainement irréparable. Et c’est cette même culpabilité qui la força à prendre soin de la petite Sorcha … Elle devait au moins ça au combattant brisé.
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