Kamelot
PRÉNOM : Road, le même prénom que le souvenir du rêve, n'y-a-t-il seulement une séparation entre les deux entités qui abritent ce corps de jeune fille ?
GENRE : Femme.
ÂGE : Prisonnière de son corps d'adolescente, le Rêve semble avoir environ quatorze ans, son corps a cessé de vieillir il y a au moins trente-six ans ; elle garde son véritable âge secret.
DATE ET LIEU DE NAISSANCE : C'était il y a bien trop longtemps, elle ne fête plus son anniversaire et accorde très peu d'importance à sa naissance en ce monde.
ORIGINES : C'est une enfant du monde, pour éviter de dire "origines inconnues". Encore une fois, elle y accorde peu d'importance.
SURNOM : Road, ça suffit amplement, c'est déjà bien assez court, non?
ORIENTATION SEXUELLE : Semblant être amoureuse d'Allen, sûrement hétérosexuelle.
LIEU DE RÉSIDENCE : Le Rêve vit, pour la plupart du temps, à l'Arche ; sinon, elle peut être trouvée au manoir Kamelot, chez Sheryl, son père adoptif.
PARTICULARITÉ : Road est la Noé la plus ancienne de cette nouvelle génération de Noé et pouvait contrôler l'ancienne Arche, celle-ci étant désormais détruite et la nouvelle étant contrôlée par Amorem.
RANG DE DÉPART : C
SOUVENIR DE NOÉ : Le Rêve.
NOM DU NOÉ : Road.
DON NATUREL : Road peut se transformer en ce qu'elle veut, du moment que cela ne soit pas trop différent de ce qu'on appelle le "moi intérieur". Par exemple, Road a été déjà aperçue changée en petite poupée, elle peut être portée par un de ses alliés et peut se cacher en toute discrétion. Sous cette forme, le Rêve peut parler et bouger, communiquer avec le monde autour d'elle.
DESCRIPTION DES POUVOIRS : Road a créé une dimension parallèle, qui peut être qualifié de rêve, son rêve. Elle peut connecter cette dimension à d'autres dimensions et au monde que nous connaissons, par le biais de grandes portes et elle peut se téléporter d'une dimension à une autre, par ce biais. Dans son rêve, elle peut contrôler tous les aspects de cette dimension et fait ce qu'elle veut à l'intérieur ; il s'agit de son rêve, elle en est la créatrice. Et son rêve peut devenir le cauchemar des autres, elle peut connaître les peurs et les insécurités d'une personne et faire en sorte de les matérialiser dans son rêve en créant des illusions. Elle peut également influencer sur le monde dit réel en enfermant ses ennemis dans des cubes en forme de dés ou encore en créant des bougies avec une forme pointue pour blesser ses adversaires. Pour en terminer là-dessus, il faut préciser aussi qu'il est très fort probable que vous n'ayez pas la véritable Road en face de vous, elle est partout et nulle part à la fois ; qui sait où est son véritable corps et elle possède une régénération très efficace. Elle est donc capable de créer une illusion d'elle-même, avec une apparence totalement, comme elle l'a démontré contre Lavi (où elle a pris l'apparence d'Allen dans le cauchemar de Lavi). Son véritable corps peut être dans son rêve et l'illusion que vous voyez est dans le monde réel, ou l'inverse.
CORPULENCE ET MORPHOLOGIE : Plutôt chétive, la demoiselle apparaît être une adolescente, dont le corps vieillit extrêmement lentement (pour ne pas dire pas du tout).
VISAGE : Son visage est oval, et on peut remarquer sa peau très pâle en la regardant ; cela dit on peut noter que son visage est très expressif.. Son nez est plutôt fin tout comme sa bouche et elle a des sourcils fins.
CHEVEUX : Ses cheveux sont courts avec des mèches pointues, ils sont de la même couleur que ses yeux, un beau mélange de bleu et violet, tendant plus pour la seconde couleur lorsqu'elle est en forme Noé.
YEUX : De grands yeux bleus foncés avec une pointe de violet que l'on peut apercevoir ; ces beaux yeux prenant une couleur or quand elle prend son apparence de Noé. Cela dit, elle a une petite particularité, elle a deux iris dans chaque yeux, un dans l'autre ; particularité qu'elle partage avec son frère adoptif, Wisely.
STYLE VESTIMENTAIRE : Se fondre dans la masse n'était pas vraiment dans son style. Elle s'habille, en règle générale, en robe plutôt dans un style gothique-punk lolila mais il lui arrive de porter l'uniforme de son école. Cela dit, lorsqu'elle est avec sa famille, quand ils sont réunis, elle porte une simple robe courte blanche avec des rubans autour de ses bras et des collants déchirés.
AUTRE : ...
Doux rêve, tu es une parfaite palette de couleurs, si diverse, si colorée, si vivante et pourtant ; tu ferais une magnifique peinture tu sais ? Avec de la lumière, du rêve, de l'obscurité, un cauchemar, un parfait clair-obscur, une palette complète, et pourtant, s'ils savaient ; tu étais loin de l'être, tu ne le serais jamais et ça ne t'intéressait pas de l'être. Tu étais "toi" et tu étais "elle", tu es "le rêve", tu es un souvenir impérissable ; tu incarnes, tu joues ton rôle à la perfection, doux rêve, tu es une soeur exemplaire. Mais tu es si difficile à suivre, comme un courant d'air que l'on ne peut toucher, que l'on ne peut attraper, tu files, tu es si joyeuse et si en colère, tu es si enfantine et si sérieuse, tu es si douce et si sadique ; tu es une enfant, tu es une adolescente, tu es une adulte, tu es tout à la fois (et parfois, tu n'es rien).
Doux rêve, ta famille est toute ta vie ; que ce soit ta famille adoptive ou les Noés, mais tout le monde sait ta préférence pour ces derniers. Ô, doux rêve, tu ferais tout pour ta famille, les plus beaux sourires, les plus belles atrocités, tu es une enfant, tu es une adulte, tu es tout à la fois, pour ta famille ? Tu leur donnerais tout, ton corps, ton âme, ta propre vie s'il le fallait. Tu voulais tant leur offrir le plus beau des rêves, les laissant s'échapper quelques instants de la guerre ; dites moi, parlez-moi, je vous montrerai la voie, je suis le rêve, je vous protégerai du cauchemar (je vous protégerai de moi). Tu les aimes tant, mais qu'est ce que réellement l'amour ? Que tu es affectueuse, doux rêve, mais dis-moi, parle-moi de l'affection, qu'est ce que ? As-tu seulement une réponse ? Et si tu demandais à l'Amour ? L'enfant est pur, il rêve de tant de belles choses, il rêve de demain, et toi, doux rêve, de quoi rêves-tu ? Ô, très peu pour toi, tu offres, tu créés le plus beau, le plus doux des rêves, pour ta famille, tu ferais tout ; tu ne fais guère ton âge à te comporter comme une enfant. Tu t'ennuies si vite, tu as besoin que l'on te divertisse, que l'on t'amuse ; rien de pire que l'ennui, mon dieu, ce n'était pas si grave, tu es le rêve, tu exigerais que l'on t'amuse (mais où est le Comte ? (et Lero ? (Tyki, je me sens seule))). Doux rêve, tu aimes te balader dans l'Arche, cherchant (désespérément) tes frères et soeurs, ô que tu les aimes (mais où est le Comte ?). Ils te manquent, n'est-ce-pas ? Tu façonnes les rêves, tu es leur maîtresse, tu influences, tu construis, mais dans ton rêve, où sont-ils tous passés ? Mais ne craignez rien, le rêve peut être sérieuse, le rêve comprend et interroge. Après tout, derrière l'enfant, se cache effectivement une adulte qui a vécu tant d'épreuves. Et s'il faut oublier l'enfant, pour que la famille puisse avancer, parler, s'interroger, l'adulte était là. Et elle le sera toujours, elle l'est plus que l'enfant (où sont mes enfants ?).
Toi, comme le rêve, ô toi doux rêve, tu peux également te transformer en cauchemar, le pire d'entre eux ; et personne n'était prêt pour cette incarnation du cauchemar. Comment le rêve pouvait-il être aussi sadique ? Cruel cauchemar, il faut leur apporter une réponse; il faut expliquer. Tu n'as pas peur de grand chose, le sang te rend indifférente, la souffrance humaine te procure de l'endorphine. Tu es sadique, comme une enfant qui décapite ses propres poupées ; les humains sont des poupées, si fragiles, il était si facile de leur faire du mal ; tu es la personnification de leur pire cauchemar. Mais toi, doux rêve, cruel cauchemar, tu détestes tes poupées, tu détestes les humains, tu détestes ces machines, tu détestes ces âmes en peines. Tu ne sourcilles point lorsqu'il faut torturer, lorsqu'il faut tuer ; tout pour la famille, n'est-ce-pas ? Tu es leur rêve, le cauchemar des humains, pauvres âmes, pauvres êtres fragiles. Et si à l'accoutumée, tu es ainsi, cruel rêve, ils ne sont pas au bout de leur peines, lorsqu'ils osent (oseraient-ils ?) toucher à un membre de ta famille, à quelqu'un que tu aimes. Le rêve peut avoir une certaine retenue, mais ce n'est plus le cas lorsqu'ils osent faire du mal à tes êtres aimés. C'était à toi de protéger ta famille et la rage était un sentiment beaucoup trop fort pour le rêve, toi, divin cauchemar ; peu importe qui vous êtes, tu n'hésiterais pas. Mère de famille, pionnière affectueuse, tu protèges, tu aimes, et ça te rend folle.
Toi, cruel cauchemar, tu apparaît rêve, tu es cauchemar. Et qui es-tu réellement ? La pénombre, la lumière, l'hésitation, torture émotionnelle ; pourquoi, qui suis-je ? Non, pas de questions. Toi, doux rêve; toi, cruel cauchemar. La douleur ne s'apaise pas, la douleur ne s'apaisera jamais. Il ne faut pas céder (il le faut), doux rêve (cruel cauchemar), qui est cette voix qui résonne ; tu ne veux pas encore te réveiller, bien trop tôt (et le Comte ?). Triste rêve, cauchemar désespéré, tu n'as rien oublié, tu sais tout ; et quelle torture, tout savoir n'était pas un cadeau, rendez-moi (le Comte). Ton visage se déforme, doux rêve tu n'es plus, cauchemar tu l'as toujours été ; la nostalgie et la tristesse te défigurent. Tu sais tout, et quelle horreur. Tu étais là, et tu es encore là (et le Comte ?). Cruel cauchemar, il est temps de se réveiller et de retourner auprès des tiens, peu importe ce que tu peux ressentir. Doux rêve, il est temps de se réveiller et de rassurer ta famille.
Tu étais le plus beau des rêves, le plus doux, le plus agréable, et le plus sadique et cruel des cauchemars.
L'un ne va pas sans l'autre.
Deux faces d'une même pièce.
Il n'est pas bon de déterrer le passé. Concentrez-vous sur le présent, et l'avenir, n'oubliez pas l'avenir (préparez-vous (les pièces de l'échiquier ne vont pas bouger toutes seules) ; à quoi cela sert d'essayer de creuser et de déterrer des vieux cadavres si profondément enfouis ? Non, ce n'était pas une bonne idée, et c'est ce que nous ne ferons pas aujourd'hui, tu peux dormir sur tes deux oreilles, doux rêve, sois rassurée ; et je sais que tu as tant souffert, nous ne creuserons pas, nous ne te saignerons pas ; pas aujourd'hui, ni jamais. L'heure est déjà bien grave, et à la fin de ce récit, cruel cauchemar, tu te réveilleras.
Ton histoire ne commence pas il y a trente-cinq ans ; ton histoire a commencé il y a si longtemps que toi même tu ne te souviens pas de ta naissance. Le Rêve est intemporel et toi, tu es qu'une humaine, un doux rêve, un souvenir ; vraiment, entre le Rêve et toi, qui était réellement un souvenir ? (je ne sais pas (pas vraiment (les souvenirs s'oublient (mais le Rêve est éternel (personne ne l'oublie (alors moi (c'est moi le souvenir)))))). Ne nous attachons pas à ce qui a été oublié, ou plutôt à ce qui a été délibérément oublié ; parlons de ce dont tu te rappelles, parlons de tes exploits. D'aussi loin que tu te souviennes, tu t'étais attachée au Comte, il n'y avait plus que toi ; le traître, le Comte et toi. Seuls survivants de la boucherie, de l'extermination de tes frères et soeurs, il n'y avait plus que le Comte et toi. Cela faisait déjà trente-cinq ans. Que le temps passe vite ; tu ne t'en rends pas vraiment compte, tu sembles éternelle (le rêve l'est (moi ? (je ne sais pas))) et tu es la seule debout avec Mana dans tes bras. Et puis, petit à petit, vous n'étiez plus deux. Une continuelle addition et ta famille, doucement mais sûrement retrouvée, celle du Rêve (la mienne?). Tu étais comblée.
Mais la guerre ne s'était jamais arrêtée. S'arrêterait-elle un jour ? Tu ne le savais pas, le Rêve savait qu'elle sortirait victorieuse de la guerre ; toi, tu ne serais peut-être plus là mais Elle sera là, toujours car le Rêve est éternel, il fallait le rappeler (le dire (le crier (le rêve (le cauchemar (doux (cruel)))))). Tu as rencontré de nouveaux ennemis, tu as vu se dérouler beaucoup de choses en trente-cinq ans ; et tu n'étais pas une simple observatrice, loin de là. Tu exécutais les ordres du Comte sans broncher, bien au contraire, tu vivais ta vie d'écolière au milieu d'humains que tu détestais tant, tu te battais contre l'Ennemi avec un sourire figé sur ton visage ; tu étais un personnage de l'Histoire. Non, pas un personnage. Une protagoniste. Tu étais connue de l'Ennemi, après tout tu t'es battue contre les exorcistes à plusieurs reprises, tu les as blessés, traumatisés et tués. Avec Tyki, tu as récupéré l'innocence du Maréchal Yeegar; ô tu ne l'as pas tué directement, mais tu as assisté aux horreurs perpétrées par ton oncle par adoption, lui offrant une chanson avant de t'éclipser. C'était à toi qu'on avait confié la tâche de créer une nouvelle arche en copiant l'ancienne sans oublier de la détruire après. C'était contre toi que Lavi s'était battu dans son cauchemar (ton rêve). C'était toi qui forçait Kanda à voir la vérité sur l'état d'Alma Karma. C'était à tes côtés qu'Allen découvrit la vérité sur les exorcistes de deuxième génération. C'était aux côtés du Comte que tu restais. Avec Tyki, une nouvelle fois, tu étais envoyée en mission pour le Comte ; protéger Allen était votre mission. Et c'était vous qui repoussiez, tant bien que mal, Apocryphos. Et avant de disparaître, tu avais protégé Allen, comme te l'avait demandé le Comte. Et la vie, tu sais, doux rêve, est fait de multiples chapitres ; et celui-ci se clôtura sur ta disparition. Mais tu n'avais pas succombé à tes blessures, loin de là. Protégée dans ton rêve, tu te soignais, doucement, beaucoup trop doucement.
Et la guerre continua, sans toi, cruel cauchemar. Tu étais au fait de tout, tu savais ce qu'il se passait (pour la plupart (tu n'avais pas des yeux partout (et il t'arrivait de sombrer (souvent)))) mais tu étais incapable de te réveiller, incapable de rejoindre ta Famille. Apocryphos t'avait bien blessée, il fallait l'avouer (et tu avais tant souffert (quel monstre)). Ton esprit n'était pas mort, loin de là, tu portais le poids des années et de ta blessure. Et puis, à un moment donné, tu semblais fermer les yeux, comme si tu faisais une sieste, et quelque chose de grave se produit, ta vigilance endormie. C'était sans compter sur Ta Famille, doux rêve ; et tu entendis l'appel d'un apôtre, dont tu avais déjà croisé la route. Et devant ta soeur, tu apparais, comme si tu avais émergé d'un long sommeil réparateur. Ce n'était pas Toi, mais c'était toi. Tu étais là sans être là, mais ce que ta soeur ne savait pas, c'était que tu étais toujours dans ton rêve (éternel).
Et la funeste nouvelle tomba et la colère monta en toi ; comment cela avait-il pu se produire ? Elle avait bien senti que l'Arche avait changé, elle avait senti le vent du changement ; et elle le détestait déjà. Comment avaient-ils osé ? Et le Comte ? Et la colère grondait en toi, le rêve ferait place au plus cruel des cauchemars ; et au fond, elle savait, elle avait failli dans sa tâche. Le Comte avait disparu et elle n'attendrait pas un seul instant pour partir à sa recherche. Les conséquences de sa disparition étaient bien trop graves. Il fallait le retrouver en premier avant que la Congrégation ne s'en mêle. Il ne pouvait pas être mort, ce n'était pas possible ; le Comte est éternel, comme le Rêve. Le temps était compté ; et tu étais bien réveillée, à présent.
De quoi parlez-vous ? De qui parlez-vous ? Saviez-vous ? Non, pas du tout, sinon pourquoi vous ? Doux rêve, à toi d'expliquer, de montrer ; la limite entre le sang et le coeur. Les apparences sont bien trompeuses, quels sont réellement les liens du sang ? quels sont réellement les liens du coeur ? Toi, tu es au milieu de tout cela, la famille était une notion bien plus puissante, plus importante que le sang ou le coeur. Kamelot, c'était le nom que l'on t'avait donné, offert, doux rêve ; une apparence à maintenir, des liens du "sang", quel jeu des plus amusants. Un père, une mère, un frère et un oncle, tous de la même famille, et toi, au milieu ; que c'était cocasse, une des plus vieilles apôtres de Noé jouant d'une enfant au milieu de cette famille, allant à l'école pour eux. Tu as été adoptée par Sheryl, l'hôte du Désir, marié à une humaine (une des rares que tu pouvais réellement supporter) et ce qui faisait de toi, la nièce adoptive de Tyki, l'hôte du Plaisir, puis la soeur adoptive de l'hôte de la Sagesse. Une pièce de théâtre aux allures shakespeariennes, non?
Mais la Famille, c'était bien plus que cette illusion offerte au monde pour maintenir les apparences ; la famille, c'est tellement spécial, doux rêve. Non, "la" ne serait pas approprié, "ta" devrait plus faire l'affaire. Ta Famille est spéciale, à ton coeur, à ton sang et est bien plus grande que tout ce que le monde peut imaginer. Présente bien avant toi, tu ne seras pas celle qui la verra s'éteindre. Les Noés étaient, sont et seront toujours présents, au fond de ton coeur, de ta conscience, de son coeur et sa conscience. Tu es le Rêve, et le Rêve est Toi. Tu n'es pas qu'un souvenir, tu es une multitudes de Souvenirs, de Mémoires et de Visions. Tu sers Ta Famille, tu vis pour Elle et tu mourras pour Elle. Le Comte est Ta Famille, comme les Apôtres. Et pour eux, tu donneras ta vie, car elle ne vaut rien ; le Souvenir survivra, peu importe ton sort. Road survivra. Mes enfants survivront. Le Comte survivra. Telle était votre destin, tu en étais persuadée.
bientôt (peut-être)
Le sujet sera donné par un membre du staff après une première vérification. Pour les prédéfinis du manga uniquement.
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